Exactement !Je trouve que ça ne veut rien dire, aujourd'hui on détourne ça et on fait passer des comportements pour cause le HPI a tout va, ce que je trouve inadmissible.
Eh bien le test de HPI a été fait pour évaluer des capacités scolaires il y a plusieurs décennies, ces tests ne devraient pas être d'actualité. Après, l'évaluation finale n'est même pas fixe ce qui fait deux des testsEt toi tu en penses quoi du coup
Je vois... D'accord !Eh bien le test de HPI a été fait pour évaluer des capacités scolaires il y a plusieurs décennies, ces tests ne devraient pas être d'actualité. Après, l'évaluation finale n'est même pas fixe ce qui fait deux des tests
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Zut bug.
Des tests invalides car non relatifs à un point.
Ils sont fait à tord et à travers et expliqués en fonction d'un patient ayant payé une fortune.
Exactement, un business, qui n'est pas mauvais en soit car il marche énormément. Les gens sont prêt à payer pour se donner ce titre qui leur donne l'impression d'être spécial...Je ne reviens pas sur les légendes HPI, totalement infondées sur le plan scientifique.
Ce qui est assez amusant c'est que tout le monde maintenant a dans son entourage un paquet de gens testés HPI. Quand on sait qu'ils sont censés représenter 2% de la population et que tout le monde ne fait pas ces tests, ça en dit long sur le sérieux de l'exercice.
Il y a même plein de gens qui affichent des scores qui les placeraient dans les 0,1% de la population. On devrait n'en croiser presque jamais, or il y en a plein partout.
J'émets une hypothèse : avec un petit entraînement et en voyant quelques de psys complaisants, tout le monde peut avoir un test HPI positif.
C'est un sacré business.
Mais, comme tu l'as dit, il fait beaucoup de dégâts. Un type qui se paie des mauvaises notes parce qu'il ne bosse pas mettra par exemple ses résultats sur le compte de sa surdouance. Idem pour des problèmes relationnels. Idem si on lui fait remarquer qu'il dit des âneries... ce sera l'effet de sa pensée arborescente (foutaises).Exactement, un business, qui n'est pas mauvais en soit car il marche énormément. Les gens sont prêt à payer pour se donner ce titre qui leur donne l'impression d'être spécial...
C'est totalement débile, un coup c'est une excuse pour dire qu'on est intelligent, un coup c'est une excuse pour dire qu'on ne l'est pas. (Enfin tu as compris hein)Mais, comme tu l'as dit, il fait beaucoup de dégâts. Un type qui se paie des mauvaises notes parce qu'il ne bosse pas mettra par exemple ses résultats sur le compte de sa surdouance. Idem pour des problèmes relationnels. Idem si on lui fait remarquer qu'il dit des âneries... ce sera l'effet de sa pensée arborescente (foutaises).
OkiJe ne reviens pas sur les légendes HPI, totalement infondées sur le plan scientifique.
Oui, j'ai un frère HPI (mais avec QI hétérogène + autisme, cherchez l'erreur), le suis très probablement, ai sûrement une mère HPI, connaît des gens HPI etc etc.Ce qui est assez amusant c'est que tout le monde maintenant a dans son entourage un paquet de gens testés HPI. Quand on sait qu'ils sont censés représenter 2% de la population et que tout le monde ne fait pas ces tests, ça en dit long sur le sérieux de l'exercice.
J'ai vu un gars qui disait avoir 173. J'ai une amie qui a 152 et cets vrai (elle est autiste + pleins de troubles et a sauté 2 classes) mais pourtant elle l'affiche pas partout !Il y a même plein de gens qui affichent des scores qui les placeraient dans les 0,1% de la population. On devrait n'en croiser presque jamais, or il y en a plein partout.
Oui je suis 100% d'accord.J'émets une hypothèse : avec un petit entraînement et en voyant quelques de psys complaisants, tout le monde peut avoir un test HPI positif.
Money money.C'est un sacré business.
Rien que toi et ton entourage ça fait je sais pas combien de personnes "surdoué" alors qu'il ne devrait en avoir que peut, tout le monde connaît une personne HPI de toute façon...Oki
Oui, j'ai un frère HPI (mais avec QI hétérogène + autisme, cherchez l'erreur), le suis très probablement, ai sûrement une mère HPI, connaît des gens HPI etc etc.
J'ai vu un gars qui disait avoir 173. J'ai une amie qui a 152 et cets vrai (elle est autiste + pleins de troubles et a sauté 2 classes) mais pourtant elle l'affiche pas partout !
Oui je suis 100% d'accord.
Money money.
Oui ! Exactement. Après certains ont VRAIMENT des troubles mais le HPI n'est qu'un indicateur pour orienter les diags.Rien que toi et ton entourage ça fait je sais pas combien de personnes "surdoué" alors qu'il ne devrait en avoir que peut, tout le monde connaît une personne HPI de toute façon...
Oui oui je ne remets pas ça en question ! Mais plutôt la manière dont est utilisé cet indicateur.Oui ! Exactement. Après certains ont VRAIMENT des troubles mais le HPI n'est qu'un indicateur pour orienter les diags.
Oui oui je sais que tu remets pas ça en question tkt.Oui oui je ne remets pas ça en question ! Mais plutôt la manière dont est utilisé cet indicateur.
Oui oui je sais que tu remets pas ça en question tkt.
100% d'accord avec toi. L'indicateur est en gros étrange. Si t'as un qi au dessus/en dessous/hétérogène alors t'as probablement un autre trouble d'après ce que j'ai compris cets comme ça qu'ils l'utilisent.
Pas de bons scores mais un résultat de test de QI est demandé pour un diag tel que le TSA donc c'est sûrement pour une raison.Sur le plan scientifique il n'y a aucun lien établi entre le fait d'avoir des bons scores aux tests de QI (HPI) et des troubles.
Oui.Si tu as un score de 60, évidemment c'est potentiellement la traduction d'une déficience mentale.
S'il y a des scores très déséquilibrés pendant l'enfance, cela peut dénoter des difficultés d'apprentissage. C'est à ma connaissance le seul usage de ces tests en psychiatrie professionnelle.
Pour le reste non, pas de lien.
Exactement. Nous sommess probablement autistes (et bipolaire pour ma mère...) ce qui est en gros la cause des insomnies/trop de pensées etc etc que beaucoup attribuent au HPI.Le fait que tout le monde soit HPI dans ta famille n'est pas une exception et ne fait que confirmer que les tests sont bidouillés pour faire plaisir au client. C'est lamentable de la part de professionnels.
Oui, mais les diags sont beaucoup plus surveillés que le HPI et les difficultés beaucoup plus concrètes (quand tes HPI tu t'effondres pas dès que tas un frolement ou un bruit aigue par exemple).On a la même chose pour le TSA, qui lui est un trouble référencé et que tu évoques. Les critères diagnostics n'étant pas très tranchés, on en diagnostique à la pelle.
Oui...Idem pour TDAH. C'est parfois à se demander s'il y a des gens qui ne le sont pas, du moins parmi ceux qui estiment avoir des soucis.
Exactement.C'est le syndrome bien connu de la "maladie à la mode" qui s'est renforcé quand on parle de "troubles". On peut le décrire ainsi :
1 - Une vraie maladie ou un vrai trouble touche une petite partie de la population et présente deux critères :
- Le diagnostic de ce souci laisse une certaine place à l'interprétation.
- Il n'est pas trop grave ni trop stigmatisant socialement.
(parfois ce n'est même pas une vraie maladie ou un vrai trouble, et ce n'est jamais un truc gravissime comme a schizophrénie ou le cancer)
Mettons que ce soit la rigolose, qui donne des maux de tête et rend irascible.
2 - Les gens s'intéressent à ce souci et il devient à la mode.
3 - Plein de gens se persuadent qu'ils sont touchés par la rigolose.
Par exemple ils sont irascibles, donc ils ont la rigolose.
4 - Ils vont voir des médecins qui leur disent que non, ils ne l'ont pas.
5 - Ils changent de médecins.
6 - Ils finissent par trouver un médecin (ou un psy quelconque) qui leur dit : "ah oui vous l'avez, c'est une belle rigolose"
7 - Ils en concluent que lui au moins sait diagnostiquer leur souci et que décidément la rigolose est mal comprise.
8 - Ils en parlent partout.
9 -Les gens qui s'imaginent avoir une rigolose crient au complot ou à l'incompétence chez les médecins qui ne trouvent pas de rigoloses.
10 - Ils vont tous voir les médecins qui en trouvent à tout le monde.
11 - La proportion de rigoloses augmente dans la population de manière étonnante, mais ceux qui s'estiment touchés disent que c'est parce que c'était mal diagnostiqué avant !
12 - Un jour ça passe de mode et hop on passe à un autre trouble.
A la mode il y a eu la spasmophilie, l'électro-sensibilité (qui n'existe pas), la fibromyalgie, la maladie de Lyme, TADH, HPI, HPE (qui ne sont pas des troubles), l'intolérance au gluten...
Oui...Cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas des personnes vraiment touchées, mais attention à ces diagnostics largement bidons.
Pas de bons scores mais un résultat de test de QI est demandé pour un diag tel que le TSA donc c'est sûrement pour une raison.
Oui.
Exactement. Nous sommess probablement autistes (et bipolaire pour ma mère...) ce qui est en gros la cause des insomnies/trop de pensées etc etc que beaucoup attribuent au HPI.
Oui, mais les diags sont beaucoup plus surveillés que le HPI et les difficultés beaucoup plus concrètes (quand tes HPI tu t'effondres pas dès que tas un frolement ou un bruit aigue par exemple).
Par contre la maladie de Lyme cest pas a cause des tiques ? Comment on peut le simuler ?
Oui oui.Pour les raisons que j'évoque ensuite : le fait qu'un enfant ait des troubles de l'apprentissage a un impact sur les résultats du WISC et constitue un des éléments de diagnostic des TSA.
Pour le dire simplement : si quelqu'un a des mauvais résultats à des tests de QI c'est un facteur de diagnostic de TSA, pas l'inverse.
Oui, mais on a pas tous la possibilité d'avoir un vrai diag, je me base donc sur l'opinion de l'amie psychiatre spécialisée dans le TSA de ma mère mais n'ayant pas de diag officiel, je dis probablement.Personnellement, je ne comprends pas le "probablement". Tu es TSA si tu as eu un diagnostic posé par un psychiatre. L'auto-diagnostic n'est pas une bonne idée.
Oui et non. Aujourd'hui, le TSA "léger" est diagnostiqué alors que avant ce n'était pas le cas, pourtant certains TSA dits légers sont loin d'être faciles.Et encore, honnêtement, les psys posent tellement de diags pour faire plaisir aux patients que le TSA actuel n'a plus grand chose à voir avec l'autisme tel qu'appréhendé il y a 20 ans, qui correspondait seulement à des situations très lourdes.
Oui et encore une fois c'est beaucoup plus compliqué que ça. Je ne parle pas de sauts d'humeurs mais de phases complètement invivables et d'autres extrêmement joyeuses mais bizarres. Mais étant donnée que personne ne peut la forcer à se diag, on fait avec ce qu'on a.Idem pour bipolaire : c'est une pathologie lourde et pour le coup le diagnostic reste assez restreint. Variations d'humeur ne veut pas dire bipolarité. Si ta mère a reçu un diagnostic médical, tu peux considérer qu'elle EST bipolaire, sinon gare au diagnostic amateur.
Avant, le TSA était tabou, les filles ne se faisaient pas diagnostiquer. Ce n'est pas les critères qui ont changés mais l'acceptation d'aller se faire diagnostiquer.Si les diags étaient si surveillé on n'aurait pas une augmentation délirante du nombre de TSA... Je ne dis pas que les diags ne sont pas faits, je dis que le seuil pris en compte pour considérer que quelqu'un a un TSA a considérablement été diminué. Si je fais simple, avant il fallait avoir une forme assez sévère, maintenant on se rapproche de gens qui ont juste des traits de caractère particuliers.
Sabord. Mais la maladie de Lyme cest super grave, un ami de mon père l'a eu et il en est sorti lourdement handicapé...après quand tu as un hématome rond après une piqûre ça signifie que la maladie pourrait se développer, pas que tu l'as.En effet c'est à cause des tiques, mais parfois le tique pique, tombe, tu ne le vois pas et tu as la maladie alors que le tique n'est plus là. Donc plein de gens qui se sentaient fatigués pensaient avoir été piqués par des tiques. Et comme les tests ne donnaient rien ils se persuadaient d'avoir été mal diagnostiqués et allaient tous chez des professionnels complaisants qui leur trouvaient à tous des maladies de Lyme (qu'ils prenaient pour des génies, du coup).
Oui et non. Aujourd'hui, le TSA "léger" est diagnostiqué alors que avant ce n'était pas le cas, pourtant certains TSA dits légers sont loin d'être faciles.
Oui et encore une fois c'est beaucoup plus compliqué que ça. Je ne parle pas de sauts d'humeurs mais de phases complètement invivables et d'autres extrêmement joyeuses mais bizarres. Mais étant donnée que personne ne peut la forcer à se diag, on fait avec ce qu'on a.
Je t'assure que les critères ont changé. Les gens avec des problèmes sérieux allaient déjà chez les psys il y a 20 ans.Avant, le TSA était tabou, les filles ne se faisaient pas diagnostiquer. Ce n'est pas les critères qui ont changés mais l'acceptation d'aller se faire diagnostiquer.
Sabord. Mais la maladie de Lyme cest super grave, un ami de mon père l'a eu et il en est sorti lourdement handicapé...après quand tu as un hématome rond après une piqûre ça signifie que la maladie pourrait se développer, pas que tu l'as.