J’hésite…
J’ai ce besoin d’écrire, de raconter mais en même temps il y a cette peur, peur du jugement, des critiques…
Je suis triste, plus précisément perdue, en colère, pleine de regrets et d’incompréhension, seule
J’ai jamais été douée avec les mots, j’arrive juste à écrire de gros pavés sans réel sens donc désolé en avance
J’écris parce que plus je réfléchis plus je me rends compte que je ne sais rien sur ce monde, sur moi
Je n’arrive même pas à connaître mes goûts, mes buts, mes rêves… Je ne sais plus rien de moi avant tout était si simple. Maintenant je suis seule même avec ma famille, je les aimes mais au fond ils ne me connaissent pas vraiment. Faute à qui ? Moi en grande partie mais aussi mon histoire.
Il y a quelques années j’ai ouvert les yeux sur une personne que je pensais aimer d’un amour inconditionnel. Si je disais qui c’est vous comprendriez. Mais ont m’a ouvert les yeux sur quelque chose qu’au fond je savais déjà mais l’innocence de l’enfance me garder « protéger » de cette vérité. Mais en seulement quelques jours cette illusion fut brisée. L’amour donna place à l’incompréhension, avec pour titre une simple question. Pourquoi ? Puis l’incompréhension donna place à la haine cette colère je la ressens toujours mais je l’enterre. Je me dis qu’il y a eu pire et qu’il y aura pire dans le monde. Cette phrase et cette colère mon sûrement aidée à tenir, enfin d’une certaine façon. Mes frères eux n’enterrent pas leurs blessures, ils ont changé et pas forcément pour le mieux. J’ai peur qu’ils deviennent un jour comme cette personne. Et plus égoïstement j’ai peur de devenir un monstre aussi. Alors j’ai sûrement tout refoulé mes émotions ainsi que moi. Ça n’a pas empêché ces pensées suicidaires, ou encore le dégoût de moi même. Mais le plus étrange et stupide c’est que ma peur de la mort, l’incompréhension que j’ai de ce monde, c’est milles et une question sur le pourquoi du comment de notre existence. Son sûrement les seules barrières m’en ont empêché. Même si c’est questions sur notre existence me tourmente depuis toute petite, elles m’ont fait pleurée chaque soir seule dans le noir.
Parce qu’à 7 ans déjà j’avais peur du monde dans lequel on vit sans savoir réellement comment et pourquoi.
Je pourrais en dire encore tellement mais je trouverais peut être l’envie d’écrire plus tard. Et puis ce texte ressemble déjà à un pavé sans aucun sens donc désolé et peut être à une autre fois.
MaïMaï
J’ai ce besoin d’écrire, de raconter mais en même temps il y a cette peur, peur du jugement, des critiques…
Je suis triste, plus précisément perdue, en colère, pleine de regrets et d’incompréhension, seule
J’ai jamais été douée avec les mots, j’arrive juste à écrire de gros pavés sans réel sens donc désolé en avance
J’écris parce que plus je réfléchis plus je me rends compte que je ne sais rien sur ce monde, sur moi
Je n’arrive même pas à connaître mes goûts, mes buts, mes rêves… Je ne sais plus rien de moi avant tout était si simple. Maintenant je suis seule même avec ma famille, je les aimes mais au fond ils ne me connaissent pas vraiment. Faute à qui ? Moi en grande partie mais aussi mon histoire.
Il y a quelques années j’ai ouvert les yeux sur une personne que je pensais aimer d’un amour inconditionnel. Si je disais qui c’est vous comprendriez. Mais ont m’a ouvert les yeux sur quelque chose qu’au fond je savais déjà mais l’innocence de l’enfance me garder « protéger » de cette vérité. Mais en seulement quelques jours cette illusion fut brisée. L’amour donna place à l’incompréhension, avec pour titre une simple question. Pourquoi ? Puis l’incompréhension donna place à la haine cette colère je la ressens toujours mais je l’enterre. Je me dis qu’il y a eu pire et qu’il y aura pire dans le monde. Cette phrase et cette colère mon sûrement aidée à tenir, enfin d’une certaine façon. Mes frères eux n’enterrent pas leurs blessures, ils ont changé et pas forcément pour le mieux. J’ai peur qu’ils deviennent un jour comme cette personne. Et plus égoïstement j’ai peur de devenir un monstre aussi. Alors j’ai sûrement tout refoulé mes émotions ainsi que moi. Ça n’a pas empêché ces pensées suicidaires, ou encore le dégoût de moi même. Mais le plus étrange et stupide c’est que ma peur de la mort, l’incompréhension que j’ai de ce monde, c’est milles et une question sur le pourquoi du comment de notre existence. Son sûrement les seules barrières m’en ont empêché. Même si c’est questions sur notre existence me tourmente depuis toute petite, elles m’ont fait pleurée chaque soir seule dans le noir.
Parce qu’à 7 ans déjà j’avais peur du monde dans lequel on vit sans savoir réellement comment et pourquoi.
Je pourrais en dire encore tellement mais je trouverais peut être l’envie d’écrire plus tard. Et puis ce texte ressemble déjà à un pavé sans aucun sens donc désolé et peut être à une autre fois.
MaïMaï