Tu es obligé à chaque fois de sortir ça ? C'est ridiculeZavépakompri
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Tu es obligé à chaque fois de sortir ça ? C'est ridiculeZavépakompri
Question conne : si c'était possible, pourquoi les chrétiens nempecheraient pas la famine dans le monde ?A supposer que tu croies qu'on peut multiplier les poissons ou le pain.
L'argument selon lequel quand on n'est pas d'accord c'est qu'on n'a pas compris est un peu fatiguant. Si on pense que l'autre n'a pas compris, il suffit d'apporter des précisions.Tu es obligé à chaque de sortir ça ? C'est ridicule
Ouais bah rien ne t'oblige à écrire ça chaque fois heinL'argument selon lequel quand on n'est pas d'accord c'est qu'on n'a pas compris est un peu fatiguant. Si on pense que l'autre n'a pas compris, il suffit d'apporter des précisions.
C'est vrai, mais c'est pratiquement dans tous ses messages que ce soit ici ou même les autres, ça en devient pire que ridicule en fait. Faut savoir être sérieux un peu, le temps d'un message, ce n'est pas compliqué !@BlackStar @ROSE15 etes un peu HS, pourquoi vous vous concentrez sur ça ?
lolIl n'était pas représenté comme barbu aux premiers temps du Christianisme, voir par exemple les mosaïques de Saint Appolinaire in classe à Ravenne.
Je trouve pas.Zavépakompri, épisode 3445. Même dans le cadre de la foi chrétienne, le lien entre le pardon et la sérénité n'a rien d'évident.
Nous ne sommes qu'humain malgré toutD'ailleurs si les Chrétiens pardonnaient si facilement que cela, ça se saurait.
Ouais, ça je comprends pas.A supposer qu'il faille aimer tout le monde, on peut tout à fait aimer sans pardonner.
Pardonner c'est possiblement prendre supériorité sur son agresseur. On t'a giflé quand t'étais ; 20 ans plus tard tu es une armoire avec 100 kg de muscles, tu ne vas pas détruire celui qui t'a giflé, mais lui pardonner, justement parceque tu en as le pouvoir. Je le vois comme ça.Absolument pas. C'est être en cohérence avec soi-même. On t'a violé enfant ? Tu en veux au coupable. C'est l'état de cohérence. C'est la sérénité. Ne pas lui en vouloir, lui avoir pardonné en l'absence de tout regret, de toute contrition, de toute demande de pardon de sa part, c'est une plaie ouverte. Elle n'est pas pansée par l'idée de justice.
C'est dur mais ça s'est déjà vu. Je trouve ça stylé.Imagine-t-on cette injonction au pardon s'appliquer à des victimes de la Shoah ? Il faut pardonner aux Nazis pour être en paix avec soi-même ? Et puis quoi encore ? Et les parents dont l'enfant a été assassiné par un criminel sans remord, ils doivent pardonner ?
Alors là xD Malheureusement oui :')Evidemment la plupart des Chrétiens ne font rien de tout cela.
Jamais entendu parlerDommage. Est ce que tu sais si El Khalil a une importance particulière aussi ?
On est pas tous Jésus xDQuestion conne : si c'était possible, pourquoi les chrétiens nempecheraient pas la famine dans le monde ?
Là bas, il ya la tombe de Ibrahim, les chrétiens y accordent une importance donc, en tout cas les palestiniens oui. C'est drôle, je ne suis pas chrétienne et pourtant je sais certaines choses, mais c'est plus parce que c'est en Palestine finalement.Jamais entendu parler![]()
Honnêtement je pense que tu comprends mal ta propre religion. Heureusement que pardonner ça n'est pas "prendre supériorité". Ce serait une approche orgueilleuse : je te pardonne parce que cela marque ma supériorité. Non. Quand on pardonne on le fait d'égal à égal. Aucun sentiment hiérarchique ne doit intervenir.Pardonner c'est possiblement prendre supériorité sur son agresseur. On t'a giflé quand t'étais ; 20 ans plus tard tu es une armoire avec 100 kg de muscles, tu ne vas pas détruire celui qui t'a giflé, mais lui pardonner, justement parceque tu en as le pouvoir. Je le vois comme ça.
Je ne pense pas. Etre capable de pardon dans n'importe quelle circonstance, c'est stylé (et un des bons côtés du Christianisme), mais l'injonction au pardon me semble elle tout à fait toxique, une forme d'inversion de la culpabilité : si tu ne pardonnes pas alors tu n'agis pas comme il faut.C'est dur mais ça s'est déjà vu. Je trouve ça stylé.
J'aurais du le mettre entre guillemet ; quand je dis prendre supériorité, c'est amener une main qui permet à l'autre de se relever. Mais tu es debout toi. Pas une supériorité d'égo ou hiérarchique.Honnêtement je pense que tu comprends mal ta propre religion. Heureusement que pardonner ça n'est pas "prendre supériorité". Ce serait une approche orgueilleuse : je te pardonne parce que cela marque ma supériorité. Non. Quand on pardonne on le fait d'égal à égal. Aucun sentiment hiérarchique ne doit intervenir.
Je ne sais pas si c'est réellement une injonction. C'est plutôt un évitement au péché. Puisque quelles seraient les raisons de ne pas pardonner si ce n'est un péché (ou quelque chose dans l'esprit d'un péché) ?Je ne pense pas. Etre capable de pardon dans n'importe quelle circonstance, c'est stylé (et un des bons côtés du Christianisme), mais l'injonction au pardon me semble elle tout à fait toxique, une forme d'inversion de la culpabilité : si tu ne pardonnes pas alors tu n'agis pas comme il faut.
En quoi es-tu debout ? Tu peux être le dernier des derniers et pardonner à un être quasi-parfait.J'aurais du le mettre entre guillemet ; quand je dis prendre supériorité, c'est amener une main qui permet à l'autre de se relever. Mais tu es debout toi. Pas une supériorité d'égo ou hiérarchique.
Je ne reconnais évidemment pas la notion de péché, mais l'on voit bien que par ton raisonnement tu inverses la culpabilité. La personne dont on a assassiné la famille commet un péché parce qu'elle ne pardonne pas à l'assassin ?Je ne sais pas si c'est réellement une injonction. C'est plutôt un évitement au péché. Puisque quelles seraient les raisons de ne pas pardonner si ce n'est un péché (ou quelque chose dans l'esprit d'un péché) ?
C'est encore mieux !En quoi es-tu debout ? Tu peux être le dernier des derniers et pardonner à un être quasi-parfait.
Le "péché" est compréhensible, et il sera dur de le surpasser. C'est un peu comme un deuil dans ce cas précis finalement.Je ne reconnais évidemment pas la notion de péché, mais l'on voit bien que par ton raisonnement tu inverses la culpabilité. La personne dont on a assassiné la famille commet un péché parce qu'elle ne pardonne pas à l'assassin ?
C'est pour cela que je ne parlerais pas d'injonction. Car effectivement, une injonction enlèverait la valeur du pardon. Disons que c'est plutôt la bonne chose à faire.Moi je ne suis pas d'accord : elle est légitime à ne pas pardonner. Si l'assassin ne fait aucune démarche pour être pardonné c'est même absurde de le faire. Et s'il demande pardon, c'est la liberté de la victime d'accorder ou pas ce pardon. Avec zéro injonction. S'il y a la moindre injonction cela altère d'ailleurs la valeur et la sincérité de ce pardon.
Oui mais pas par toi. C'est tout à fait orgueilleux de considérer que tu élèves ton voisin.C'est encore mieux !
Luc 14:11 "Car quiconque s'élève sera abaissé, et quiconque s'abaisse sera élevé."
Mais quelle horreur, franchement. On assassine tes parents, et tu es coupable parce que ne parviens pas à pardonner ? Tu crois à une religion qui promeut ce genre de fadaises morales ?Le "péché" est compréhensible, et il sera dur de le surpasser. C'est un peu comme un deuil dans ce cas précis finalement.
C'est tout à fait une injonction, de la manière dont tu le formules.C'est pour cela que je ne parlerais pas d'injonction. Car effectivement, une injonction enlèverait la valeur du pardon. Disons que c'est plutôt la bonne chose à faire.
Nan nan c'est l'Esprit saint. Pas toi.Oui mais pas par toi. C'est tout à fait orgueilleux de considérer que tu élèves ton voisin.
Tu n'es pas coupable ; mais tu ne peux pas juste baigner dans la colère jusqu'à la fin de tes jours.Mais quelle horreur, franchement. On assassine tes parents, et tu es coupable parce que ne parviens pas à pardonner ? Tu crois à une religion qui promeut ce genre de fadaises morales ?
Elle n'est pas coupable ; dans le sens où par la prière elle est censé pardonner. Par la confession aussi. Le non-pardon ronge la personne.C'est très stylé l'idée du pardon inconditionnel, mais dans les faits cela aboutit bien à une inversion accusatoire, la victime devenant coupable dès lors qu'elle ne pardonne pas.
Justement ; ça ne marche pas comme cela, puisque les efforts, les demandes de pardon, et les confessions ne sont pas sincère si on se dit "oh c'est pas grave" ; "c'est rien". Il ne faut pas se flageller non plus à la moindre erreur ; mais il faut la reconnaître et être fière de ne plus vouloir la faire. D'essayer d'être un meilleur homme dans la foi.Mais au fond on s'accommode très bien d'être pécheur, puisque tout le monde l'est. C'est un peu comme toi et la masturbation. Du coup tant qu'à être imparfait, on peut commettre les pires saloperies en se disant que c'est pas grave, toute le monde pèche, du moment qu'on fait des efforts, qu'on se confesse, etc.
Rien ne GARANTIE une saine morale, je suis d'accord.C'est pour cela que la religiosité n'est pas du tout garante d'une saine morale, elle a même souvent un effet inverse.
Et pourquoi pas ? Et même si tu voulais abandonner ta colère, l'inverse de la colère n'est pas le pardon mais l'indifférence. Le pardon c'est un acte envers quelqu'un. L'accès à l'indifférence c'est entre toi et toi-même. La philosophie bouddhiste ou l'ataraxie grecque sont de ce point de vue bien supérieurs à l'injonction chrétienne au pardon.Tu n'es pas coupable ; mais tu ne peux pas juste baigner dans la colère jusqu'à la fin de tes jours.
Tu dis qu'elle n'est pas coupable mais tout ce que tu écris démontre l'inverse. Elle DOIT chercher à pardonner. Elle est censée être rongée par le non-pardon (personnellement je me porte super bien de ne pas pardonner). Elle agit MAL quand elle ne pardonne pas.Elle n'est pas coupable ; dans le sens où par la prière elle est censé pardonner. Par la confession aussi. Le non-pardon ronge la personne.
La culpabilisation générale fait de l'état de péché la norme. Même tout seul tu pèches déjà. Dès la naissance tu es pécheur. Du coup dans ce gros magma de péchés les actes réellement répréhensibles passent souvent inaperçus.Justement ; ça ne marche pas comme cela, puisque les efforts, les demandes de pardon, et les confessions ne sont pas sincère si on se dit "oh c'est pas grave" ; "c'est rien". Il ne faut pas se flageller non plus à la moindre erreur ; mais il faut la reconnaître et être fière de ne plus vouloir la faire. D'essayer d'être un meilleur homme dans la foi.
On peut pas être indifférent à quelque chose d'aussi important que ça.Et pourquoi pas ? Et même si tu voulais abandonner ta colère, l'inverse de la colère n'est pas le pardon mais l'indifférence. Le pardon c'est un acte envers quelqu'un. L'accès à l'indifférence c'est entre toi et toi-même. La philosophie bouddhiste ou l'ataraxie grecque sont de ce point de vue bien supérieurs à l'injonction chrétienne au pardon.
Elle doit au moins chercher en elle ce pardon. Si celui-çi ne fait jamais surface, alors peut-être en est-il ainsi. Par la prière elle trouvera sa sérénité. Rongé n'est pas le bon mot. Et elle n'agit pas mal quand elle ne pardonne pas ; mais elle n'agit pas bien pour autant.Tu dis qu'elle n'est pas coupable mais tout ce que tu écris démontre l'inverse. Elle DOIT chercher à pardonner. Elle est censée être rongée par le non-pardon (personnellement je me porte super bien de ne pas pardonner). Elle agit MAL quand elle ne pardonne pas.
Ils ne passent pas inaperçu. On est tous pêcheur certes, mais on aimerait agir comme si l'on ne voulait plus l'être. Et certains péchés sont plus graves que d'autres. On est "plus ou moins" pécheur.La culpabilisation générale fait de l'état de péché la norme. Même tout seul tu pèches déjà. Dès la naissance tu es pécheur. Du coup dans ce gros magma de péchés les actes réellement répréhensibles passent souvent inaperçus.
On peut parfaitement être indifférent à une agression passée sans l'avoir pardonnée.On peut pas être indifférent à quelque chose d'aussi important que ça.
La prière de quoi au juste ? Je te rappelle que la victime est censée pardonner, en ne le faisant pas elle désobéit à ce qu'on lui enjoint de faire.Elle doit au moins chercher en elle ce pardon. Si celui-çi ne fait jamais surface, alors peut-être en est-il ainsi. Par la prière elle trouvera sa sérénité. Rongé n'est pas le bon mot. Et elle n'agit pas mal quand elle ne pardonne pas ; mais elle n'agit pas bien pour autant.
C'est bien le problème : un magma de péchés où en fait on a les mains assez libres.Ils ne passent pas inaperçu. On est tous pêcheur certes, mais on aimerait agir comme si l'on ne voulait plus l'être. Et certains péchés sont plus graves que d'autres. On est "plus ou moins" pécheur.
Oui tu peux oublier ; mais bon le meurtre de sa fille c'est chaud x)On peut parfaitement être indifférent à une agression passée sans l'avoir pardonnée.
On t'a piqué un jouet à la crèche ? Tu n'y accordes plus d'importance. Est-ce que c'était juste, est-ce qu'il faut pardonner la personne qui t'a piqué le jouet ? Tu t'en fous.
On t'a mis une mauvaise note alors que tu méritais mieux ? Sur le coup ça t'est pénible, des années après tu t'en fous.
Au-delà du temps qui passe, tu peux faire un travail pour te défaire de tes passions, du désir, de la colère... c'est la voie qu'explore le bouddhisme. Personnellement je vis très bien avec des passions.
Je suis d'accord ; un pardon passe par la compréhension de l'acte, parceque si ça se trouve pas besoin de pardonner.Le pardon chez les Chrétiens c'est un mot qui sonne souvent creux. Pour pardonner au professeur qui t'a donné une mauvaise note, véritablement, il faudrait comprendre ses motivations. S'il a fait son boulot avec conscience et qu'il a sincèrement cru que tu méritais cette note, alors il n'a eu aucune mauvaise intention et il n'y a rien à pardonner. S'il était de mauvaise humeur avant de te corriger parce que sa femme venait de le quitter, le pardon est plus facile. S'il l'a fait pour te nuire, plus difficile.
Pour moi le pardon suppose une demande de pardon, mais, même en enlevant cette condition, un pardon sans compréhension de l'acte, c'est un geste formel et creux.
Personne ne lui enjoint de faire cela en vérité. Cela fait juste parti de sa relation avec le Seigneur, donc elle doit prier Dieu et lui demander conseil.La prière de quoi au juste ? Je te rappelle que la victime est censée pardonner, en ne le faisant pas elle désobéit à ce qu'on lui enjoint de faire.
Tu es toujours libre ça c'est sûr. Mais tu ne peux pas tromper Dieu en t'excusant non sincèrement.C'est bien le problème : un magma de péchés où en fait on a les mains assez libres.
Mais pourquoi votre dieu accepterait ça ?On est pas tous Jésus xD
Parce que Dieu nous laisse libres. Par exemple, pourquoi est-il qu'il ne ferait pas en sorte que tout le monde croit en lui ? Car il nous laisse libre de choisir, dans toutes les circonstances. Je me suis beaucoup poser cette question, comme toi.Mais pourquoi votre dieu accepterait ça ?