Je repete
Je répète qu'on qu'on a besoin de produits d'origine animale, sinon on est carencé en vitamine B12.
Les gens qui mangent des œufs, du lait ou de la viande savant parfaitement qu'il y a des animaux derrière, ils ne sont pas idiots... Ils peuvent attendre pour beaucoup que l'animal vive une vie correcte et soit bien traité. Mais dès lors qu'il l'est, pourquoi devrait-on culpabiliser de l'utiliser dans notre alimentation ?
Les animaux d'élevage n'existeraient juste pas si on ne les consommait pas. Or il vaut mieux être une vache normande bien traitée qu'un buffle à la merci du lion, qui lui ne se pose pas de question d'abattage et mange sa proie vivante.
Ce n'est pas nécessaire pour un adulte, et ça implique des êtres vivants, donc c'est plus un confort.
Il n'y a pas besoin d'une grande consommation de viande pour éviter les carences, voire pas besoin du tout. La question concerne le niveau de nécessité de notre consommation, étant donné qu'elle implique des êtres vivants, on devrait se demander s'il est nécessaire d'en consommer plus que de raison
Si c'est nécessaire ou que ça s'inscrit dans les logiques de régulation alors ce n'est pas problématique
Le propos est que l'on mange en abondance parce qu'on n'a aucune considération de l'être vivant, et qu'on a des croyances farfelues sur les besoins nutritifs. Il faudrait que les gens regagnent cette considération et revoient leur consommation en fonction de ça, que ce soit en terme de quantités et de méthodes
Je répète qu'on qu'on a besoin de produits d'origine animale, sinon on est carencé en vitamine B12.
Les gens qui mangent des œufs, du lait ou de la viande savant parfaitement qu'il y a des animaux derrière, ils ne sont pas idiots... Ils peuvent attendre pour beaucoup que l'animal vive une vie correcte et soit bien traité. Mais dès lors qu'il l'est, pourquoi devrait-on culpabiliser de l'utiliser dans notre alimentation ?
Les animaux d'élevage n'existeraient juste pas si on ne les consommait pas. Or il vaut mieux être une vache normande bien traitée qu'un buffle à la merci du lion, qui lui ne se pose pas de question d'abattage et mange sa proie vivante.