Il n'y a pas que ça pour la dépression non plus. Il n'y a pas que les médicaments.Sur la dépression sévère tout au moins ça n'est plus du domaine de l'avis, il y a consensus médical sur la nécessité d'un traitement médicamenteux.
Il n'y a pas que ça pour la dépression non plus. Il n'y a pas que les médicaments.Sur la dépression sévère tout au moins ça n'est plus du domaine de l'avis, il y a consensus médical sur la nécessité d'un traitement médicamenteux.
Oui, comme le consensus quand on a mal à la tête c'est de te prescrire du doliprane. C'est surtout qu'on part du principe que, dans le doute, ça ne peut te faire que du bienSur la dépression sévère tout au moins ça n'est plus du domaine de l'avis, il y a consensus médical sur la nécessité d'un traitement médicamenteux.
Soyons clairs : pour la dépression sévère le traitement de référence est médicamenteux. La psychothérapie, en option pour les dépressions modérées en complément des antidépresseurs, ne figure même pas dans les protocoles de référence.Il n'y a pas que ça pour la dépression non plus. Il n'y a pas que les médicaments.
Non ça part, idéalement, d'études scientifiques, notamment en double aveugle contre placebo.Oui, comme le consensus quand on a mal à la tête c'est de te prescrire du doliprane. C'est surtout qu'on part du principe que, dans le doute, ça ne peut te faire que du bien
EhSoyons clairs : pour la dépression sévère le traitement de référence est médicamenteux. La psychothérapie, en option pour les dépressions modérées en complément des antidépresseurs, ne figure même pas dans les protocoles de référence.
Dépression - Prise en charge | Recommandations | VIDAL Campus
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Trop souvent on considère que les maladies psychiques n'ont pas de dimension somatique et ne nécessitent pas un traitement agissant sur le corps. C'est dangereux et des gens qui se font correctement soigner pour un mal de ventre le sont moins bien pour une maladie psychique sévère.
Messages fusionnés :
Non ça part, idéalement, d'études scientifiques, notamment en double aveugle contre placebo.
Le paracétamol n'est pas dénué d'effets secondaires et c'est un produit TRÈS dangereux quand on le surdose, même légèrement.
Ce qui est toujours examiné c'est le rapport bénéfices / risques.
C'est pas seulement le Vidal, c'est le consensus scientifique actuel. Et le Vidal précise bien les effets secondaires du paracétamol, c'est pas une plaquette de pub pour les médicaments.Eh
Regarde vidal il aime le Doliprane aussiComment soulager les maux de tête ? - VIDAL
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Nan mais on est d'accord. Le consensus c'est doliprane et antidépresseurs (et autres) pour leur problème respectifs, chacun avec leurs effets secondaires.C'est pas seulement le Vidal, c'est le consensus scientifique actuel. Et le Vidal précise bien les effets secondaires du paracétamol, c'est pas une plaquette de pub pour les médicaments.
Et du coup les thérapies de stimulation cérébrale non-invasive ?Soyons clairs : pour la dépression sévère le traitement de référence est médicamenteux. La psychothérapie, en option pour les dépressions modérées en complément des antidépresseurs, ne figure même pas dans les protocoles de référence.
Pourquoi ressors-tu ça ? Nous y avons déjà répondu. Le psychique est sur base biologique, oui il y a une dimension somatique qui s'exprime de différentes manières. Cela ne veut pas dire qu'il faut obligatoirement, pour cette raison, un traitement agissant sur le corps. Une thérapie agit aussi sur le corps par le biais du langage et de la conceptualisation et cetera, une thérapie, c'est, au final, activer des réseaux neuronaux par le biais de l'échange. Je veux dire, on dirait que tu fais à tout prix la publicité des médicaments, il n'y a pas que ça et je ne dis pas que la thérapie cognitivo-comportementale ou autre c'est mieux, je dis juste que ça existe aussi.Trop souvent on considère que les maladies psychiques n'ont pas de dimension somatique et ne nécessitent pas un traitement agissant sur le corps. C'est dangereux et des gens qui se font correctement soigner pour un mal de ventre le sont moins bien pour une maladie psychique sévère.
Pas la peine, j'ai déjà rappelé de manière documentée ce que sont les traitements de référence pour les dépressions modérées et sévères.Et du coup les thérapies de stimulation cérébrale non-invasive ?
Pourquoi ressors-tu ça ? Nous y avons déjà répondu. Le psychique est sur base biologique, oui il y a une dimension somatique qui s'exprime de différentes manières. Cela ne veut pas dire qu'il faut obligatoirement, pour cette raison, un traitement agissant sur le corps. Une thérapie agit aussi sur le corps par le biais du langage et de la conceptualisation et cetera, une thérapie, c'est, au final, activer des réseaux neuronaux par le biais de l'échange. Je veux dire, on dirait que tu fais à tout prix la publicité des médicaments, il n'y a pas que ça et je ne dis pas que la thérapie cognitivo-comportementale ou autre c'est mieux, je dis juste que ça existe aussi.
Donc là, si t'es là pour être en lutte, bah tu t'égares et t'égares le sujet. On parlait de personnalité. Si tu veux tu peux faire un sujet sur la façon dont sont traités les troubles et les maladies psychiques/psychiatriques et avec plaisir j'irai dessus.
Donc tu es clairement en train de forcer avec les médicaments et en train de me dire "pas la peine" quand je parle de stimulations cérébrales non-invasives, par rapport à des médicaments qui, eux, peuvent être, en quelque sorte, invasif, au vu des effets secondaires possibles, notamment avec les antidépresseurs qui sont pas le mieux.Pas la peine, j'ai déjà rappelé de manière documentée ce que sont les traitements de référence pour les dépressions modérées et sévères.
Donc tu es clairement en train de forcer avec les médicaments et en train de me dire "pas la peine" quand je parle de stimulations cérébrales non-invasives, par rapport à des médicaments qui, eux, peuvent être, en quelque sorte, invasif, au vu des effets secondaires possibles, notamment avec les antidépresseurs qui sont pas le mieux.
Ce sujet est là pour la personnalité, maintenant, merci d'y revenir, et de rien pour t'avoir fait découvrir les stimulations cérébrales non-invasives, aussi documentées.
Je connaissais, merci.Donc tu es clairement en train de forcer avec les médicaments et en train de me dire "pas la peine" quand je parle de stimulations cérébrales non-invasives, par rapport à des médicaments qui, eux, peuvent être, en quelque sorte, invasif, au vu des effets secondaires possibles, notamment avec les antidépresseurs qui sont pas le mieux.
Ce sujet est là pour la personnalité, maintenant, merci d'y revenir, et de rien pour t'avoir fait découvrir les stimulations cérébrales non-invasives, aussi documentées.
T'es surtout en train de forcer, allez on passe à la suite.Je connaissais, merci.
Je ne peux pas te laisser écrire des choses pareilles. La dépression est une maladie. Tu n'es pas médecin. Ton avis sur comment la traiter n'importe pas. Il y a des protocoles de prise en charge et, que tu le veuilles ou non, le traitement de base de la dépression sévère est médicamenteux. Les autres méthodes viennent, éventuellement, en complément.
Une autre référence :
Dépression de l’adulte – Repérage et prise en charge initiale
La HAS a édité des recommandations sur la prise en charge des épisodes dépressifs de l’adulte en premier recours. Objectifs : mieux identifier les patients, améliorer leur qualité de vie et prévenir le risque suicidaire. Explications d’Emmanuel Nouyrigat et du Dr Joëlle Favre-Bonte, du service...www.has-sante.fr