Le HPI

Etoile

Génie
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Disons que ça pose aussi la question de la limite du trouble versus la "normalité". Des difficultés de communication, par exemple, qui n'en a pas ? Poser une frontière où l'on dit : là c'est un TSA, c'est un peu affaire de convention, surtout dès lors qu'on sort des cas lourds.
Oui, après dans le TSA il y a de vrais difficultés autre que les troubles de communication (hypersensibilité sensorielle pouvant empêcher certains d'accéder aux hôpitaux, IS faisant qu'ils en oublient de manger/boire) et ça même dans les cas dots légers.
Après tout, si ça aide les gens d'avoir un diagnostic de TSA, pourquoi pas, mais est-ce que ça les aide vraiment dans les cas "légers" ? Il n'y a pas tellement de traitement et il y a un vrai risque de s'enfermer dans le diag.
Il faut prendre en compte que le terme 'autiste leger' réfers aux autistes anciennement dit aspies/sperger. Le diag peut être très utile pour mieux se comprendre et pour avoir accès à des aménagements (avs, tiers temps, acceptation du casque anti bruit en milieu scolaire etc)
Par exemple quelqu'un qui a des problèmes relationnels aurait peut-être sans diag chercher des solutions pour les résoudre, avec diag il peut se dire "c'est normal que j'aie ce souci, je suis TSA".
Mais ce sera probablement vrai, et cette personne n'y pourra strictement rien...
(je sais que le TSA ne se résume pas à cela bien sûr)
Ok
Je ne suis pas spécialiste de la bipolarité ni psychiatre, mais ce que je comprends c'est que les critères diagnostics sont assez restrictifs : tout le monde a des hauts et des bas, un bipolaire lui passe de la dépression la plus noire à l'achat de cinq montres de luxe à 20000 euros en phase maniaque. D'où la prudence à avoir face aux diagnostics-maison. Surtout qu'il y a pour le coup des traitements pour la bipolarité.
Oui oui après là on est un peu HS donc peut être qu'il faudrait qu'on retourne au sujet principal
Je t'assure que les critères ont changé. Les gens avec des problèmes sérieux allaient déjà chez les psys il y a 20 ans.
Oui, parce qu'on estimait qu'une fille ne pouvait pas être autiste et un psy qui donnait un diag de TSA n'était pas toujours bien vu
Cela s'appelle un érythème migrant. La maladie de Lyme n'est pas forcément grave, si prise à temps ou bien soignée.
Ok.
 
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ROSE15

Grand Sage
23 Sept 2024
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Oui, après dans le TSA il y a de vrais difficultés autre que les troubles de communication (hypersensibilité sensorielle pouvant empêcher certains d'accéder aux hôpitaux, IS faisant qu'ils en oublient de manger/boire) et ça même dans les cas dots légers.

Tout le monde peut accéder aux hôpitaux, et heureusement en cas de risque vital. D'ailleurs en cas de problèmes psychiatriques graves on peut y être interné d'office, hypersensibilité ou pas., et là c'est par la force qu'on s'y retrouve si besoin et dans le pire des cas attachés (contentions).

Les personnes présentant une forme d'hypersensibilité peuvent sans doute y développer un stress supplémentaire (sachant qu'être à l'hôpital c'est toujours stressant). Mais il faut voir quelle est la nature précise de l'hypersensibilité (un hôpital n'est pas forcément un endroit bruyant par exemple). Et le stress se traite de différentes manières, il y a un arsenal médicamenteux pour cela. Les médecins hospitaliers ne rapportent pas spécialement de problèmes avec des personnes hypersensibles.

A noter qu'il existe des voies thérapeutiques pour l'hypersensibilité.

Il faut prendre en compte que le terme 'autiste leger' réfers aux autistes anciennement dit aspies/sperger. Le diag peut être très utile pour mieux se comprendre et pour avoir accès à des aménagements (avs, tiers temps, acceptation du casque anti bruit en milieu scolaire etc)

Le bas du spectre du TSA ne correspond pas seulement aux autistes anciennement dits asspergers mais à un assouplissement des critères diagnostiques. La frontière "normalité"/TSA s'est décalée de fait.

En effet il y a des aménagements nécessaires et possibles pour certains cas, mais je suis assez dubitatif sur le choix de la voie de l'aménagement. Prendre pour un fait acquis qu'il faut un tel aménagement conduit à des catastrophes. Par exemple, sur un auttre sujet, la phobie scolaire, qui n'existait pour ainsi dire pas il y a 20 ans, conduit à des déscolarisations massives d'enfants, avec des dégâts immenses, alors qu'il n'est pas prouvé qu'ils ne pouvaient pas suivre une scolarité raisonnablement normale.

Mais ce sera probablement vrai, et cette personne n'y pourra strictement rien...
Il existe des voies pour améliorer les relations interpersonnelles, même pour les autistes profonds. C'est bien le risque : considérer que parce qu'on est diagnostiqué TSA (ou autre) on est "comme ça" et qu'on ne peut rien y changer. Là pour le coup le diagnostic peut être contreproductif. A mon avis pour les formes légères il l'est très souvent.


Oui, parce qu'on estimait qu'une fille ne pouvait pas être autiste et un psy qui donnait un diag de TSA n'était pas toujours bien vu
Cela fait bien longtemps qu'on sait qu'une fille peut être autiste.
Pour les maladies mentales, il faut comprendre qu'il n'y a souvent pas des faits objectifs qui permettent de dire : toi tu es malade, toi tu ne l'es pas. Et parfois pas de traitement.
La question n'est pas tellement de poser un diagnostic que de savoir s'il y a quelque chose à faire avec, par exemple un traitement accessible ou des aménagements pertinents.
Or les gens ont tendance à accorder une importance démesurée à l'étiquette en elle-même. Par exemple le TSA apparaît sur des milliers de profils y compris de personnes qui ne se sont même pas fait diagnostiquer. Idem pour HPI d'ailleurs, pas besoin de faire le test pour se considérer comme HPI.
C'est très malsain, car dans les faits des gens qui sont tout à fait dans les zones accessibles à des outils courants de prises en charge de certaines difficultés s'identifient comme atteints d'un trouble inamovible, se privant ainsi de voies d'amélioration de leur quotidien.
 

Etoile

Génie
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Tout le monde peut accéder aux hôpitaux, et heureusement en cas de risque vital. D'ailleurs en cas de problèmes psychiatriques graves on peut y être interné d'office, hypersensibilité ou pas., et là c'est par la force qu'on s'y retrouve si besoin et dans le pire des cas attachés (contentions).
Hôpitaux = led, son, personnel pas forcément doué en cas de TSA etc. Dis toi que l'espérance de vie moyenne est de 54 ans.
Les personnes présentant une forme d'hypersensibilité peuvent sans doute y développer un stress supplémentaire (sachant qu'être à l'hôpital c'est toujours stressant). Mais il faut voir quelle est la nature précise de l'hypersensibilité (un hôpital n'est pas forcément un endroit bruyant par exemple). Et le stress se traite de différentes manières, il y a un arsenal médicamenteux pour cela. Les médecins hospitaliers ne rapportent pas spécialement de problèmes avec des personnes hypersensibles.
Oui, enfin crois moi pour y avoir passé du temps à l'hôpital en compagnie de personnes autiste cest tout sauf bien géré.
A noter qu'il existe des voies thérapeutiques pour l'hypersensibilité.
^^
Le bas du spectre du TSA ne correspond pas seulement aux autistes anciennement dits asspergers mais à un assouplissement des critères diagnostiques. La frontière "normalité"/TSA s'est décalée de fait.
Je voudrais bien voir les articles s'il te plaît, car je n'en ai pas entendu parlé.
En effet il y a des aménagements nécessaires et possibles pour certains cas, mais je suis assez dubitatif sur le choix de la voie de l'aménagement. Prendre pour un fait acquis qu'il faut un tel aménagement conduit à des catastrophes. Par exemple, sur un auttre sujet, la phobie scolaire, qui n'existait pour ainsi dire pas il y a 20 ans, conduit à des déscolarisations massives d'enfants, avec des dégâts immenses, alors qu'il n'est pas prouvé qu'ils ne pouvaient pas suivre une scolarité raisonnablement normale.
Les aménagements sont fait en fonction des cas.
Pour la phobie scolaire je suis à peu près sur que ça existait il y a 20 ans mais que c'était juste pas prit en charge du tout.
Il existe des voies pour améliorer les relations interpersonnelles, même pour les autistes profonds.
Oui, mais cest extremement compliqué et pas forcement avec de bons résultats selon les personnes.
C'est bien le risque : considérer que parce qu'on est diagnostiqué TSA (ou autre) on est "comme ça" et qu'on ne peut rien y changer. Là pour le coup le diagnostic peut être contreproductif. A mon avis pour les formes légères il l'est très souvent.
D'accord. Qu'appelle tu exactement comme forme léger, sachant qu'il n'y a pas de formes ?

Cela fait bien longtemps qu'on sait qu'une fille peut être autiste.
Oui, mais le diag était et est toujours moins répandu.
Pour les maladies mentales, il faut comprendre qu'il n'y a souvent pas des faits objectifs qui permettent de dire : toi tu es malade, toi tu ne l'es pas. Et parfois pas de traitement.
Je sais.
La question n'est pas tellement de poser un diagnostic que de savoir s'il y a quelque chose à faire avec, par exemple un traitement accessible ou des aménagements pertinents.
Or les gens ont tendance à accorder une importance démesurée à l'étiquette en elle-même. Par exemple le TSA apparaît sur des milliers de profils y compris de personnes qui ne se sont même pas fait diagnostiquer. Idem pour HPI d'ailleurs, pas besoin de faire le test pour se considérer comme HPI.
C'est très malsain, car dans les faits des gens qui sont tout à fait dans les zones accessibles à des outils courants de prises en charge de certaines difficultés s'identifient comme atteints d'un trouble inamovible, se privant ainsi de voies d'amélioration de leur quotidien.
Je n'encourage pas l'auto-diag et ne comprends pas où tu veux en venir.
 

ROSE15

Grand Sage
23 Sept 2024
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Hôpitaux = led, son, personnel pas forcément doué en cas de TSA etc. Dis toi que l'espérance de vie moyenne est de 54 ans.

Lunettes à verre teinté, bouchons d'oreille, casque anti-bruit... il existe tout de même de nombreuses manières de se protéger d'un environnement gênant.
La statistique sur l'espérance de vie est à prendre avec des pincettes, les études sont peu nombreuses et souvent anciennes.

Oui, enfin crois moi pour y avoir passé du temps à l'hôpital en compagnie de personnes autiste cest tout sauf bien géré.

Peut-être, mais les gens peuvent y aller.

^^

Je voudrais bien voir les articles s'il te plaît, car je n'en ai pas entendu parlé.

Il y a beaucoup d'articles sur le surdiagnostic de l'autisme, c'est un peu de notoriété publique chez les psychiatres.
(sur la base d'une publication dans le JAMA psychiatrie)

Sur un ton un peu plus polémique (c'est pas un spécialiste, mais il résume un avis tout de même assez répandu) :

Les aménagements sont fait en fonction des cas.
Pour la phobie scolaire je suis à peu près sur que ça existait il y a 20 ans mais que c'était juste pas prit en charge du tout.

Ben aujourd'hui la prise en charge c'est souvent la déscolarisation, avec des résultats catastrophiques. C'est pas un progrès, mais une grosse régression.

D'accord. Qu'appelle tu exactement comme forme léger, sachant qu'il n'y a pas de formes ?

Il y a des formes plus ou moins légères sur tout le spectre de l'autisme. Par exemple, sur le plan de la communication, un autiste "non verbal" présente une forme plus sévère qu'un autiste qui peut parler.

Oui, mais le diag était et est toujours moins répandu.

L'explication la plus couramment admise étant que les filles sont moins sujettes au trouble. Au vu des proportions, il est difficile d'attribuer le ratio entre les sexes à un seul différenciel de diagnostic, d'autant plus qu'on ne retrouve pas les mêmes sex-ratio pour les autres troubles psys.

Je sais.

Je n'encourage pas l'auto-diag et ne comprends pas où tu veux en venir.
Toujours au même point : se coller une étiquette, quelle qu'elle soit, n'aide pas forcément à aller mieux. Oui si cela se traduit par des bonnes prises en charge, non si cela conduit à renoncer à certaines voies d'amélioration.

Pour te citer un exemple concret : je connais une personne avec des soucis de relations interpersonnelles relativement courants. (c'est complique pour tout le monde, les relations interpersonnelles, hein). Après avoir consulté quelques médecins, un d'eux accepte du bout des lèvres de dire que cette personne est en bas du spectre TSA. Et hop, étiquette collée. Dès lors le risque existe qu'au lieu de chercher à améliorer ses relations interpersonnelles par des moyens courants (il y en a plein), cette personne se dise "c'est normal que j'en aie", renonce à les gérer voire demande des mesures palliatives type aménagement de poste. Au final le bilan peut être très négatif.
 

Etoile

Génie
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Lunettes à verre teinté, bouchons d'oreille, casque anti-bruit... il existe tout de même de nombreuses manières de se protéger d'un environnement gênant.
La statistique sur l'espérance de vie est à prendre avec des pincettes, les études sont peu nombreuses et souvent anciennes.
Ce que tu cite ne marche pas forcément dans tout les cas.
Oui, mais il me semble que celle la reste à peu près d'actualité.
Peut-être, mais les gens peuvent y aller.
.
Il y a beaucoup d'articles sur le surdiagnostic de l'autisme, c'est un peu de notoriété publique chez les psychiatres.
(sur la base d'une publication dans le JAMA psychiatrie)

Sur un ton un peu plus polémique (c'est pas un spécialiste, mais il résume un avis tout de même assez répandu) :
Je regarderais ça après
Ben aujourd'hui la prise en charge c'est souvent la déscolarisation, avec des résultats catastrophiques. C'est pas un progrès, mais une grosse régression.
En attendant y a pas toujours d'autre solution. J'ai probablement eu une phobie scolaire en 5ème (allant jusqu'à un vomissement d'angoisse) et crois moi faire une pause cets parfois la seule solution.
Il y a des formes plus ou moins légères sur tout le spectre de l'autisme. Par exemple, sur le plan de la communication, un autiste "non verbal" présente une forme plus sévère qu'un autiste qui peut parler.
Mais c'est un spectre, tu ne peux pas le graduer...
L'explication la plus couramment admise étant que les filles sont moins sujettes au trouble. Au vu des proportions, il est difficile d'attribuer le ratio entre les sexes à un seul différenciel de diagnostic, d'autant plus qu'on ne retrouve pas les mêmes sex-ratio pour les autres troubles psys.
Il y a aussi que les filles le cachent beaucoup mieux.
Toujours au même point : se coller une étiquette, quelle qu'elle soit, n'aide pas forcément à aller mieux. Oui si cela se traduit par des bonnes prises en charge, non si cela conduit à renoncer à certaines voies d'amélioration.
Ok...
Après faut être un peu con pour pas tenter de s'améliorer.
Pour te citer un exemple concret : je connais une personne avec des soucis de relations interpersonnelles relativement courants. (c'est complique pour tout le monde, les relations interpersonnelles, hein). Après avoir consulté quelques médecins, un d'eux accepte du bout des lèvres de dire que cette personne est en bas du spectre TSA. Et hop, étiquette collée. Dès lors le risque existe qu'au lieu de chercher à améliorer ses relations interpersonnelles par des moyens courants (il y en a plein), cette personne se dise "c'est normal que j'en aie", renonce à les gérer voire demande des mesures palliatives type aménagement de poste. Au final le bilan peut être très négatif.
Ok...
Tu ne peux pas être en bas du spectre, c'est un SPECTRE.

Par contre on est HS, peut être qu'il faudrait continuer en mp plutôt
 

ROSE15

Grand Sage
23 Sept 2024
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En attendant y a pas toujours d'autre solution. J'ai probablement eu une phobie scolaire en 5ème (allant jusqu'à un vomissement d'angoisse) et crois moi faire une pause cets parfois la seule solution.

Parfois peut-être, je ne peux pas juger. Mais des tas de gens ont des angoisses dans des situations de vie, allant jusqu'au vomissement, et y vont quand même. Un acteur qui a le trac, un salarié qui fait une présentation difficile, un étudiant face à un examen.

La voie du retrait (avec potentiellement de lourdes conséquentes) me semble n'être à privilégier qu'en cas de risque fort / immédiat pour la santé.

Mais c'est un spectre, tu ne peux pas le graduer...

Bah bien sûr que si, c'est le principe même d'un spectre. Entre parler, s'exprimer avec difficulté et ne pas parler, il y a une graduation évidente.
Il y a des outils permettant d'évaluer la sévérité du TSA, par exemple le CARS (Childhood Autism Rating Scale)

Il y a aussi que les filles le cachent beaucoup mieux.

Moui, sans doute, mais les théories sur le masquage de l'autisme par sur-compensation me semblent fumeuses. A la fin quelqu'un qui compense un trouble et qui n'en souffre pas se rapproche tout de même beaucoup de la pure normalité.

Ok...
Après faut être un peu con pour pas tenter de s'améliorer.

Ah bah je t'assure que certains renoncent en partant du principe que leur problème est normal, vu qu'ils sont TSA. Comme si, par exemple, ça excusait toujours des comportements asociaux ou impolis.


Ok...
Tu ne peux pas être en bas du spectre, c'est un SPECTRE.

Tu peux avoir un score bas dans les évaluations de sévérité. Entre quelqu'un qui n'a jamais échangé un mot avec personne, incapable d'autonomie, et quelqu'un qui a une vie sociale riche, il y a tout un spectre, précisément (à décliner sur différents axes).

Par contre on est HS, peut être qu'il faudrait continuer en mp plutôt
Le problème est encore pire pour HPI, puisque ce n'est même pas un trouble. Mais si tu veux bien sûr.
 

Etoile

Génie
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Parfois peut-être, je ne peux pas juger. Mais des tas de gens ont des angoisses dans des situations de vie, allant jusqu'au vomissement, et y vont quand même. Un acteur qui a le trac, un salarié qui fait une présentation difficile, un étudiant face à un examen.
Oui, mais pas tout les matins pendant plusieurs années.
La voie du retrait (avec potentiellement de lourdes conséquentes) me semble n'être à privilégier qu'en cas de risque fort / immédiat pour la santé.
Oui oui, je ne l'ai pas fait pour ma part (je ratais déjà pas mal vu que je suis souvent malade) mais c'est probablement la meilleure solution pour certains.
Bah bien sûr que si, c'est le principe même d'un spectre. Entre parler, s'exprimer avec difficulté et ne pas parler, il y a une graduation évidente.
Il y a des outils permettant d'évaluer la sévérité du TSA, par exemple le CARS (Childhood Autism Rating Scale)
Ok.
Moui, sans doute, mais les théories sur le masquage de l'autisme par sur-compensation me semblent fumeuses. A la fin quelqu'un qui compense un trouble et qui n'en souffre pas se rapproche tout de même beaucoup de la pure normalité.
Non, parce que du coup une personne qui masque souffre tout autant, elle le montre juste moins.
Ah bah je t'assure que certains renoncent en partant du principe que leur problème est normal, vu qu'ils sont TSA. Comme si, par exemple, ça excusait toujours des comportements asociaux ou impolis.
C'est étrange...après pour les comportements dits "mal polis", pour vivre avec quelqu'un ayant Gilles de la Tourette + Tsa, il ne faut pas oublier les troubles associés qui peuvent être considérés comme impolis mais pour lesquels on ne peut rien.
Et pour les comportements asociaux je ne sais pas ce que tu entends par la mais si cets se retirer du monde avec un casque sur la tête et un bouquin/rubiks cub etc cets parfois juste pour se protéger d'une crise ou écarter un sentiment de stress ultime.
Tu peux avoir un score bas dans les évaluations de sévérité. Entre quelqu'un qui n'a jamais échangé un mot avec personne, incapable d'autonomie, et quelqu'un qui a une vie sociale riche, il y a tout un spectre, précisément (à décliner sur différents axes).
Ok.
Le problème est encore pire pour HPI, puisque ce n'est même pas un trouble. Mais si tu veux bien sûr.
Oui, pas faux.
Comme tu veux, je veux juste pas me refaire détester par les modos pour une raison véritable cette fois (je maintiens que je suis innocente).
 

ROSE15

Grand Sage
23 Sept 2024
1,016
932
Oui, mais pas tout les matins pendant plusieurs années.

Quand on vomit tous les matins avant d'aller en cours ou au travail, dans la plupart des cas il y a une raison qu'il faut identifier. On ne vomit pas tous les jours avant d'aller au lit ou de prendre sa douche. La solution peut être de différents ordres suivant la raison : si c'est parce qu'il y a du harcèlement, intervenir, si c'est parce qu'il y a du stress, travailler sur la manière de le gérer, etc.

La solution du retrait ne résout rien en elle-même : quid à moyen terme ?

Oui oui, je ne l'ai pas fait pour ma part (je ratais déjà pas mal vu que je suis souvent malade) mais c'est probablement la meilleure solution pour certains.

A mon sens c'est rarement une bonne idée. La déscolarisation durable a des conséquences dramatiques.

Non, parce que du coup une personne qui masque souffre tout autant, elle le montre juste moins.

Certes, mais il y a des gens qui pensent surcompenser et qui ne souffrent en fait juste pas.

C'est étrange...après pour les comportements dits "mal polis", pour vivre avec quelqu'un ayant Gilles de la Tourette + Tsa, il ne faut pas oublier les troubles associés qui peuvent être considérés comme impolis mais pour lesquels on ne peut rien.
Et pour les comportements asociaux je ne sais pas ce que tu entends par la mais si cets se retirer du monde avec un casque sur la tête et un bouquin/rubiks cub etc cets parfois juste pour se protéger d'une crise ou écarter un sentiment de stress ultime.

Non, comportement asocial ou malpoli c'est de ne pas venir à un rendez-vous, de planter les vacances d'un ami en changeant d'avis, d'avoir des attitudes méprisantes...

Bien entendu quand il y a une pathologie identifiée, c'est excusable, mais mettre cela trop vite sur le dos d'un trouble, cela évite d'essayer de corriger.


Ok.

Oui, pas faux.
Comme tu veux, je veux juste pas me refaire détester par les modos pour une raison véritable cette fois (je maintiens que je suis innocente).

C'est lié au sujet HPI, non ?
 

Etoile

Génie
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Quand on vomit tous les matins avant d'aller en cours ou au travail, dans la plupart des cas il y a une raison qu'il faut identifier. On ne vomit pas tous les jours avant d'aller au lit ou de prendre sa douche. La solution peut être de différents ordres suivant la raison : si c'est parce qu'il y a du harcèlement, intervenir, si c'est parce qu'il y a du stress, travailler sur la manière de le gérer, etc.
Oui oui, mais parfois justement faire une pause (rien que d'une semaine) peut permettre de se recentrer.
Et aussi, les phobies scolaires pouvant lier à des troubles plus graves, il faut faire attention à ce que ça ne dérange pas vraiment.
La solution du retrait ne résout rien en elle-même : quid à moyen terme ?
Non, mais as tu une autre solution ?
A mon sens c'est rarement une bonne idée. La déscolarisation durable a des conséquences dramatiques.
Ça dépend pour qui. Mieux vaut redoubler que de faire une TS réussie ou pas.
Certes, mais il y a des gens qui pensent surcompenser et qui ne souffrent en fait juste pas.
D'après moi à partir ou on a l'impression de souffrir on souffre.
Non, comportement asocial ou malpoli c'est de ne pas venir à un rendez-vous, de planter les vacances d'un ami en changeant d'avis, d'avoir des attitudes méprisantes...
Ah d'accord bon alors ok.
Par contre fais attention à certaines chose surtout si tu parles de TSA ; annuler des vacances peur être être a une trop grosse pression face à du changement, attitudes meprisantes peut juste être lié à l'incompréhension de sentiments communs etc.

Bien entendu quand il y a une pathologie identifiée, c'est excusable, mais mettre cela trop vite sur le dos d'un trouble, cela évite d'essayer de corriger.
Oui oui.
C'est lié au sujet HPI, non ?
je sais pas XD
 

ROSE15

Grand Sage
23 Sept 2024
1,016
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Oui oui, mais parfois justement faire une pause (rien que d'une semaine) peut permettre de se recentrer.

Oui cela peut permettre de recentrer à condition qu'il y ait des actions en parallèle, sinon cela risque d'être une situation durable.

La phobie scolaire n'est pas un trouble psy reconnu. L'équivalent le plus proche est peut-être le syndrome d'épuisement professionnel (burnout), avec une différence : on peut être arrêté ou changer de boulot, alors que l'école n'est pas tellement négociable si on veut un avenir correct.

Et aussi, les phobies scolaires pouvant lier à des troubles plus graves, il faut faire attention à ce que ça ne dérange pas vraiment.

Précisément : il faut identifier ces éventuels troubles et les gérer.

Non, mais as tu une autre solution ?

Il y a un arsenal de solutions : adaptation des habitudes, soutien des proches, anxiolytiques, anti-dépresseurs, accompagnement pédagogique, psychothérapie...
La sortie de l'école est une solution extrême.

Ça dépend pour qui. Mieux vaut redoubler que de faire une TS réussie ou pas.

Certes, mais je ne suis pas certain que la déscolarisation durable diminue le risque de TS. Intuitivement je dirais que c'est plutôt l'inverse.

D'après moi à partir ou on a l'impression de souffrir on souffre.

Il faut bien voir ce qu'on met derrière les mots : par exemple les relations interpersonnelles c'est compliqué pour tout le monde, tout le monde fait des efforts. Donc avoir des difficultés, faire des efforts, en soi cela ne démontre pas qu'on surcompense un handicap.

Par contre fais attention à certaines chose surtout si tu parles de TSA ; annuler des vacances peur être être a une trop grosse pression face à du changement, attitudes meprisantes peut juste être lié à l'incompréhension de sentiments communs etc.

Sans doute, mais tu vois assez vite si les gens annulent parce qu'ils sont au fond du trou (et ils annulent tout) ou s'ils annulent tes vacances mais partent le week-end d'après faire la fête avec des potes. Et la répétition des phénomènes donnent aussi des indications.

 

Etoile

Génie
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30 Oct 2024
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Oui cela peut permettre de recentrer à condition qu'il y ait des actions en parallèle, sinon cela risque d'être une situation durable.
Oui.
La phobie scolaire n'est pas un trouble psy reconnu. L'équivalent le plus proche est peut-être le syndrome d'épuisement professionnel (burnout), avec une différence : on peut être arrêté ou changer de boulot, alors que l'école n'est pas tellement négociable si on veut un avenir correct.
Non, mais elle peut tout à fait lier à des TCA, une dépression, des TSPT et donc autant la prendre en main tant qu'on peu.
Précisément : il faut identifier ces éventuels troubles et les gérer.
100% d'accord.
Il y a un arsenal de solutions : adaptation des habitudes, soutien des proches, anxiolytiques, anti-dépresseurs, accompagnement pédagogique, psychothérapie...
La sortie de l'école est une solution extrême.
Oui, après quand c'est le dernier recours mieux vaut qu'il soit fait. Et puis ça ne veut pas forcément dire descolarisation : certains vont au cned.
Certes, mais je ne suis pas certain que la déscolarisation durable diminue le risque de TS. Intuitivement je dirais que c'est plutôt l'inverse.
Possible.
Il faut bien voir ce qu'on met derrière les mots : par exemple les relations interpersonnelles c'est compliqué pour tout le monde, tout le monde fait des efforts. Donc avoir des difficultés, faire des efforts, en soi cela ne démontre pas qu'on surcompense un handicap.
Oui oui.
Sans doute, mais tu vois assez vite si les gens annulent parce qu'ils sont au fond du trou (et ils annulent tout) ou s'ils annulent tes vacances mais partent le week-end d'après faire la fête avec des potes. Et la répétition des phénomènes donnent aussi des indications.
Ah oui bien entendu mais parfois c'est juste parce que ce n'est pas possible du tout pour eux.
 

ROSE15

Grand Sage
23 Sept 2024
1,016
932
Oui, après quand c'est le dernier recours mieux vaut qu'il soit fait. Et puis ça ne veut pas forcément dire descolarisation : certains vont au cned.

Le CNED quand tu n'es pas capable de suivre une scolarité normale, c'est rarement un succès. Soit les parents sont derrière tous les jours, soit c'est compliqué. Cela demande énormément d'autonomie, beaucoup plus que l'école classique. Peut-être en fin de lycée, mais au collège c'est très difficile de s'organiser soi-même totalement.

Ah oui bien entendu mais parfois c'est juste parce que ce n'est pas possible du tout pour eux.

Oui bien sûr, mais avec le temps tu vois bien ceux qui annulent seulement quand ils ont un gros souci et ceux qui annulent quand ils ont la flemme ou quand ils ont trouvé mieux à côté.

De même pour les retards, pour l'investissement dans des évènements communs... ceux qui ne font jamais la vaisselle, c'est rarement à cause d'un trouble.
 

Etoile

Génie
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Le CNED quand tu n'es pas capable de suivre une scolarité normale, c'est rarement un succès. Soit les parents sont derrière tous les jours, soit c'est compliqué. Cela demande énormément d'autonomie, beaucoup plus que l'école classique. Peut-être en fin de lycée, mais au collège c'est très difficile de s'organiser soi-même totalement.
Parfois la phobie scolaire vient plus du mieu du collège que du cursus mais oui ça dépend des cas.
Oui bien sûr, mais avec le temps tu vois bien ceux qui annulent seulement quand ils ont un gros souci et ceux qui annulent quand ils ont la flemme ou quand ils ont trouvé mieux à côté. De même pour les retards, pour l'investissement dans des évènements communs... ceux qui ne font jamais la vaisselle, c'est rarement à cause d'un trouble.
Oui TwT. (et puis t'as moi qui supporte pas les éponges et qui enleve donc la partie qui gratte pour faire la vaisselle XDD)
 

Amaury

Apprenti(e)
2 Juin 2024
81
73
Lunettes à verre teinté, bouchons d'oreille, casque anti-bruit... il existe tout de même de nombreuses manières de se protéger d'un environnement gênant.
La statistique sur l'espérance de vie est à prendre avec des pincettes, les études sont peu nombreuses et souvent anciennes.
Concernant les outils que tu cites, je pense surtout qu'il faut prendre en compte le fait qu'il n'est pas toujours acceptable de les utiliser au quotidien. Par exemple, les lunettes à verres teintées sont mal vues dans le milieu scolaire ou le lieu de travail. Dans mon cas (pas encore diagnostiquée par le CRA mais affirmée par une neuropsychologue et un psychiatre), des teintes très sombres sont nécessaires, d'où la nécessité d'un aménagement pour les autistes, donc de diagnostic posé.
Les LEDs sont utilisées absolument partout maintenant, il est bien normal que la qualité de vie en soit dégradée.

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Sinon pour en revenir au sujet principal, je pense que les tests de QI ont énormément de limites.

Je l'ai déjà pointé sur l'autre topic mais j'ai de gros doutes sur certains tests, qui pour moi, ne montrent pas l'intelligence d'un individu, surtout pour la catégorie Compréhension Verbale.
Le vocabulaire qu'une personne possède est très liée au milieu qu'elle fréquente. Forcément une personne issue d'un milieu bourgeois performera mieux au test qu'une personne issue d'un milieu modeste.
La culture générale, je trouve ça dommage de considérer qu'une personne ayant une culture très approfondie dans un domaine et pas de culture sur tous les domaines (littérature, physique, etc.) aura un QI moins élevé qu'une personne ayant retenue des connaissances sans importance qu'on apprend au collège.

C'est pourquoi cela ne m'étonne pas qu'Etoile précise que c'était utilisé pour évaluer les capacités scolaires.

Et oui, je vous rejoins quand vous dîtes que le QI se travaille. Je pense cependant que certaines personnes possèdent bien un niveau d'avance innée et que le test de QI n'est pas du bullshit total même s'il possède plusieurs défauts.

Pour l'aspect charlatanisme, je vous avoue que mes connaissances sont limitées pour me positionner réellement mais je suis d'avis à dire que la science est encore trop limitée à ce sujet pour se prétendre pouvoir définir ce qu'est une personne avec une intelligence supérieure et que les tests de QI ne définissent pas vraiment tout.
Messages fusionnés :

Oui, j'ai un frère HPI (mais avec QI hétérogène + autisme, cherchez l'erreur), le suis très probablement, ai sûrement une mère HPI, connaît des gens HPI etc etc.
J'ai une question qui a un lien direct avec ce que tu dis sur ton frère (qui s'applique sur moi, étant dans le même cas). As-tu connaissance du General Ability Index et si oui, t'en penses quoi ?
 
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ROSE15

Grand Sage
23 Sept 2024
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Concernant les outils que tu cites, je pense surtout qu'il faut prendre en compte le fait qu'il n'est pas toujours acceptable de les utiliser au quotidien. Par exemple, les lunettes à verres teintées sont mal vues dans le milieu scolaire ou le lieu de travail. Dans mon cas (pas encore diagnostiquée par le CRA mais affirmée par une neuropsychologue et un psychiatre), des teintes très sombres sont nécessaires, d'où la nécessité d'un aménagement pour les autistes, donc de diagnostic posé.
Les LEDs sont utilisées absolument partout maintenant, il est bien normal que la qualité de vie en soit dégradée.

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Sinon pour en revenir au sujet principal, je pense que les tests de QI ont énormément de limites.

Je l'ai déjà pointé sur l'autre topic mais j'ai de gros doutes sur certains tests, qui pour moi, ne montrent pas l'intelligence d'un individu, surtout pour la catégorie Compréhension Verbale.
Le vocabulaire qu'une personne possède est très liée au milieu qu'elle fréquente. Forcément une personne issue d'un milieu bourgeois performera mieux au test qu'une personne issue d'un milieu modeste.
La culture générale, je trouve ça dommage de considérer qu'une personne ayant une culture très approfondie dans un domaine et pas de culture sur tous les domaines (littérature, physique, etc.) aura un QI moins élevé qu'une personne ayant retenue des connaissances sans importance qu'on apprend au collège.

C'est pourquoi cela ne m'étonne pas qu'Etoile précise que c'était utilisé pour évaluer les capacités scolaires.

Et oui, je vous rejoins quand vous dîtes que le QI se travaille. Je pense cependant que certaines personnes possèdent bien un niveau d'avance innée et que le test de QI n'est pas du bullshit total même s'il possède plusieurs défauts.

Pour l'aspect charlatanisme, je vous avoue que mes connaissances sont limitées pour me positionner réellement mais je suis d'avis à dire que la science est encore trop limitée à ce sujet pour se prétendre pouvoir définir ce qu'est une personne avec une intelligence supérieure et que les tests de QI ne définissent pas vraiment tout.
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J'ai une question qui a un lien direct avec ce que tu dis sur ton frère (qui s'applique sur moi, étant dans le même cas). As-tu connaissance du General Ability Index et si oui, t'en penses quoi ?

Une pédopsychiatre à qui j'ai posé la question me disait en substance ceci :
- il y a peu d'usages sérieux des tests de QI en psychiatrie professionnelle sérieuse (milieu hospitalier, HDJ, IME...) - cela exclut les gens qui gagnent des sous avec en libéral,
- l'usage principal consiste à détecter le niveau de développement de l'enfant car on mesure le QI d'un enfant par rapport à la référence pour son âge
- dans cet usage on ne s'intéresse pas tellement à la valeur absolue mais à d'éventuelles différences montrant des difficultés d'apprentissage spécifiques (par exemple en maths versus lecture)

Personne ne prétend sérieusement que le QI mesure largement l'intelligence... Il faut faire la différence entre la littérature grand public et la recherche académique.
 
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Amaury

Apprenti(e)
2 Juin 2024
81
73
Une pédopsychiatre à qui j'ai posé la question me disait en substance ceci :
- il y a peu d'usages sérieux des tests de QI en psychiatrie professionnelle sérieuse (milieu hospitalier, HDJ, IME...) - cela exclut les gens qui gagnent des sous avec en libéral,
- l'usage principal consiste à détecter le niveau de développement de l'enfant car on mesure le QI d'un enfant par rapport à la référence pour son âge
- dans cet usage on ne s'intéresse pas tellement à la valeur absolue mais à d'éventuelles différences montrant des difficultés d'apprentissage spécifiques (par exemple en maths versus lecture)

Personne ne prétend sérieusement que le QI mesure largement l'intelligence... Il faut faire la différence entre la littérature grand public et la recherche académique.
Il est en effet beaucoup plus pertinent d'utiliser le QI pour détecter le niveau de développement d'une personne plutôt que mesurer l'intelligence. Le problème ne serait donc pas le test en lui-même mais l'utilisation qui en est faite.
 
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ROSE15

Grand Sage
23 Sept 2024
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Il est en effet beaucoup plus pertinent d'utiliser le QI pour détecter le niveau de développement d'une personne plutôt que mesurer l'intelligence. Le problème ne serait donc pas le test en lui-même mais l'utilisation qui en est faite.
En effet !
 

siqleb

Vagabond
16 Déc 2024
12
9
Bonjour, suite à une interessante discution au sujet du HPI dans le topic intelligence mais qui était HS, j'aimerais avoir votre avis ; que pensez vous des tests de QI et plus particulierement du HPI ?
c’est bete de dire qu’il existe des personnes a « haut potentiel », est ce que ca voudrait dire que certaines personnes on un bas potentiel ? c’est pejoratif un peu
 
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ROSE15

Grand Sage
23 Sept 2024
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c’est bete de dire qu’il existe des personnes a « haut potentiel », est ce que ca voudrait dire que certaines personnes on un bas potentiel ? c’est pejoratif un peu
Surtout que ceux qui utilisent ce terme passent leur temps à affirmer (à tort) que les "hauts potentiels" ont des tas de problèmes et de troubles. Haut potentiels d'avoir des ennuis, en somme.
 
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