Sexe-toy

Morwën

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C'est du blabla ^^'
Jveux dire, rien que dans tes premiers mots tu pars mal x)
"Je pense que l'envie d'en utiliser et le besoin d'avoir des sex-toys traduit bien un manque de plaisir, un manque de satisfaction seule ou à deux qui est à vrai dire très triste"
Ça peut être vrai, mais dans la majorité des cas c'est faux :x
Non. Tu sais ce que signifie besoin ? J'ai sorti une phrase tout à fait logique dont tu ne peux absolument rien dire. Besoin veut dire que "sans" c'est loin d'être aussi bien, voire impossible de prendre du plaisir et de se sentir bien, dans le cas de relations sexuelles dont on parle. C'est comme si je disais "Si on a absolument besoin d'un verre pour boire, ça veut bien dire qu'on a aucun autre moyen de boire et ça traduit soit une incapacité physique soit une incapacité psychologique." J'ai dit exactement la même chose concernant le besoin de sex-toys et c'est de ça dont je parle. Quant à l'envie de sex-toys, l'idée même d'en utiliser veut bien dire qu'on peut avoir plus de plaisir par d'autres moyens et que de chercher plus de plaisir montre bien une insatisfaction.
Si tu as quelque chose de véritablement contradictoire, tu peux répondre mais lis moi avant.
 

Morwën

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10 Déc 2020
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Les sources de plaisir ne se concurrencent pas, elles s'additionnent.

Manger des raviolis, du boeuf bourguignon et des pâtes, ce n'est pas moins bien que de manger des pâtes tous les jours. Pourquoi y aurait-il une seule saveur dans le sexe ?

La masturbation, les relations buco-génitales, les relations génitales, les relations anales, les massages tantriques, les sex-toys... autant de leviers, de facettes de la sexualité qu'il n'y a pas lieu de hiérarchiser.
Malheureusement, c'est un peu hors-sujet de ce que je dis. Il y a plusieurs moyens de se faire plaisir, on est d'accord. Mais du coup si tu considères les sex-toys comme tout autre moyen de se faire plaisir, tu confirmes donc ce que je dis. Si l'on cherche des plaisirs multiples, des plaisirs supplémentaires, c'est que sans ces sources de plaisir on a moins de plaisir, on est moins satisfait. Et bien évidemment, dans mon message j'ai parlé du besoin d'en utiliser pour considérer une relation sexuelle comme satisfaisante, ET de l'envie d'utiliser des objets extérieurs à la personne, aux deux partenaires qui vient bien du fait qu'on sent qu'on peut avoir encore plus de plaisir (ce qui marque un arrêt dans la relation sexuelle, un temps où on a envie de plus que ce que nous offre déjà la relation) et donc qui veut bien dire qu'on est pas totalement satisfait. A ça tu pourrais répondre qu'utiliser des sex-toys ne veut pas dire qu'on ne ressent pas de plaisir, ce qui n'est pas ce que je dis. On peut très bien faire une comparaison avec l'argent, ce qui donnerait exactement la même chose en interchangeant sex-toys avec argent. Ou on peut même se dire qu'il y a deux jauges, une de plaisir et une de satisfaction. Celle de plaisir peut ne pas être à fond tandis que celle de satisfaction est à fond, comme le contraire. Tous les scénarios sont possibles et ce que je dis est vrai dans le cadre où je l'ai posé.
 
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Schneizel

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Non. Tu sais ce que signifie besoin ? J'ai sorti une phrase tout à fait logique dont tu ne peux absolument rien dire. Besoin veut dire que "sans" c'est loin d'être aussi bien, voire impossible de prendre du plaisir et de se sentir bien, dans le cas de relations sexuelles dont on parle. C'est comme si je disais "Si on a absolument besoin d'un verre pour boire, ça veut bien dire qu'on a aucun autre moyen de boire et ça traduit soit une incapacité physique soit une incapacité psychologique." J'ai dit exactement la même chose concernant le besoin de sex-toys et c'est de ça dont je parle. Quant à l'envie de sex-toys, l'idée même d'en utiliser veut bien dire qu'on peut avoir plus de plaisir par d'autres moyens et que de chercher plus de plaisir montre bien une insatisfaction.
Si tu as quelque chose de véritablement contradictoire, tu peux répondre mais lis moi avant.

Tu as aussi dis "avoir l'envie d'en utiliser" dès le début coco.

Je pense que l'envie d'en utiliser et le besoin d'avoir des sex-toys traduit bien un manque de plaisir, un manque de satisfaction seule ou à deux qui est à vrai dire très triste et traduit bien d'autres problèmes que l'absence pure et simple de moyens de faire plaisir puisque le sexe, le plaisir et l'orgasme ne sont pas uniquement mécaniques et que le relationnel,....
Avoir besoin c'est stupide et évident comme réflexion. Bien sûr que ce serait mal. Faut pas être philosophe pour comprendre ça.
Avoir envie de rajouter des sex toys dans sa life ne montre pas une insatisfaction mais au contraire une évolution, une volonté d'aller plus loin.
Parfois oui, des gens frustrés et insatisfaits peuvent utiliser ça pour espérer améliorer leur bordel. Mais j'essaye de faire des généralités sur les gens bien, pas les kaduks avec un esprit de puceau qui pense qu'une teub en plastique ça leur procurera + de plaisir.
 

cloudhead

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31 Mar 2021
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Idées à propos de pourquoi on serait contre :

- Cela est une énième manifestation de la décadence grandissante dans les pratiques sexuelles de nos jours.
- Cela s'accompagne en grande partie de l'idée simpliste selon laquelle nous devrions faire ce que l'on veut sans limites, disposer de notre corps selon toutes nos envies, en se basant sur le simple fait que cela est possible. Ce n'est pas parce que l'on peut faire quelque chose que l'on devrait le faire, se mettre des limites permet de ne pas se soumettre à ses propres envies et pulsions.
- La sexualité devrait être sacralisée, et le désir banni en dehors du couple. Le couple est le ciment d'une vie, et la sexualité est la résultante sacrée de l'union de 2 personnes, et non simplement une activité comme une autre.
- Les sextoys sont maintenant un énième outil de marchandise qui va, et qui est, surexploité dans toutes ses limites pour vendre le plus. On en tirera le plus d'absurdité possible, en vendant cela comme un objet d'émancipation, de libération etc. pour au final se conforter dans ses pulsions.
- Son succès récent nait beaucoup de l'idée qu'il faudrait augmenter le plaisir sexuel des femmes, et leur émancipation. Hors cela n'a pas d'utilité, la sexualité n'est pas un besoin indispensable à nos vies, il n'est donc pas nécessaire de chercher à augmenter son plaisir sexuel. Et cela n'est donc qu'une émancipation superficielle, puisque qui dit émancipation dit conservation d'un besoin, mais la sexualité n'est pas un besoin.
- S'occuper de soi seul, c'est ne plus avoir besoin de l'autre pour jouir, et ne plus construire sa vie sexuelle avec l'autre. Hors, la sexualité ne devrait pas s'expérimenter seul, mais au sein du couple.

Réplique

La frustration sexuelle, et le silence sur la jouissance feminine sont des sujets très sérieux j'ai des amies qui sont tellement complexées sur le sujets, que leurs parties intimes et l'orgasme les répugnent (c'est terrible nan ?). Je comprend l'idée globale un peu concervatrice : l'hypersexualisation dans la societe c'est déconcertant. Mais notre relation avec le sexe, n'a pas (comme certains le pense) évoluée par exemple : le sextoy ça existe depuis des siecles, le trucs c'est qu'il y a une libération de la parole sur les sujets taboux. Du coup ça donne l'impression, que la jeune génération est débochée mais c'est vraiment une vision erronée. Ça surprends les gens d'aprendre de "nouvelles pratiques", en realité il n'y a rien de réllement nouveau, il n'y a que du "nouvellement popularisé" si vous voulez.

On devrait démystifier l'acte, parce que ça met une pression folle aux jeunes hommes et jeunes femmes. Les filles ont peur de cette étape elles la redoute, peur que cela face mal que ce soit génant. Les garçcons eux sont stressés par la performance, on peur de faire preuve de faiblesse. Donc peut importe ce que l'on dit, le fait qu'on en parle ça aide.
Est ce qu'on est vraiment prés a mettre de coté la santé mentale et physique des jeunes, en faveur d'un comportement traditionnel répétitif? Parce que je le rappel la désacralisation du sexe a permit a des victimes de s'exprimer, et a beaucoup de personnes de sortir de l'ombre notamment les membres de communautés L.G.B.T.Q.I.A+. Elle a permi d'introduire des cours d'éducation sexuelle dans les écoles. Sans quoi beaucoup de jeunes, ne seraient pas assez informés ( et encore je trouve ces cours trés incomplet)
Enfin la joissance feminine, et les droits des femmes quand a leurs sexualité est réprimée dans de nombreuse pays, il n'y a donc rien de supperficielle dans mention et la mise en avant de la sexualité feminine par les mouvement feministe. C'est même une mention plus politique qu'autre chose.
Oh et puis je ne connais aucune émancipation qui est superficielle. 🌺

On est seul face à son plaisir et a son corps. Donc prenez vos decisions et faites face à votre sexualitée, parce que c'est une part de chacun d'entre nous.

Petit message au passage: S'auto-satisfaire ça n'a rien de pathétique les gens, je veux dire si on part de l'idée que le sexe c'est un désir, personnes se trouve pathétique losqu'il va manger par gourmandise si ?
(si oui, tu as gagné le débat bravo. Enfin je crois...😓)
 
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cloudhead

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Idées à propos de pourquoi on serait contre :

- Cela est une énième manifestation de la décadence grandissante dans les pratiques sexuelles de nos jours.
- Cela s'accompagne en grande partie de l'idée simpliste selon laquelle nous devrions faire ce que l'on veut sans limites, disposer de notre corps selon toutes nos envies, en se basant sur le simple fait que cela est possible. Ce n'est pas parce que l'on peut faire quelque chose que l'on devrait le faire, se mettre des limites permet de ne pas se soumettre à ses propres envies et pulsions.
- La sexualité devrait être sacralisée, et le désir banni en dehors du couple. Le couple est le ciment d'une vie, et la sexualité est la résultante sacrée de l'union de 2 personnes, et non simplement une activité comme une autre.
- Les sextoys sont maintenant un énième outil de marchandise qui va, et qui est, surexploité dans toutes ses limites pour vendre le plus. On en tirera le plus d'absurdité possible, en vendant cela comme un objet d'émancipation, de libération etc. pour au final se conforter dans ses pulsions.
- Son succès récent nait beaucoup de l'idée qu'il faudrait augmenter le plaisir sexuel des femmes, et leur émancipation. Hors cela n'a pas d'utilité, la sexualité n'est pas un besoin indispensable à nos vies, il n'est donc pas nécessaire de chercher à augmenter son plaisir sexuel. Et cela n'est donc qu'une émancipation superficielle, puisque qui dit émancipation dit conservation d'un besoin, mais la sexualité n'est pas un besoin.
- S'occuper de soi seul, c'est ne plus avoir besoin de l'autre pour jouir, et ne plus construire sa vie sexuelle avec l'autre. Hors, la sexualité ne devrait pas s'expérimenter seul, mais au sein du couple.

Je suis curieuse ce que tu écris la c'est ton avis personnel, ou c'est des arguments pour rendre son coté controverse au topic ?
 

Morwën

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Oh et puis se sentir fructré(e) sexuellement ça n'a rien de pathétique les gens, je veux dire tu te sens pas pathétique quand t'as faim ou soif si ?
T'as déjà entendu des gens dire ça ?
 

Ragnarok

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Malheureusement, c'est un peu hors-sujet de ce que je dis. Il y a plusieurs moyens de se faire plaisir, on est d'accord. Mais du coup si tu considères les sex-toys comme tout autre moyen de se faire plaisir, tu confirmes donc ce que je dis. Si l'on cherche des plaisirs multiples, des plaisirs supplémentaires, c'est que sans ces sources de plaisir on a moins de plaisir, on est moins satisfait. Et bien évidemment, dans mon message j'ai parlé du besoin d'en utiliser pour considérer une relation sexuelle comme satisfaisante, ET de l'envie d'utiliser des objets extérieurs à la personne, aux deux partenaires qui vient bien du fait qu'on sent qu'on peut avoir encore plus de plaisir (ce qui marque un arrêt dans la relation sexuelle, un temps où on a envie de plus que ce que nous offre déjà la relation) et donc qui veut bien dire qu'on est pas totalement satisfait. A ça tu pourrais répondre qu'utiliser des sex-toys ne veut pas dire qu'on ne ressent pas de plaisir, ce qui n'est pas ce que je dis. On peut très bien faire une comparaison avec l'argent, ce qui donnerait exactement la même chose en interchangeant sex-toys avec argent. Ou on peut même se dire qu'il y a deux jauges, une de plaisir et une de satisfaction. Celle de plaisir peut ne pas être à fond tandis que celle de satisfaction est à fond, comme le contraire. Tous les scénarios sont possibles et ce que je dis est vrai dans le cadre où je l'ai posé.

Tu supposes une norme selon laquelle ont devrait être satisfait à 100% par des relations sexuelles sans objet extérieur. En gros, si on est satisfait à 100% en utilisant des sex-toys c'est qu'on est satisfait à moins de 100% sans eux.

Sauf que la sexualité ça n'est pas une norme, c'est un univers ouvert.

On peut être satisfait à 120% à deux dans un lit en missionnaire, à 140% en pimentant la relation avec des sex-toys, à 180% en s'écrivant des longues lettres érotiques, à 220% en réalisant les fantasmes de l'autre, et ainsi de suite.

Pour prendre une image, on peut être très heureux en passant sa vie dans une baraque avec un potager et deux poules, mais on peut aussi vouloir explorer un peu le monde, prendre un sac à dos, découvrir, s'enrichir... On ne peut pas dire à celui qui revient d'un trek en Asie Centrale qu'il vient de démontrer qu'il n'était pas heureux avant de partir.

Libre à chacun de rester dans son potager et d'y être heureux, mais dans la vie l'ouverture est tout de même souvent source de satisfaction.
 

cloudhead

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T'as déjà entendu des gens dire ça ?
Oh que oui ! Style "je suis une merde je fais que me branler" " quand je me touche et que j'arrive a l'orgasme je me dégoute". Même si t'y penses on traite de branleurs les gens qui foutent rien. Les puceaux c'est des "dégonflés". Les filles s'en rendent pas compte mais entre mecs ya une compétivitée assez abérante et ça debute de plus en plus tot dans les cercles d'amis. Les mecs s'en rendent pas compte non plus, mais les filles ça parlent pas de sexe entre elles ou c'est très superfielle
 
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Morwën

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"je suis une merde je fais que me branler" " quand je me touche et que j'arrive a l'orgasme je me dégoute"
Ah mais ça, ça n'a rien à voir avec de la frustration sexuelle 🤔 Enfin, je veux dire que les gens disent ce que tu cites ne rentrent pas vraiment dans ton message d'origine. Le truc est que si les gens se sentent mal après c'est pas parce que ils ont un mauvais avis sur la masturbation ou le sexe. Les exemples que tu cites sont des cas où il y a un vrai malaise sur la nature, la cause du désir sexuel qui ne correspond tout simplement pas aux gens. Ils ne se sentent pas en accord avec ça. C'est déjà beaucoup plus sain qu'ils se rendent compte de ça plutôt que d'être complètement insensible à ce qui les excite. Mais du coup c'est un peu hors-sujet quoi.
 

cloudhead

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31 Mar 2021
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Ah mais ça, ça n'a rien à voir avec de la frustration sexuelle 🤔 Enfin, je veux dire que les gens disent ne rentrent pas vraiment dans ton message d'origine. Le truc est que si les gens se sentent mal après c'est pas parce que ils ont un mauvais avis sur la masturbation ou le sexe. Les exemples que tu cites sont des cas où il y a un vrai malaise sur la nature, la cause du désir sexuel qui ne correspond tout simplement pas aux gens. Ils ne se sentent pas en accord avec ça. C'est déjà beaucoup plus sain qu'ils se rendent compte de ça plutôt que d'être complètement insensible à ce qui les excite.

Le malaise par rapport au sexe et au corps c'est un apprentisage c'est influencé grandemant par l'environnement familliale, rien avoir avec le naturel si tu veux mon avis. Mais t'as raison c'est l'idée de se satisfaire, de faire partir la frustration qui écoeure les gens de maniere générale, je me suis mal exprimée

Edit de Morwën : Oui, ça n'a rien à voir avec le "naturel". Je crois pas en le libre-arbitre ou l'essentialisation donc je réfléchis pas comme ça. Néanmoins, il est une chose de dire que le rapport au sexe et au corps est influencé, j'irais même jusqu'à dire que comme tout le reste c'est complètement la conséquence de notre environnement, mais il en est une autre de dire qu'il serait anormal de se sentir mal à l'aise après qu'on ait fait quelque chose qui ne nous convient sous le coup d'une impulsion et d'un mal-être réel.
 

Ragnarok

Initié(e)
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20 Fev 2021
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Ah mais ça, ça n'a rien à voir avec de la frustration sexuelle 🤔 Enfin, je veux dire que les gens disent ce que tu cites ne rentrent pas vraiment dans ton message d'origine. Le truc est que si les gens se sentent mal après c'est pas parce que ils ont un mauvais avis sur la masturbation ou le sexe. Les exemples que tu cites sont des cas où il y a un vrai malaise sur la nature, la cause du désir sexuel qui ne correspond tout simplement pas aux gens. Ils ne se sentent pas en accord avec ça. C'est déjà beaucoup plus sain qu'ils se rendent compte de ça plutôt que d'être complètement insensible à ce qui les excite. Mais du coup c'est un peu hors-sujet quoi.

Il y a des gens qui ont un problème de principe avec la masturbation. Faut-il rappeler que des religions proscrivent cet acte, en font un péché ? Pas étonnant que certains culpabilisent, alors même qu'il s'agit d'un acte tout à fait naturel et facteur d'épanouissement sexuel.
 

MPH

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30 Nov 2020
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C'est subjectif et faux. Faudrait expliquer sur quoi on se base pour dire décadent x)
C'est ça, c'est disons des valeurs dans le but de maintenir une certaine "intégrité", par exemple on irait pas lécher les chaussures de qqun pour 1000€ par "intégrité". Du coup ça peut être considéré décadent par exemple parce que ça désacralise le rapport sexuel en lui-même en accordant davantage d'importance au plaisir sexuel, donc c'est une dégradation de la symbolique et de la valeur du rapport, qui serait davantage un échange émotionnel qu'une maximisation du plaisir.

Se soumettre et le faire car on peut c'est pas la même chose. Tu peux manger ta merde mais tu le fais pas, parcontre si t'en as envie fais le 🤷
Oui mais quand tu fais quelque chose uniquement parce que tu le peux, par exemple tu mangerais ta merde uniquement parce que tu le peux, parce que tu veux revendiquer le droit de le faire même si c'est pas très utile, là tu te soumets. Un peu comme le polyamour etc. où parfois (souvent ?) ce n'est pas revendiqué parce que c'est bien réfléchi etc., mais parce que ça prône uniquement la liberté d'agir selon ses envies, donc selon le champ des possibles, alors qu'au final se donner full liberté et suivre toutes tes envies sans bien y réfléchir, ça ne fait que te soumettre à tes envies, tu évolues en fonction de celles-ci plutôt qu'en fonction d'une idée réfléchie et de maîtrise de soi etc.

Bienvenue à toi Jésus. L'idée du couple est importante mais sacralisé ça veut dire faire rentrer des considérations connes comme certaines religions qui n'autorise le sexe qu'après le mariage
Ahah. En dehors des considérations qui sont des obligations comme dans la religion, y a des considérations communes qui sacralisent le rapport sans pour autant être connes ou excessives, typiquement on entend souvent l'idée de préserver sa virginité en attendant de trouver "la" personne.

Mais notre relation avec le sexe, n'a pas (comme certains le pense) évoluée par exemple : le sextoy ça existe depuis des siecles, le trucs c'est qu'il y a une libération de la parole sur les sujets taboux. Du coup ça donne l'impression, que la jeune génération est débochée mais c'est vraiment une vision erronée. Ça surprends les gens d'aprendre de "nouvelles pratiques", en realité il n'y a rien de réllement nouveau, il n'y a que du "nouvellement popularisé" si vous voulez.
Oui ! Question d'évolution des mœurs etc. ?

On devrait démystifier l'acte, parce que ça met une pression folle aux jeunes hommes et jeunes femmes. Les filles ont peur de cette étape elles la redoute, peur que cela face mal que ce soit génant. Les garçons eux sont stressés par la performance, on peur de faire preuve de faiblesse. Donc peut importe ce que l'on dit, le fait qu'on en parle ça aide.
Si tu pars de ce que je raconte à propos de la sacralisation, je pense que c'est différent de la pression que tu cites, on peut sacraliser le rapport sexuel dans le sens où on considère que donner son corps et recevoir le corps de quelqu'un ce serait quelque chose de très intime etc., et ne pas avoir par exemple de pression de performance pour autant. Sinon oui t'as raison

La frustration sexuelle, et le silence sur la jouissance feminine sont des sujets très sérieux j'ai des amies qui sont tellement complexées sur le sujets, que leurs parties intimes et l'orgasme les répugnent (c'est terrible nan ?).
Est-ce que tu peux développer ? Je n'ai pas bien compris. Edit : Ah je suis con j'ai compris avec ta réponse à Morwën ahah, merci

Je suis curieuse ce que tu écris la c'est ton avis personnel, ou c'est des arguments pour rendre son coté controverse au topic ?
Les deux, y en a que je pense et d'autres que j'ai mis pour le côté controverse
 
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cloudhead

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C'est ça, c'est disons des valeurs dans le but de maintenir une certaine "intégrité", par exemple on irait pas lécher les chaussures de qqun pour 1000€ par "intégrité". Du coup ça peut être considéré décadent par exemple parce que ça désacralise le rapport sexuel en lui-même en accordant davantage d'importance au plaisir sexuel, donc c'est une dégradation de la symbolique et de la valeur du rapport, qui serait davantage un échange émotionnel qu'une maximisation du plaisir.


Oui mais quand tu fais quelque chose uniquement parce que tu le peux, par exemple tu mangerais ta merde uniquement parce que tu le peux, parce que tu veux revendiquer le droit de le faire même si c'est pas très utile, là tu te soumets. Un peu comme le polyamour etc. où parfois (souvent ?) ce n'est pas revendiqué parce que c'est bien réfléchi etc., mais parce que ça prône uniquement la liberté d'agir selon ses envies, donc selon le champ des possibles, alors qu'au final se donner full liberté et suivre toutes tes envies sans bien y réfléchir, ça ne fait que te soumettre à tes envies, tu évolues en fonction de celles-ci plutôt qu'en fonction d'une idée réfléchie et de maîtrise de soi etc.


Ahah. En dehors des considérations qui sont des obligations comme dans la religion, y a des considérations communes qui sacralisent le rapport sans pour autant être connes ou excessives, typiquement on entend souvent l'idée de préserver sa virginité en attendant de trouver "la" personne.


Oui ! Question d'évolution des mœurs etc. ?

Oui, mais surtout je souligne qu'il n'y a pas de décadence de nos jours tu peux parler de décadence si tu veux, mais ne l'associe pas a une génération ou a une periode. Notre société décomplexe, révèle ce qui ce passait en background c'est vrai. Mais rien de bien noeuf dans tout ça.

Si tu pars de ce que je raconte à propos de la sacralisation, je pense que c'est différent de la pression que tu cites, on peut sacraliser le rapport sexuel dans le sens où on considère que donner son corps et recevoir le corps de quelqu'un ce serait quelque chose de très intime etc., et ne pas avoir par exemple de pression de performance pour autant. Sinon oui t'as raison

Je crois que tu détaches deux choses qui sont liées de maniéres significatives l'une à l'autre. L'intimité de couple toute seule brise frequement l'intimité qu'on a avec sois même, parce que le sexe n'est plus un acte mais une activité de couple. La vision intime du couple a posé énormement de problémes dont certains qui ne sont pas négligables : la simulation de l'orgasme ainsi que des problémes physiques lier à l'anxieté ,autant chez l'homme que la femme : on voit apparaitre une impossibilité d'arriver a l'orgasme, de fixer son partenaire dans les yeux lors de l'acte...etc
Bon et puis la tu vas voir ton débauché de psy, qui a étudier la sexologie pour aller faire une théraphie de couple

Comment on est censé realiser un acte gardé dans le secret de l'intimité( je veux dire sans avoir explorer son corps), sans aucune pression ? Je m'excuse mais la j'ai un peu de mal à visualiser. Nan en faite, la je commence a être un peu contrariée. Tu parles de "ne pas avoir de pression" il y a de la pression et même de l'anxiete on va pas arriver et gommer ce qui nous dérange pour argumenter. Les gamins en parlent ils flippent de ne pas éjaculer, de ne pas être viril, de ce tromper de trou ( et comme je le disais cela touche aussi une population d'adultes qui ont experimenté sexuellement, mais qui se retrouvent dans des situations d'impasses parce qu'ils n'ont pas exploré leurs corps)

Bref tes arguments excluvent trop de perspectives

Bon c'est pas le message le plus poetique que j'ai écris la 😅


Est-ce que tu peux développer ? Je n'ai pas bien compris. Edit : Ah je suis con j'ai compris avec ta réponse à Morwën ahah, merci


Les deux, y en a que je pense et d'autres que j'ai mis pour le côté controverse

Je vois en tout cas belle initiative
 

cloudhead

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31 Mar 2021
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Bon je le précise la masturbation peut importe ce qu'on utilise comporte certains risques : Aditionné au visionnage de pornographie et a une addiction a celle ci il fait baisser la libido en relation de couple. Bref comme avec tout il faut être modéré
 

Morwën

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10 Déc 2020
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La vision intime du couple a posé énormement de problémes
Non. On ne peut pas dire que seulement ça fait qu'il y a des malaises, on peut avoir cette vision et avoir une relation de couple sans tous les soucis que t'as cité. Si tout ça apparaît, je pense que c'est avant tout parce qu'il y a un problème de relation. Quand on a justement aucune vision intime du sexe en couple et qu'on se laisse embarquer dans des considérations societales et non relationnelles entre soi et son partenaire, il y a des problèmes. C'est justement un contresens de parler qu'il y a une vision societale "intime" du sexe en couple qui pose des problèmes parce que ce qui pose problème c'est justement que c'est pas une vision à soi, à nous deux, c'est qu'on se place d'un point de vue extérieur sans considération pour soi ou l'autre. Il y a des malaises surtout parce qu'on ne parle pas, parce qu'on ne fait pas selon nos propres désirs, parce que la plupart n'en ont pas du tout, que tout découle de désirs des autres. Une vision intime à proprement parler serait une vision unique à chaque couple. Si c'est une vision qui découle des rapports en société alors il est inconsidéré de qualifier cette vision d' "intime".
Au final, j'ai un peu de mal à savoir de quoi tu parles quand tu dis qu'il y a une "vision intime du sexe dans le couple". Je ne vois pas à quoi tu fais référence exactement, peux-tu expliciter ?
 

cloudhead

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Non. On ne peut pas dire que seulement ça fait qu'il y a des malaises, on peut avoir cette vision et avoir une relation de couple sans tous les soucis que t'as cité. Si tout ça apparaît, je pense que c'est avant tout parce qu'il y a un problème de relation. Quand on a justement aucune vision intime du sexe en couple et qu'on se laisse embarquer dans des considérations societales et non relationnelles entre soi et son partenaire, il y a des problèmes. C'est justement un contresens de parler qu'il y a une vision societale "intime" du sexe en couple qui pose des problèmes parce que ce qui pose problème c'est justement que c'est pas une vision à soi, à nous deux, c'est qu'on se place d'un point de vue extérieur sans considération pour soi ou l'autre. Il y a des malaises surtout parce qu'on ne parle pas, parce qu'on ne fait pas selon nos propres désirs, parce que la plupart n'en ont pas du tout, que tout découle de désirs des autres. Une vision intime à proprement parler serait une vision unique à chaque couple. Si c'est une vision qui découle des rapports en société alors il est inconsidéré de qualifier cette vision d' "intime".
Au final, j'ai un peu de mal à savoir de quoi tu parles quand tu dis qu'il y a une "vision intime du sexe dans le couple". Je ne vois pas à quoi tu fais référence exactement, peux-tu expliciter ?

Ce que je veux dire c'est que la popularisation des pratiques diverses pour se masturber, a permit d'ouvrir des dossiers nécessaire au bon fonctionnement d'un couple ( préliminaire, notion du concentement, ... ect) . Sujets qui n'étaient pas toujours abordés dans l'intimité d'un couple. Si l'un des conjoints a la solution, cette solution viens de l'exterieur (article sur les relations sexuelles, conseils des proches) autrement dis l'intimité a ses limites. La vision intime a tous prix, ça fait suffoquer certains couples notamment dans les commmunauté religieuses. Aussi je n'ai pas dit que l'intime ne pose QUE des problemes je t'expose juste des faits qui illustrent mon point de vue
 
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