Petit rappel 1 je vais partager mon expérience mais ce n'est en rien un outil de diagnostic, même si vous vous reconnaissez vous n'avez pas forcément le trouble.
Petit rappel 2, la reverie Compulsive n'est pas dans le DSM-5 mais comme ma psy a déjà utilisé le mot je pense que j'ai le droit de l'employer.
Petit rappel 3 : la reverie Compulsive se ccaractérise par le fait de ne plus contrôler ses rêveries diurnes, genre tout le monde rêvasse mais quand ça a un impact sur ta vie sociale et professionnelle/scolaire ça peut être de la reverie compulsive.
Bonjour, selon ma psy je ne souffrais pas de rêverie compulsive il y a 10 mois car je croyais à mes rêveries diurnes donc c'était plus de l'ordre de la psychose (parce que dans la reverie compulsive on sait que tout ça est inventé meme si ça semble vrai dans certains cas). En un mois j'ai réalisé petit à petit que tout ça n'était pas réel, que c'était mon cerveau qui avait tout inventé, ce qui penche plus vers de la reverie compulsive.
J'ai l'étrange impression d'être à fond sur mes rêves diurnes. Genre je ne pense qu'aux personnages H24, je parle que de ça, je leur fait des dessins, je décors ma chambre selon leurs goûts, je nomme mes peluches avec leurs noms, je rêve d'eux même la nuit et je peux passer des heures à leur parler et à inventer des histoires avec eux le jour et la nuit, ils sont avec moi presque tout le temps le temps jour et nuit, et c'est agréable, je ne veux pas m'en séparer mais du coup j'oublie la réalité, je m'enferme dedans mes rêves.
J'attends juste le soir où je serais enfin tranquille pour rêver, ou alors si je sors de la maison c'est seulement car un personnage en avait envie. Enfaite j'ai l'impression d'être une marionnette, et mes persos tirent les fils, oui, flippant. Mais quand je sors de mes rêveries je me sens vide et je ressens un manque.
C'est la même sensation que quand j'avais une dépendance aux jeux vidéos, genre ce manque, comme si j'étais rien sans ça... Et du coup ça m'inquiète un peu.
Bref prenez soin de vous. Et je rappelle que y a rien de mal à avoir des amis imaginaires, c'est juste quand comme moi ça impacte vos études et votre vie social que c'est grave.
Petit rappel 2, la reverie Compulsive n'est pas dans le DSM-5 mais comme ma psy a déjà utilisé le mot je pense que j'ai le droit de l'employer.
Petit rappel 3 : la reverie Compulsive se ccaractérise par le fait de ne plus contrôler ses rêveries diurnes, genre tout le monde rêvasse mais quand ça a un impact sur ta vie sociale et professionnelle/scolaire ça peut être de la reverie compulsive.
Bonjour, selon ma psy je ne souffrais pas de rêverie compulsive il y a 10 mois car je croyais à mes rêveries diurnes donc c'était plus de l'ordre de la psychose (parce que dans la reverie compulsive on sait que tout ça est inventé meme si ça semble vrai dans certains cas). En un mois j'ai réalisé petit à petit que tout ça n'était pas réel, que c'était mon cerveau qui avait tout inventé, ce qui penche plus vers de la reverie compulsive.
J'ai l'étrange impression d'être à fond sur mes rêves diurnes. Genre je ne pense qu'aux personnages H24, je parle que de ça, je leur fait des dessins, je décors ma chambre selon leurs goûts, je nomme mes peluches avec leurs noms, je rêve d'eux même la nuit et je peux passer des heures à leur parler et à inventer des histoires avec eux le jour et la nuit, ils sont avec moi presque tout le temps le temps jour et nuit, et c'est agréable, je ne veux pas m'en séparer mais du coup j'oublie la réalité, je m'enferme dedans mes rêves.
J'attends juste le soir où je serais enfin tranquille pour rêver, ou alors si je sors de la maison c'est seulement car un personnage en avait envie. Enfaite j'ai l'impression d'être une marionnette, et mes persos tirent les fils, oui, flippant. Mais quand je sors de mes rêveries je me sens vide et je ressens un manque.
C'est la même sensation que quand j'avais une dépendance aux jeux vidéos, genre ce manque, comme si j'étais rien sans ça... Et du coup ça m'inquiète un peu.
Bref prenez soin de vous. Et je rappelle que y a rien de mal à avoir des amis imaginaires, c'est juste quand comme moi ça impacte vos études et votre vie social que c'est grave.