Poémes

Ornithorinque

Initié(e)
Auteur du topic
3 Mar 2025
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347
S'exorciser du silence et de la douleur ces dure ,mais une feuille et crayon ces a la portée de tous ,et un cœur douloureux qui n'a personne à qui se livrer ,écrira toujour SA vérité, ,d'une façon pur, sans orgueil ni prétentions, sans préjugés ,sans intentions autre que de ce déverser, de Livrer sur la feuille l'encre de notre stylets comme du poison que l'on aurait dans les veines, Comme un poison dont l'on doit se débarrasser. Alors aujourd'hui j'ai écris deux poème :
Messages fusionnés :

Es-ce bien bizzard ?​
Que nous soyons plus de six,​
milliards,
qui parcourons la terre.
mais bien que nous soyons, d'eux,
nous sentons seul,sans matière,
à la discussion.
isolé entre les mains
austère,
de ces ville réunissant
les prières.
pour mieux éloigner la discussion.
es-ce étrange
qu'il y est le soleil chaque matin
s'élèvent comme un ange
dans ce ciel bas que nous aprecions plus vraiment.
qu'il y est
du monde
déambulant leurs ombres
sur les trottoir bétonné.
mais le cœur reste isoler,
il y a d'infini façons de penser
il y a d'infini façons
d'aimer,
et plus de manière de ce cotoyer,
que d'univers à la dérive
dans le plis de robe de jais
de la voie lactée.
mais nous restons isoler
entre les quatre mur d'une maison,
sans plus besoin de discussion
car l'envi se tari en nous
comme fini bientôt
les couplets d'une chanson.
Vous en penser quoi?​
 
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Jujushi

Vagabond
7 Mar 2025
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S'exorciser du silence et de la douleur ces dure ,mais une feuille et crayon ces a la portée de tous ,et un cœur douloureux qui n'a personne à qui se livrer ,écrira toujour SA vérité, ,d'une façon pur, sans orgueil ni prétentions, sans préjugés ,sans intentions autre que de ce déverser, de Livrer sur la feuille l'encre de notre stylets comme du poison que l'on aurait dans les veines, Comme un poison dont l'on doit se débarrasser. Alors aujourd'hui j'ai écris deux poème :
Messages fusionnés :

Es-ce bien bizzard ?​

Que nous soyons plus de six,​

milliards,

qui parcourons la terre.

mais bien que nous soyons, d'eux,

nous sentons seul,sans matière,

à la discussion.



isolé entre les mains

austère,

de ces ville réunissant

les prières.

pour mieux éloigner la discussion.


es-ce étrange

qu'il y est le soleil chaque matin

s'élèvent comme un ange

dans ce ciel bas que nous aprecions plus vraiment.

qu'il y est

du monde

déambulant leurs ombres

sur les trottoir bétonné.

mais le cœur reste isoler,


il y a d'infini façons de penser

il y a d'infini façons

d'aimer,

et plus de manière de ce cotoyer,

que d'univers à la dérive

dans le plis de robe de jais

de la voie lactée.

mais nous restons isoler

entre les quatre mur d'une maison,

sans plus besoin de discussion

car l'envi se tari en nous

comme fini bientôt

les couplets d'une chanson.


Vous en penser quoi?​
C'est vraiment très beau et triste, j'aime surtout quand tu joue avec le coté religieux. C'est quoi qui ta motivé a écrire ces poèmes ?
 
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Ornithorinque

Initié(e)
Auteur du topic
3 Mar 2025
355
347
C'est vraiment très beau et triste, j'aime surtout quand tu joue avec le coté religieux. C'est quoi qui ta motivé a écrire ces poèmes ?
Je suis seul(trés), j'ais des problème de sociabilité donc rencontrer du monde ces un peu la galère pour moio_O. Sinon la ville ces pas mon truc non plus.
 
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Jeanneg

Grand Sage
31 Déc 2024
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S'exorciser du silence et de la douleur ces dure ,mais une feuille et crayon ces a la portée de tous ,et un cœur douloureux qui n'a personne à qui se livrer ,écrira toujour SA vérité, ,d'une façon pur, sans orgueil ni prétentions, sans préjugés ,sans intentions autre que de ce déverser, de Livrer sur la feuille l'encre de notre stylets comme du poison que l'on aurait dans les veines, Comme un poison dont l'on doit se débarrasser. Alors aujourd'hui j'ai écris deux poème :
Messages fusionnés :

Es-ce bien bizzard ?​

Que nous soyons plus de six,​

milliards,

qui parcourons la terre.

mais bien que nous soyons, d'eux,

nous sentons seul,sans matière,

à la discussion.



isolé entre les mains

austère,

de ces ville réunissant

les prières.

pour mieux éloigner la discussion.


es-ce étrange

qu'il y est le soleil chaque matin

s'élèvent comme un ange

dans ce ciel bas que nous aprecions plus vraiment.

qu'il y est

du monde

déambulant leurs ombres

sur les trottoir bétonné.

mais le cœur reste isoler,


il y a d'infini façons de penser

il y a d'infini façons

d'aimer,

et plus de manière de ce cotoyer,

que d'univers à la dérive

dans le plis de robe de jais

de la voie lactée.

mais nous restons isoler

entre les quatre mur d'une maison,

sans plus besoin de discussion

car l'envi se tari en nous

comme fini bientôt

les couplets d'une chanson.


Vous en penser quoi?​
Ho j’adore ! C incroyable 🥲
Continue tu as un vrai talent !
 

Jujushi

Vagabond
7 Mar 2025
20
33
Je suis seul(trés), j'ais des problème de sociabilité donc rencontrer du monde ces un peu la galère pour moio_O. Sinon la ville ces pas mon truc non plus.
je vois tu es une personne alors plutôt timide ne t'en fait pas. Tu verra les relations sociales c'est toujours compliqué et de toute façons c'est mieux d'être seul que mal accompagné, je peut te l'assurer. :tpfufun: ca te permet de réfléchir sur toi même et plein d'autre choses.
 

Ornithorinque

Initié(e)
Auteur du topic
3 Mar 2025
355
347
(Ce poème parle de mon père, un alcooliques au grand cœur, cherchant à oublier ses traumatismes d'enfance)

ces dans le liquide ambré,
Bien,que Tu voudrais,
évaporer la douleur.
Tout cela est un leurre.
Tu ne sais plus l'heure,
qu'il est.

il restera souiller,ton passé.
il n'y que ton foie,
Que tu laisse hurler.
et tes paupières perle ton,
Secet.

Ce n'est plus en fuyant,
Elle te suit comme une ombre,
d'enfant.
Ce n'est plus en détestant.
tu disais que tu voulais
Te rattraper.
Combler la plais
les un ,les autres,
Ce serai effacé.
les ombre diverge,
les vagues houleuses te portait loing de la berge.
dans la glaise d'un passé
qui te chasse comme un loup.
Et qui t'attire comme le chant d'une sirène.

Tu chercher un lieu ou aller.
ou épemcher ta haine.
ces l'amour qui pourtant ta sauvé.
car il te restait à écrire encor,
Une histoire.
et Ces dans le noir,
que Tu nous a trouvé.

Comme deux lumière, pour, affronter ton désespoir
Ces crocs sont fantômes,
regarde les de face.

maintenant qu'est noyé ton automne,
Tu a su trouver la place,
ou ranger cette âme ronger,
Qui n'aspirai qu'a la liberté.
Qui n'aspirai qu'a un, recommement, qui a su, si, brutalement te forger.
Accepté un peu ce qu'a subit, l'enfant.
Comprendre ce qui ne peut plus, etre voiler,et ainsi rattraper son temps.
🕊

nous seront toujours là papa.
 
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Ornithorinque

Initié(e)
Auteur du topic
3 Mar 2025
355
347
(Oui ces long, mais juste lisais)
<Ne posait pas de question>
(Je veux des avis, rien d'autre)

TITRE : au creux de ton tombeau.


.Au creux de ton tombeau.

Au creux ton tombeau,
Au creux de ton tombeau,

J'irais pleurai l'air monotone,
De tout ces sales automnes
Qui te fesait devenir gris.
Et bruler toute tes envis.

Dans cette descente des sève qui, ne détiennent
Aucun des secret,
De la bouilli indécise de la vie,
Que tu porter.

J'irai me cacher sous le tapis des feuilles mort,
Et A demi nécrosé.
Comme ce cœur que tu me laisse.
Qui ne plus endurai,
Et restera toujours
Fonctionnelle qu'à moitié.
.Fonctionnelle qu'à moitié.

J'irais briser l'écorce d'un arbre,
De mes poing, de mes dent.
J'en construisait une boîte maussade,
Et je me coucherai dans ton trou, béant.

Ton tombeau, pour reposé mes os.
Ils on assez soutenu.
.Il ne le peuvent plus.

Comme un gouffre qui avalera nos ans.
Bon dieux que tu n'a jamais prier,
Je suis désolé, mais il faut croire,
Qu'il le fallait.
Pour tout les malheur de chien,
Et l'injustice,
Ces la phrase que le monde
Aime à répéter.

Aux creux de ton tombeau
Aux creux de ton tombeau
Je ne veux plus de cette peaux.
. J'irais te rejoindre.
.Coucher là.
Là pour une derrière,
Et
.Le sommeil viendra.

On parlera
du bon temps,
Le tiens que je voulais connaître.
Et
Le miens qu'on était deux à haïr.
Mais il faut bien exister,
Un temps.
Malgré son temps.
Qu'il fallait vivre au jour le jour,
Ces ce que tu me disais,
Quand je me vidait de larme pour si peu,
Et j'aurais dû t'écouter.

.Je veux quitter le jeu.
Et quitter tous ces enjeux,
Qui ne sont que,
.Des fantôme sans importance.
.Au creux des vœux.
Au creux des voix,
Qui ne comprennent pas,
Et pour comprendre un peu,
.Il n'y avais que toi.

J'aurais dû t'écouter,
.Mais j'étais sourd lors de ces années.
J'aimerai sombrer dans la folie encor,
Rester de nouveau des heures au lit,
A ruminer et à frapper mon corps,
Que tu puisse me rassurer de tes,
.paroles d'or.
Qui fondu,
Qui se sont tu,
.Comme se taisent les oiseaux.
.Au creux de ton tombeau.
Comme se taiserons toute les voix,
.Quand la minute viendra.

On se prendra dans les bras,
Une dernière fois,
Des membres putride,
Et qui sonnerie le glas,
De sans aller.
Au bout de cette allée,
Et loing des aléa,
.De fausse éternité.
De ces gens occuper,
A ne surtout pas aimer.

La dans l'au délà.
Peut être que ce trouvera,
Le nid qui n'a jamais voulu de toi.

Et le matelas,
Qui me laissera dormir lui,
Enfin dans un drap
.D'infini et de fin.
.Ou mon corp se repossera.

.Au creux de ton tombeau.


On

S'enfuira , je ne sais où ,
J'espére loing des nuages,
Qui se veulent sec.
Ces dernier temps.
L'ors des obsèques,
On me cherchera.
On me
.Cherchera.

Non je resterai là,
Sous les pas des autres avec toi.
Ces autres qui n'oublie que trop vite.
Et qui sautent les pages,
.Pour se sentir vivre.

.Non je resterai là.
Dans cette terre gorgé d'humidité,
Comme le fut mon cœur,
Et le tiens ,autre fois.
Il y a beaucoup trop d'autre fois,
.Qui finissent ainsi enterré.
Mais ces ne vaut,
plus rien,
Comme ne valent plus les mots,
Car je crèche enfin;

Aux creux de ton tombeau
Aux creux de ton tombeau


Écrire une dernière histoire,
Un déboire,
Au fond de mur noir.
Ces murs qui m'avais toujours accueilli.
Et toujours recueilli,
Mes plus sombre pensées.

Elle me semblait moindre dans le noir absolu,
Pour les détruire.
Je visualiser ton visage.
.Et ta bonté.
.Et les années qu'on vécu.

.C'était déjà un tombeau.
.C'était déjà un tombeau.
.Que Je miroitier.
.Pour m'envoler.
C'était déjà une apogée,
Que je m'était forger,
.Pour rejoindre une éternité.

Nous tomberont poussière,
Là dans ce lit des misère.
.Ou l'on épousera la terre.
Qui peut être ne nous aimer pas,
Que ces dure d'entendre la misère,
Quand les autre ne pensé qu'à, remplir un "chez sois ",

A gaver leurs armoires comme
On gavent des oies,
Pour maquiller le désespoir
.Pour combler un vide sans fond.
.Qui ne se comble pas.

OH, je m'en irai coucher chez toi,
Comme disait ce bon Léo.
Et sera bon,
.Et se sera beaux.
.Cette dernier fois.

.Aux creux de ton tombeau.
 

Ornithorinque

Initié(e)
Auteur du topic
3 Mar 2025
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347
De base j'ai écrit ça sur wattpad,
J'ai fait un copier collé de cette écrit
(Je me rend compte que des phrases on été un peu cassé