(Oui ces long, mais juste lisais)
<Ne posait pas de question>
(Je veux des avis, rien d'autre)
TITRE : au creux de ton tombeau.
.Au creux de ton tombeau.
Au creux ton tombeau,
Au creux de ton tombeau,
J'irais pleurai l'air monotone,
De tout ces sales automnes
Qui te fesait devenir gris.
Et bruler toute tes envis.
Dans cette descente des sève qui, ne détiennent
Aucun des secret,
De la bouilli indécise de la vie,
Que tu porter.
J'irai me cacher sous le tapis des feuilles mort,
Et A demi nécrosé.
Comme ce cœur que tu me laisse.
Qui ne plus endurai,
Et restera toujours
Fonctionnelle qu'à moitié.
.Fonctionnelle qu'à moitié.
J'irais briser l'écorce d'un arbre,
De mes poing, de mes dent.
J'en construisait une boîte maussade,
Et je me coucherai dans ton trou, béant.
Ton tombeau, pour reposé mes os.
Ils on assez soutenu.
.Il ne le peuvent plus.
Comme un gouffre qui avalera nos ans.
Bon dieux que tu n'a jamais prier,
Je suis désolé, mais il faut croire,
Qu'il le fallait.
Pour tout les malheur de chien,
Et l'injustice,
Ces la phrase que le monde
Aime à répéter.
Aux creux de ton tombeau
Aux creux de ton tombeau
Je ne veux plus de cette peaux.
. J'irais te rejoindre.
.Coucher là.
Là pour une derrière,
Et
.Le sommeil viendra.
On parlera
du bon temps,
Le tiens que je voulais connaître.
Et
Le miens qu'on était deux à haïr.
Mais il faut bien exister,
Un temps.
Malgré son temps.
Qu'il fallait vivre au jour le jour,
Ces ce que tu me disais,
Quand je me vidait de larme pour si peu,
Et j'aurais dû t'écouter.
.Je veux quitter le jeu.
Et quitter tous ces enjeux,
Qui ne sont que,
.Des fantôme sans importance.
.Au creux des vœux.
Au creux des voix,
Qui ne comprennent pas,
Et pour comprendre un peu,
.Il n'y avais que toi.
J'aurais dû t'écouter,
.Mais j'étais sourd lors de ces années.
J'aimerai sombrer dans la folie encor,
Rester de nouveau des heures au lit,
A ruminer et à frapper mon corps,
Que tu puisse me rassurer de tes,
.paroles d'or.
Qui fondu,
Qui se sont tu,
.Comme se taisent les oiseaux.
.Au creux de ton tombeau.
Comme se taiserons toute les voix,
.Quand la minute viendra.
On se prendra dans les bras,
Une dernière fois,
Des membres putride,
Et qui sonnerie le glas,
De sans aller.
Au bout de cette allée,
Et loing des aléa,
.De fausse éternité.
De ces gens occuper,
A ne surtout pas aimer.
La dans l'au délà.
Peut être que ce trouvera,
Le nid qui n'a jamais voulu de toi.
Et le matelas,
Qui me laissera dormir lui,
Enfin dans un drap
.D'infini et de fin.
.Ou mon corp se repossera.
.Au creux de ton tombeau.
On
S'enfuira , je ne sais où ,
J'espére loing des nuages,
Qui se veulent sec.
Ces dernier temps.
L'ors des obsèques,
On me cherchera.
On me
.Cherchera.
Non je resterai là,
Sous les pas des autres avec toi.
Ces autres qui n'oublie que trop vite.
Et qui sautent les pages,
.Pour se sentir vivre.
.Non je resterai là.
Dans cette terre gorgé d'humidité,
Comme le fut mon cœur,
Et le tiens ,autre fois.
Il y a beaucoup trop d'autre fois,
.Qui finissent ainsi enterré.
Mais ces ne vaut,
plus rien,
Comme ne valent plus les mots,
Car je crèche enfin;
Aux creux de ton tombeau
Aux creux de ton tombeau
Écrire une dernière histoire,
Un déboire,
Au fond de mur noir.
Ces murs qui m'avais toujours accueilli.
Et toujours recueilli,
Mes plus sombre pensées.
Elle me semblait moindre dans le noir absolu,
Pour les détruire.
Je visualiser ton visage.
.Et ta bonté.
.Et les années qu'on vécu.
.C'était déjà un tombeau.
.C'était déjà un tombeau.
.Que Je miroitier.
.Pour m'envoler.
C'était déjà une apogée,
Que je m'était forger,
.Pour rejoindre une éternité.
Nous tomberont poussière,
Là dans ce lit des misère.
.Ou l'on épousera la terre.
Qui peut être ne nous aimer pas,
Que ces dure d'entendre la misère,
Quand les autre ne pensé qu'à, remplir un "chez sois ",
A gaver leurs armoires comme
On gavent des oies,
Pour maquiller le désespoir
.Pour combler un vide sans fond.
.Qui ne se comble pas.
OH, je m'en irai coucher chez toi,
Comme disait ce bon Léo.
Et sera bon,
.Et se sera beaux.
.Cette dernier fois.
.Aux creux de ton tombeau.