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Anonyme
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Salut je voulais savoir s'il y avait des LGBT et si oui vous aviez des conseils pour assumer le fait que je suis lesbienne
Bas c'est le regard des autres qui me fait peur comment je peux l'annoncer à la famille et comment les gens vont réagir et est ce qu'il me verrons d'une autre manière
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Je le comprends plus dans le sens arrêter de le cacher et d'en avoir honte j'aimerais pouvoir en parler librement sans être mal à l'aise parceque je me sens différente et quelques fois je fini pas me me dégoûter
Es-tu obligée de l'annoncer ? Annonce-t-on lorsqu'on est dans une orientation hétérosexuelle ? Non. Quand c'est annoncé, c'est un peu pour se libérer et je m'imagine que la relation est déjà là avant l'annonce. Ton entourage est-il pas trop en faveur de l'homosexualité pour penser à l'annoncer ?
Par exemple, j'ai beau avoir une orientation hétérosexuelle, je ne souhaite pas trop dire quand je suis avec quelqu'un, ça viendra .. naturellement, dans une conversation. Te dire que tu dois annoncer, ça met la pression et puis clairement tu vas devoir préparer, qui dit préparer dit penser un peu à tout, de quoi te rendre anxieuse au possible.
T'aimerais pouvoir parler librement de quoi ? J'ai déjà parlé d'homosexualité sans l'être, c'est ça dont tu veux parler ?
Par exemple, j'ai beau avoir une orientation hétérosexuelle, je ne souhaite pas trop dire quand je suis avec quelqu'un, ça viendra .. naturellement, dans une conversation. Te dire que tu dois annoncer, ça met la pression et puis clairement tu vas devoir préparer, qui dit préparer dit penser un peu à tout, de quoi te rendre anxieuse au possible.
T'aimerais pouvoir parler librement de quoi ? J'ai déjà parlé d'homosexualité sans l'être, c'est ça dont tu veux parler ?
Il faut déjà que tu l'assumes à tes propres yeux. Je vais dire une banalité mais ça n'est ni bien ni mal d'être lesbienne, c'est un fait. Aucune raison d'être dégoutée !
Vis-à-vis de ton entourage tout dépend du climat. Tu peux tâter le terrain en parlant de l'homosexualité sans parler de toi, mais peut-être sais-tu déjà à quoi t'en tenir. Si l'homosexualité ne pose pas de problème, tu peux parler des personnes qui t'attirent comme le ferait une hétéro (qui ne ferait pas un coming out) . Si l'homosexualité pose problème, rien ne t'oblige à rendre ta vie amoureuse er sexuelle publique. Calcule ce que ça va t'apporter et ce que ça va te coûter et agis en conséquence.
Vis-à-vis de ton entourage tout dépend du climat. Tu peux tâter le terrain en parlant de l'homosexualité sans parler de toi, mais peut-être sais-tu déjà à quoi t'en tenir. Si l'homosexualité ne pose pas de problème, tu peux parler des personnes qui t'attirent comme le ferait une hétéro (qui ne ferait pas un coming out) . Si l'homosexualité pose problème, rien ne t'oblige à rendre ta vie amoureuse er sexuelle publique. Calcule ce que ça va t'apporter et ce que ça va te coûter et agis en conséquence.
Bonjour bonjour (ou bonsoir),
Ton message me fait écho, j'ai toujours su mon attirance envers les filles mais j'avais beaucoup de difficulté à gérer cela, envers moi même.
J'ai longtemps cru être lesbienne, mais si je devais me mettre une étiquette, ce serait plutôt celle de la bisexualité.
J'ai voulu en parler à ma famille et pouvoir en parler ouvertement avec mon entourage, avant d'annoncer que j'avais une première copine. C'était surtout parce que je ne voulais pas cacher cette partie de ma vie. Même si on dit parfois que le coming out n'est pas obligatoire, je le crois aussi, mais pour moi et pour d'autres personnes, le coming out est important, ça permet aussi de faire un "tri" entre les personnes à qui ça ne pose aucun problème, et d'autres qui peuvent te tourner le dos car ça les dérange.
Moi j'ai eu besoin de savoir si pouvais compter sur ma famille dans l'acceptation de cette partie de ma vie amoureuse, et parce que je ne souhaitais pas "cacher" ou appréhender leur réaction si je leur disais " non je n'ai pas un copain cette fois-ci mais une copine". Ça m'a aussi beaucoup libérée ça a été important pour moi.
Tout le monde ne ressent pas forcément ce besoin et il n'y a aucun soucis avec ça, a chacun de décider s'il ressent ce besoin.
Ce que je peux te conseiller a travers ce que je dis, c'est que tu dois te sentir bien avec ça, avec toi même, ne pas avoir honte. A partir de là, j'ai pu en parler autour de moi en craignant moins leur réaction, parce que cette partie de moi ne me posait plus aucun problème.
Je pense que tu peux aussi si tu le souhaites, te tourner vers des associations LGBT+ mais aussi en discuter via les réseaux avec des jeunes qui passent aussi par là.
J'espère que mon message est assez clair (il m'arrive de penser qu'on ne voit pas toujours où je veux en venir
)
Ton message me fait écho, j'ai toujours su mon attirance envers les filles mais j'avais beaucoup de difficulté à gérer cela, envers moi même.
J'ai longtemps cru être lesbienne, mais si je devais me mettre une étiquette, ce serait plutôt celle de la bisexualité.
J'ai voulu en parler à ma famille et pouvoir en parler ouvertement avec mon entourage, avant d'annoncer que j'avais une première copine. C'était surtout parce que je ne voulais pas cacher cette partie de ma vie. Même si on dit parfois que le coming out n'est pas obligatoire, je le crois aussi, mais pour moi et pour d'autres personnes, le coming out est important, ça permet aussi de faire un "tri" entre les personnes à qui ça ne pose aucun problème, et d'autres qui peuvent te tourner le dos car ça les dérange.
Moi j'ai eu besoin de savoir si pouvais compter sur ma famille dans l'acceptation de cette partie de ma vie amoureuse, et parce que je ne souhaitais pas "cacher" ou appréhender leur réaction si je leur disais " non je n'ai pas un copain cette fois-ci mais une copine". Ça m'a aussi beaucoup libérée ça a été important pour moi.
Tout le monde ne ressent pas forcément ce besoin et il n'y a aucun soucis avec ça, a chacun de décider s'il ressent ce besoin.
Ce que je peux te conseiller a travers ce que je dis, c'est que tu dois te sentir bien avec ça, avec toi même, ne pas avoir honte. A partir de là, j'ai pu en parler autour de moi en craignant moins leur réaction, parce que cette partie de moi ne me posait plus aucun problème.
Je pense que tu peux aussi si tu le souhaites, te tourner vers des associations LGBT+ mais aussi en discuter via les réseaux avec des jeunes qui passent aussi par là.
J'espère que mon message est assez clair (il m'arrive de penser qu'on ne voit pas toujours où je veux en venir
)