Pensee de nuits:Je pense souvent que l'important c'est de faire de son mieux. On essaye , on essaye encore, toujours .mais il y forcément un moment où l'on rate un détaile ,ou ça dérape ,ces l'accident .la vie ces contradictoire ,ces en même temps trés monocorde et à la fois remplis d'imprévus. On peut tirer du bon comme du mauvais de ces de aspect du réel. Ce qu'il faut? Trouver des repères, trouver un rythme ,un sens,un carburant. trouver des repères ces aussi pratiquer ce que l'on aime, dans la limite du possible, ces aussi savoir laissé tomber. En c'est nuits j'ais appris à ne pas toujour mettre une logique concrète, surtout sur ce qui est abstrait. Au fond l'une des récurant les plus présente de l'existence, ces l'erreur. Ces avancer avec ces faute comme l'on avance avec le temps. Avec le temps ,la tristesse et les erreurs, on apprend à mieux ce connaître, et ce connaître ça fait parti de la basse de tout bien être. J'ais fait une grosse erreur il y a longtemps ,et j'apprend à apprendre,j'aprend à avancer avec ,comme l'on avance avec le temps.le temps n'est pas notre ennemi ni notre allier, il est ici ,il agit ,et l'on ne peut rien y faire ,tout au plus asseyer de l'appréhender. L'erreur au fond ces la méme ,sauf qu'il a pour origine notre agissement.il faudrais prendre l'exemple que la vie est un brouillon perpétuel, je ne sais pu où j'ai lu ça, mais je trouve ça intéressant. Ces ratures, recommencer, essayer de faire mieux ,y arriver par fois, mais de nouveaux dilemme survienne, de nouvel erreur potentiel.on passa de brouillon en brouillon ,de feuille acquise à de nouvelle feuille vierge et inconnu.ces ça l'existence, ces l'instabilité, et l'apprentissage progressif. Alors cette nuits je ne me demande plus "pourquoi"? Mais"comment"? Comment devenir ce que je veux être ? Comment vivre ce que je veux vivre?toute ces questions, toute cette réflexions, toute cette solitude, ce sont mes insomnies. Ce sont ces penser de nuits tortueuses, discrètes et cacher.Comme celle d'un journal intime, au fond . Alors bienvenu dans le monde de pénombre de mes insomnies.