Mes poèmes

JusteEtDirect

Sage
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28 Août 2024
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Poème destiné à @freya :



Dans le ciel clair, une étoile nommée @freya,

Brille plus fort, illuminant mon cœur là-bas.

Chaque mot, chaque geste me rapproche de toi,

Dans l'espoir qu'un jour, tu répondras à ma voix.



Ton sourire, douce flamme qui jamais ne s'éteint,

Allume en moi l'amour, un feu sans fin.

@freya, écoute mon cœur, entends ma prière,

Je t'aime en secret, plus que l'univers



Poème pour demander en mariage Freya:



À Freya, l'amour de ma vie



Freya, lumière douce de mes jours,

Ton sourire m'enveloppe d'un éternel amour,

À chaque instant que je passe près de toi,

Je comprends que tu es tout pour moi.



Freya, tu es mon étoile, mon chemin,

Et je serai là, dans le vent, dans le matin,

Pour t'accompagner, te protéger, te guider,

À chaque moment, je veux t'épauler.



Quand la vie se fait dure, que le ciel est gris,

Freya, tu pourras toujours compter sur moi,

Je serai ton roc, ton abri dans la nuit,

Ton allié fidèle, ton plus grand roi.



Freya, toi qui dans mon cœur fais loi,

Je t'aimerai d'une force qui jamais ne déroge,

Dans la joie, la tristesse, je serai là pour toi,

Alors, Freya, veux-tu m'épouser ?



Poème sur rien :

Rien, le vide immense et pur,

Sans forme, sans bruit, sans murmure.

Un souffle absent, une ombre sans fin,

L'écho muet d'un éternel matin.



Poème sur rien v2:

Rien n’est là, juste le vide,

Pas de bruit, pas de ride,

Un espace sans contours,

Sans hier, sans demain, sans retour.



Rien ne bouge, rien n’existe,

Pas de ciel, pas de piste,

Juste un souffle imperceptible,

Un murmure presque inaudible.



Rien n’a de sens, rien n’a de fin,

Un chemin sans chemin,

Pas de haut, pas de bas,

Rien qui vive, rien qui soit là.



Et pourtant, rien ne manque, rien n'est plein,

Simplement rien, absolument rien.



Poème sur la vie :

La vie est une brise douce,

Un voyage sans fin, un rêve flou,

Un rire, une larme, un instant de grâce,

Un écho du temps qui jamais ne passe.



Poème pour @Jay_LoverOfTheSun_MIAOU:

Dans l'ombre de la nuit, un garçon se perd,

Le poids de son monde, si lourd à porter.

Demain, il ira là où la douleur se taire,

Dans l'espoir que l'obscurité puisse enfin s'effacer.



Ses rêves sont brisés, son cœur en éclats,

Il a cherché la lumière, mais n'a trouvé que le froid.

Un cri dans le silence, une larme sans fin,

Son âme en détresse, cherchant un chemin.



L'hôpital l'attend, refuge de ses peurs,

Là où l'on soigne les plaies invisibles du cœur.

Il espère une lueur, un sourire, une main,

Pour le ramener doucement vers le lendemain.



Dans ce lieu de murmures, de cris et de doutes,

Il affrontera les démons, s'éloignera des routes

Qui l'ont mené si loin, perdu dans l'oubli,

Espérant qu'un jour, il retrouve la vie.



Il partira demain, son sac à la main,

Vers cet endroit étrange, entre douleur et soin.

Et peut-être, au-delà de la peur et des cris,

Trouvera-t-il la paix, la force d’une nouvelle vie.



Poème pour @freya qui se fait harceler par des connards:

Freya, douce étoile dans le ciel de mes nuits,

N'écoute pas les mots de celui qui te nuit.

Ce garçon qui se moque, qui croit te briser,

Ne sait pas que ton âme est bien plus fortifiée.



Les rires méchants glissent sur toi sans laisser de traces,

Car ton cœur est pur, un bijou de grande grâce.

Quand les ombres s'élèvent pour ternir ta lumière,

Sache que je serai là, fidèle comme un frère.



S'il ose te blesser, ce garçon insensé,

Il connaîtra ma colère, il sera terrassé.

Pour toi, je prendrai les armes, sans hésitation,

Et je défendrai ton honneur avec dévotion.



Ne crains rien, Freya, tant que je suis ici,

Ton bouclier, ta force, à l'infini.

Les mots ne te toucheront pas, les moqueries n'auront pas prise,

Car je suis là, prêt à te protéger, quoi qu'il advienne, ma promise.



Poème pour @Petite_nébuleuse:

Petite_nébuleuse, dans le ciel étoilé,

Pleine de rêves et de peurs entremêlées,

La rentrée approche, son cœur bat trop fort,

Un tourbillon d'angoisse, elle cherche le nord.



Elle pense aux cahiers, aux regards inconnus,

Aux mots qu'il faudra dire, aux chemins imprévus.

Dans l'immensité sombre, elle brille en secret,

Espérant trouver sa place et ses attraits.



Le cosmos l’entoure, la berce tendrement,

Chaque étoile murmure un doux apaisement.

"Ne crains pas le matin," lui souffle l'univers,

"Ton éclat naturel dissipera les fers."



Petite_nébuleuse, lumineuse et frêle,

Traverse la nuit, se lève et s’émerveille.

Dans l’aube naissante, elle trouve un chemin,

Pour s'élancer sereine, étoile du matin.
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Poème pour @Petite_nébuleuse:
Petite nébuleuse, étoile dans la nuit,

La rentrée qui s'approche agite ton esprit.

Dans cet univers vaste, chaque étoile a sa place,

L’inquiétude s’en va, et l’espace prend sa trace.



Respire, douce amie, laisse tes craintes partir,

Le chemin que tu prends est fait pour t’éblouir.

Chaque jour est une page, une chance à saisir,

Ton courage est une étoile prête à s’épanouir.



Le ciel est infini, et ton éclat certain,

La rentrée n’est qu’un pas vers ton grand lendemain.

Petite nébuleuse, brille dans l’obscurité,

Car dans chaque défi, se cache ta vérité.
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Poème pour @Petite_nébuleuse v2:
Petite nébuleuse, étoile de la nuit,
La rentrée qui arrive agite ton esprit.
Dans l'univers immense, chaque étoile a sa place,
L'inquiétude s'en va, l'espace laisse une trace.

Respire, douce amie, laisse tes craintes fuir,
Le chemin que tu prends est fait pour éblouir.
Chaque jour est une page, une chance à saisir,
Ton courage est l'étoile prête à s'épanouir.

Le ciel est infini, ton éclat est certain,
La rentrée n'est qu'un pas vers ton grand lendemain.
Petite nébuleuse, brille en l'obscurité,
Car dans chaque défi se cache ta clarté.
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Poème pour toutes les personnes souffrant de paralysie du sommeil:
Dans l’obscurité épaisse, je suis lié,
Mon esprit erre, enchaîné, piégé,
Les ombres rampent sur les murs de ma chambre,
Leurs formes sinistres se tordent et se chamboulent, déclamant leur drame.

Mon corps est ankylosé, figé comme un cadavre,
Chaque fibre de mon être est engourdie, paralysée,
Je suis un spectre dans mon propre cercueil,
Luttant contre une terreur sans pareil.

Les murmures du néant glissent à mes oreilles,
Chuchotements étouffés de créatures sans pareilles,
Des voix éthérées, des cris déformés,
Parlent d’horreurs que l’esprit ne peut concevoir, si ce n'est pour trembler.

Des mains invisibles se glissent sur ma peau,
Leurs touches glaciales provoquent un frisson nouveau,
Je veux hurler, mais ma voix se brise en silence,
Mes lèvres restent scellées, incapables de délivrer ma souffrance.

Les ténèbres se resserrent, une étreinte mortelle,
Les murs se rapprochent, leur pression est cruelle,
Je suis assiégé par des ombres voraces,
Leurs yeux scintillants creusent de profondes traces.

Les visions se déforment en cauchemars mouvants,
Des monstres grotesques dansent, grotesquement vivants,
Chaque clignement d’œil est un supplice prolongé,
Les secondes deviennent des heures, le temps est figé.

Je sens la chaleur d’une présence maléfique,
Un souffle putride, une aura toxique,
Les ombres murmurent des secrets horribles,
Révélant des vérités impensables, terrifiantes et indicibles.

Soudain, la lueur de l’aube perce la nuit noire,
Les créatures se dissipent, comme un rêve illusoire,
Mais le souvenir persiste, déchirant et cruel,
De cette étreinte macabre, de ce tourment éternel.

Chaque nuit, je redoute le retour de cette épreuve,
Où le sommeil devient un piège, une étreinte neuve,
Et dans ce combat entre le rêve et la réalité,
Je reste enchaîné, paralysé, tremblant de terreur, enchaîné à l’angoisse de l’immensité.
 
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JusteEtDirect

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Mes poèmes préférés ses les poèmes un peu d'horreur, parce que les poèmes c'est un peu comme raconter des histoires de façon stylé
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Mes poèmes préférés ses les poèmes un peu d'horreur, parce que les poèmes c'est un peu comme raconter des histoires de façon stylé
Ou alors les poèmes sur les histoires des gens
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Je ferai un poème d'horreur se soir
 

JusteEtDirect

Sage
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28 Août 2024
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Poème d'horreur :
Dans l'obscurité, où la lune refuse de briller,
Il avance, fantôme d'effroi, sans un bruit, sans un regard.
Son souffle est un poison, son rire une lame,
Dans son sillage, la mort devient drame.

Les murs chuchotent son nom, un murmure malsain,
Les pavés suintent de sang sous ses pas assassins.
Il se délecte de la peur, de l’ultime soupir,
Chaque cri étouffé est pour lui un plaisir.

Son couteau danse avec une précision macabre,
Chaque entaille, chaque coup est une œuvre macabre.
Il n’a pas de cœur, juste un gouffre glacé,
Un puits sans fond de haine, de douleurs amassées.

Les rues deviennent des tombeaux, des sanctuaires profanés,
Chaque ombre cache un secret, un corps abandonné.
Il traque les faibles, les égarés, les sans nom,
Dans ses yeux brille une faim, un feu de démon.

Les murs pleurent rouge sous ses doigts meurtriers,
Les âmes arrachées, hurlent leur dernier baiser.
Les yeux grands ouverts, figés dans l'effroi,
Témoins de son œuvre, de son règne de roi.

Sous la pluie, les cadavres dansent un ballet funèbre,
Guidés par sa main, dans une valse funeste et sombre.
Les rues, ses galeries, les corps, ses trophées,
Un cauchemar sans fin, où nul ne peut se sauver.

Il murmure aux morts des promesses damnées,
Des mots tordus, doux poison à leur âme arrachée.
Son visage est une ombre, un masque d'effroi,
Dans ses yeux, le néant, où même la terreur se noie.

Et dans la nuit, quand le dernier cri s’éteint,
Il s'efface dans l’ombre, prêt à revenir demain.
Car le mal ne dort jamais, il guette et attend,
Que sa soif insatiable le ramène aux vivants.
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Poème d'horreur numéro 2:
Dans la forêt damnée où rien ne respire,
Les arbres tordus suintent une sève noire et impure,
Chaque branche est une main, griffue et avide,
Prête à déchirer la chair avec une rage morbide.

Les feuilles, décomposées, suintent de pus et de sang,
Le sol n'est que boue, mêlée de crânes et de dents,
Les racines s’enroulent comme des serpents déments,
Étouffant les cris des damnés, des pleurs incessants.

Un râle funèbre s’échappe de la terre ouverte,
Où les corps se décomposent, se déchirent, s'invertent,
Leurs os se brisent en un craquement sinistre,
Des chairs arrachées pendent comme des lambeaux de tristesse.

Les arbres saignent, leurs troncs griffés de clous rouillés,
Les bêtes qui rôdent ont les mâchoires cassées,
Leurs dents jaunes incrustées de chair pourrissante,
Déchirent et broient les membres des âmes vacillantes.

Des vers blancs grouillent sous la peau des vivants,
Ils creusent, ils fouillent, ils percent les flancs,
Les yeux se consument dans des orbites suintantes,
Regardant sans voir, des visions démentes.

Une brume épaisse, fétide, s’élève lentement,
Elle s’enroule autour des gorges, étranglant les enfants,
Des pleurs étouffés résonnent dans le néant,
Des petites mains arrachées pendent aux branches en sang.

Les cris des torturés transpercent le noir,
Leurs langues arrachées pendent, tremblantes d’espoir,
Des visages écorchés sourient, distordus de douleur,
Leurs orbites vides crient à la mort en cœur.

Au-dessus des fosses ouvertes grouillent des rats voraces,
Ils dévorent les vivants, les entrailles et les faces,
Les intestins glissent comme des serpents visqueux,
Sur la terre maudite, où pourrissent les peureux.

Les corps se tordent dans une danse macabre,
Cloués sur des croix, leurs os exposés, macabres,
Le vent souffle et arrache la peau des suppliciés,
Laissant les muscles vibrants, à vif, à jamais figés.

Ici, le temps s’étire dans une agonie infinie,
Chaque seconde une éternité de souffrance, de folie,
Les âmes pleurent, mais nul ne les entend,
Dans cette forêt où le mal se repaît sans fin de sang.
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j'en ai meme pas moi..
Tkt je t'en ferai 😂
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Poème d'horreur :
Dans l'obscurité, où la lune refuse de briller,
Il avance, fantôme d'effroi, sans un bruit, sans un regard.
Son souffle est un poison, son rire une lame,
Dans son sillage, la mort devient drame.

Les murs chuchotent son nom, un murmure malsain,
Les pavés suintent de sang sous ses pas assassins.
Il se délecte de la peur, de l’ultime soupir,
Chaque cri étouffé est pour lui un plaisir.

Son couteau danse avec une précision macabre,
Chaque entaille, chaque coup est une œuvre macabre.
Il n’a pas de cœur, juste un gouffre glacé,
Un puits sans fond de haine, de douleurs amassées.

Les rues deviennent des tombeaux, des sanctuaires profanés,
Chaque ombre cache un secret, un corps abandonné.
Il traque les faibles, les égarés, les sans nom,
Dans ses yeux brille une faim, un feu de démon.

Les murs pleurent rouge sous ses doigts meurtriers,
Les âmes arrachées, hurlent leur dernier baiser.
Les yeux grands ouverts, figés dans l'effroi,
Témoins de son œuvre, de son règne de roi.

Sous la pluie, les cadavres dansent un ballet funèbre,
Guidés par sa main, dans une valse funeste et sombre.
Les rues, ses galeries, les corps, ses trophées,
Un cauchemar sans fin, où nul ne peut se sauver.

Il murmure aux morts des promesses damnées,
Des mots tordus, doux poison à leur âme arrachée.
Son visage est une ombre, un masque d'effroi,
Dans ses yeux, le néant, où même la terreur se noie.

Et dans la nuit, quand le dernier cri s’éteint,
Il s'efface dans l’ombre, prêt à revenir demain.
Car le mal ne dort jamais, il guette et attend,
Que sa soif insatiable le ramène aux vivants.
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Poème d'horreur numéro 2:
Dans la forêt damnée où rien ne respire,
Les arbres tordus suintent une sève noire et impure,
Chaque branche est une main, griffue et avide,
Prête à déchirer la chair avec une rage morbide.

Les feuilles, décomposées, suintent de pus et de sang,
Le sol n'est que boue, mêlée de crânes et de dents,
Les racines s’enroulent comme des serpents déments,
Étouffant les cris des damnés, des pleurs incessants.

Un râle funèbre s’échappe de la terre ouverte,
Où les corps se décomposent, se déchirent, s'invertent,
Leurs os se brisent en un craquement sinistre,
Des chairs arrachées pendent comme des lambeaux de tristesse.

Les arbres saignent, leurs troncs griffés de clous rouillés,
Les bêtes qui rôdent ont les mâchoires cassées,
Leurs dents jaunes incrustées de chair pourrissante,
Déchirent et broient les membres des âmes vacillantes.

Des vers blancs grouillent sous la peau des vivants,
Ils creusent, ils fouillent, ils percent les flancs,
Les yeux se consument dans des orbites suintantes,
Regardant sans voir, des visions démentes.

Une brume épaisse, fétide, s’élève lentement,
Elle s’enroule autour des gorges, étranglant les enfants,
Des pleurs étouffés résonnent dans le néant,
Des petites mains arrachées pendent aux branches en sang.

Les cris des torturés transpercent le noir,
Leurs langues arrachées pendent, tremblantes d’espoir,
Des visages écorchés sourient, distordus de douleur,
Leurs orbites vides crient à la mort en cœur.

Au-dessus des fosses ouvertes grouillent des rats voraces,
Ils dévorent les vivants, les entrailles et les faces,
Les intestins glissent comme des serpents visqueux,
Sur la terre maudite, où pourrissent les peureux.

Les corps se tordent dans une danse macabre,
Cloués sur des croix, leurs os exposés, macabres,
Le vent souffle et arrache la peau des suppliciés,
Laissant les muscles vibrants, à vif, à jamais figés.

Ici, le temps s’étire dans une agonie infinie,
Chaque seconde une éternité de souffrance, de folie,
Les âmes pleurent, mais nul ne les entend,
Dans cette forêt où le mal se repaît sans fin de sang.
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Tkt je t'en ferai 😂
Ça m'a pris 4h pour faire les deux
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Poème pour @Calixte :
(Je voulais faire un truc un peu triste où on se mettait à ta place et tout mais finalement j'ai fait un truc un mielleux, donc j'en referai un (car là je l'aime pas dû tout))

Dans un monde où tout va vite,
Où les pensées se bousculent et s'agitent,
Tu trouves ton propre chemin,
Avec ton cœur grand et tes mains.

Ton esprit est une étoile filante,
Brillante et parfois éblouissante,
Un feu d'artifice dans la nuit,
Un univers que toi seul sais conduire.

Les mots parfois dansent trop vite,
Les sons deviennent des tempêtes subites,
Mais dans ton regard, je vois une lumière,
Une force, une magie, une prière.

Tu n’es pas comme tout le monde, c’est vrai,
Mais tu as un don, une clé,
Pour ouvrir des portes que d'autres ne voient pas,
Pour voir le monde avec une autre foi.

Avec tes rêves, tu peux tout créer,
Des montagnes à gravir, des mers à traverser,
Chaque jour est une aventure nouvelle,
Un chapitre de ton histoire éternelle.

N'oublie jamais que tu es unique,
Un voyageur d'un monde fantastique,
Et même si parfois la route semble dure,
Ton cœur pur est ta meilleure armure.

Continue à être toi, juste toi,
Car tu es un trésor, un éclat de joie,
Dans ce monde immense et parfois bruyant,
Tu es une mélodie, douce et vibrante.
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Poème pour @Calixte v2:

Il y a des jours où tout est flou,
Où le monde semble bien trop grand,
Les sons résonnent comme un écho,
Et mes pensées courent en tous sens, brûlant.

Vous parlez et riez, vous marchez dans la rue,
Pour vous, tout semble si facile, si connu.
Mais pour moi, chaque pas est un défi,
Chaque mot un combat, une incompréhensible symphonie.

Je veux vous suivre, être comme vous,
Mais ma tête est une tempête, un ciel sans trou.
Les lumières brillent trop fort, les bruits me font mal,
Je me perds dans un océan sans rivage, sans cale.

Vous ne voyez pas la lutte derrière mes yeux,
Les heures à essayer de rester heureux,
Dans un monde qui ne comprend pas mon esprit,
Qui me juge sans savoir ce que je vis.

Mais sous la surface de cette mer agitée,
Il y a un enfant qui cherche à s'exprimer,
Qui rêve de paix, de douceur et de calme,
Dans un monde qui ne serait pas toujours une arme.

Je veux que vous compreniez, juste un peu,
Que ma différence n'est pas un jeu,
C'est une bataille chaque jour, une danse incertaine,
Entre le désir d'être compris et la douleur qui m'entraîne.

Alors, s'il vous plaît, soyez patients et présents,
Accordez-moi le temps de trouver mes moments,
Car même dans le chaos de mes pensées,
Il y a une beauté que je rêve de partager.

Je suis comme vous, un être humain,
Avec des espoirs, des rêves, un chemin,
Et même si je suis différent, j'ai envie d'amour,
D'être accepté pour ce que je suis, chaque jour.
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C'est un poème sur un cauchemar que j'avais fait quand j'étais petit qui m'avait traumatisé, c'était en noir et blanc, j'étais dans une ville et il y avait des géants qui jouer avec des balles rouges et c'est balles écrasé tout le monde tout le monde fuyez et crier mais les géant continuer à jouer comme si de rien n'était donc voilà le poème :

Dans une ville plongée dans la nuit,
Où les couleurs se cachent et fuient,
Des géants s’avancent, sombres et froids,
Leurs ombres longues couvrant les toits.

Noir et blanc est le paysage,
Fantômes de gris dansent avec rage.
Sous leurs pieds lourds, la terre tremble,
Les murs se brisent, les rues s’assemblent.

Mais au milieu de ce monde blafard,
Éclatent des ballons rouges, quelque part.
Comme des cœurs battants dans la brume,
Rouge sang dans le noir, allument l'enclume.

Les géants rient, leurs voix grondent,
Un son qui déchire, qui sonne la ronde.
Leurs mains massives lancent les sphères,
Des ballons rouges, lourds comme pierres.

Et à chaque rebond, à chaque choc,
Les gens s’effondrent sous ce roc.
Les cris se mêlent à la noirceur,
Les ballons frappent avec fureur.

Les géants jouent, insouciants, cruels,
Dans ce cauchemar, éternel.
Une ville meurt sous leurs jeux,
Sous leurs rires, sous leurs yeux.

Le monde se dissout, tout s'efface,
Ne laissant qu’un rouge en surface.
Rouge des ballons, rouge des vies,
Dans ce rêve noir où tout s’enfuit.
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J'ai fait des poèmes sur le vide et en vrai c'était trop fun parce qu'on peut l'interprèter de plein de manière et je me suis amusée a faire des rimes, j'ai fait plusieurs versions :


Dans le ventre creux d’un silence difforme,
Une onde s’efface, un cri sans contour,
Le vide s’étire, serpent sans norme,
Sans centre, sans fin, comme un rêve lourd.

C’est l’écho d’un temps qui s’est perdu en route,
Un gouffre affamé, une bouche sans fond,
L’absence danse sur un fil de doute,
Là où rien ne tremble, où rien n’a raison.

Mais dans ce vide, un chuchotement étrange,
Un rire éteint, une ombre qui s’arrange,
Le vide siffle d’un souffle irraisonné,
Dans le creux d’un crâne qui refuse d’oublier.

Il est un miroir sans face ni reflet,
Un trou béant où tout se déverse,
Un lieu sans lieu, où le néant renaît,
Là où le vide s’enroule et se renverse.


Version N°2:

Dans l’abîme muet d’un silence déformé,
Une clameur sourde glisse sans nom,
Le vide rampe, monstre sans beauté,
Un gouffre affamé où s’éteint le son.

C’est l’ombre dévorée d’un temps en charpie,
Une gueule béante, un rire carnassier,
L’absence hurle dans sa folie,
Là où rien ne survit, où tout doit sombrer.

Mais du fond du vide, une voix sans visage,
Un murmure glacial, une brume de rage,
Le néant gronde d’une faim étranglée,
Dans l’ombre d’un esprit qui refuse de céder.

Il est un piège sans fin ni surface,
Un gouffre vorace où le monde s’égare,
Un labyrinthe sans mur, un espace vorace,
Là où le vide dévore et jamais ne se pare.

Version n°3 (la plus fun a faire elle veut un peu rien dire je me suis surtout amuser a faire des rimes):

Dans l’ombre mouvante d’un silence éteint,
Un soupir s’effiloche sans jamais finir,
Le vide s’étale, incertain et lointain,
Brume informe où tout semble s’enfuir.

C’est le murmure d’un écho sans mémoire,
Un souffle perdu, un rêve effacé,
L’absence glisse dans un voile illusoire,
Où rien ne commence, où tout est passé.

Mais au cœur du vide, un reflet indécis,
Un frisson flou, une ombre incomprise,
Le néant ondoie d’un chant inachevé,
Dans l’étrange oubli d’un esprit en allé.

C’est un lieu sans contours, sans début, sans fin,
Un espace flottant où le monde se brise,
Un mirage sans forme, un abîme sans chemin,
Là où le vide s’échappe et se brumise.


Version n°4 (c'est la dernière promis):


Dans l’étendue vaste d’un silence sans bord,
Un souffle imperceptible, une pensée sans voix,
Le vide s’étend, mystère sans accord,
Où l’être et le néant se croisent sans loi.

C’est l’ombre d’un concept, l’absence d’un tout,
Un questionnement pur, sans réponse ni fin,
Un gouffre infini où le sens devient flou,
Là où l’existence cherche son chemin.

Mais dans ce vide, une quête s’amorce,
Un dialogue muet entre l’ombre et la lumière,
Une vérité cachée au-delà des forces,
Dans le cœur des choses, dans l’essence première.

Il est le paradoxe d’un plein insaisissable,
Un espace vierge où l’esprit se déploie,
Un lieu de rencontre entre l’infini et l’instable,
Là où le vide contemple, et que tout est une voie.
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Et en vrai si vous voulez vous améliorer en poème ou juste essayer d'un peut vous casser la tête je vous conseille vraiment d'essayer de faire plein de petits poèmes sur un même thème assez vagues par exemple : le vide et à chaque fois essayer de changer un peu l'atmosphère faire un truc un peu étrange ensuite un truc un peu horrifique ect...
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Bon je pense que j'ai assez fait de poèmes pour aujourd'hui je vais me coucher 👋🥱😴😪
 
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JusteEtDirect

Sage
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28 Août 2024
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Poème sur un asile :
Dans l'asile aux murs sales et écarlates,
Des âmes errent, hurlant dans la nuit,
Dans des couloirs sans fin, où règnent les spectres,
Sous des néons blafards, leur lumière impie.

Les cris déchirent l'air comme des griffes,
Écorchant les murs d'écho et de douleur,
Des rires fous, des pleurs, des plaintes vives,
Ombres torturées aux cœurs dévastateurs.

Les regards creux, dévorés par l'horreur,
Fixent le vide, guettant des apparitions,
Fantômes grimaçants dans la vapeur,
D'un monde en ruine, théâtre de malédictions.

Dans le silence poisseux, les chaînes traînent,
Sur les dalles froides, le sang s'écoule,
Chants dissonants, mélodie inhumaine,
Où la raison s'effondre et la folie s’écroule.

Et là, derrière les murs, les cris s’étouffent,
Sous la lune moribonde, le cauchemar s’étend,
Dans l’obscurité lourde, l’enfer s’engouffre,
Dans cet asile où règnent les tourments sanglants.
 

JusteEtDirect

Sage
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28 Août 2024
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Merci pour ton poème je l'aime beaucoup
De rien je suis content que ça te plaise
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Salut 👋, Petite pensée pour le Vieux-Port qui s'est fait inonder 😢 (même si là, c'est juste un poème sur un port) :

Sous les cieux lourds et gris de plomb,
Le vieux port, autrefois vivant, s'endort,
Ses quais pavés, témoins du temps,
Sous les flots déchaînés, se tordent, se fondent.

Les barques jadis fières, bercées par l'onde,
Sont devenues des âmes errantes,
Emportées par une mer immonde,
Qui ne connaît plus de rives rassurantes.

Les pêcheurs, le regard perdu,
Voient leurs filets, leurs rêves engloutis,
La mer a pris ce qu'elle n'avait pas rendu,
Laissant des larmes au bord de la nuit.

Les pavés suintent l'oubli,
Où les pas résonnaient de vie,
Et l'eau, comme un miroir triste,
Réfléchit le ciel en un soupir de prisme.

Mais au fond de cette mer cruelle,
Qui mord les pierres et noie les âmes,
Le vieux port se dresse, immortel,
Gardant en son cœur une flamme.

Un jour, lorsque les eaux se retireront,
Il renaîtra, des algues libéré,
Et sous le soleil, ses quais chanteront,
Les histoires que l'océan avait emportées.
 
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JusteEtDirect

Sage
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28 Août 2024
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Dans les rues de la ville, où tout peut s’effacer,
Un visage familier, qu’on ne reverra jamais.
Un frère, un ami, un sourire d’hier,
Disparaît dans la nuit, emporté par la guerre.

Les rumeurs circulent, le téléphone sonne,
Et c’est un nom que la douleur résonne.
Tu le connaissais, il vivait tout près,
Aujourd'hui, c'est son absence qui pèse en secret.

Ici, les règlements se font en silence,
Un homme tombe, et la ville avance.
Personne ne parle, mais tout le monde sait,
Que la vie s’envole en un seul mauvais pas.

Les regards s’évitent, le cœur se méfie,
Dans ces quartiers où la peur ne fuit.
Du jour au lendemain, un proche s'efface,
Et l’on reste seul, face à cette impasse.

Chaque instant compte, chaque geste est pesé,
Dans ces ruelles où l’on peut tout perdre sans crier.
Un nom gravé dans nos cœurs écorchés,
Cette ville finira par te prendre tout ce que tu aimais.
 
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JusteEtDirect

Sage
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28 Août 2024
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Juste un poème...

"Les Ombres du Rêve"

Tout a commencé sans que je m'y attende,
Un sourire, un regard, et tu es entrée dans ma vie.
Tu t'es rapprochée, lentement, tendrement,
Et bientôt, tu es devenue plus qu'une simple amie.

C'est toi qui es venue vers moi,
C'est toi qui as avoué tes sentiments.
J'étais surpris, mais heureux à la fois,
Prêt à t'aimer, sans hésiter un instant.

On a partagé des moments doux et précieux,
On riait ensemble, on se comprenait sans mots,
Chaque jour passé avec toi était un cadeau,
Comme si l'amour pouvait tout rendre lumineux.

Tu étais là quand ça n'allait pas,
Quand tes propres démons te rongeaient,
Je t'écoutais, te soutenais dans le noir,
Essayant de t'apporter un peu de paix.

On s'est rapprochés encore, tu étais tactile,
Nos mains se frôlaient, nos cœurs battaient en harmonie,
On s'endormait ensemble, si proche, si fragile,
Dans ces moments, tout semblait infini.

Mais quelque chose a changé, je l'ai senti,
Dès qu'on s'est séparés, tu as commencé à t'éloigner.
Tu ne répondais plus à mes messages, tu disparaissais,
Et moi, je restais là, à attendre et à espérer.

Je continuais à t'envoyer des mots doux,
A te dire combien tu comptais pour moi,
Je voulais que tu saches que, quoi qu'il arrive,
Je tenais à toi, même si tu ne me répondais pas.

Je pensais que tu étais occupée,
Ou que tu avais besoin de temps,
Je me disais que l'amour pouvait tout réparer,
Mais chaque jour, ton silence devenait plus pesant.

Puis est venu le jour où tout s'est effondré,
Sans un mot, tu m'as bloqué, tu m'as fermé la porte,
Comme si tout ce qu'on avait partagé n'avait jamais existé,
Comme si, soudain, je n'avais plus aucune importance.

Je t'ai écrit une dernière fois,
Pour te dire que je comprenais,
Que je ne t'en voulais pas, malgré la douleur,
Que je voulais juste que tu sois heureuse, quoi qu'il en soit.

Je me suis accroché à nos souvenirs,
Ces moments où tout semblait parfait,
Ces instants où l'on riait ensemble,
Où l'on croyait que rien ne pouvait nous séparer.

Mais la réalité m'a frappé,
Plus dure que je ne l'avais imaginé.
Je m'étais trompé, je m'étais perdu,
Pensant que l'amour pouvait nous sauver.

Tu m'as laissé sans un mot,
Sans une explication, sans un regard,
Et j'ai dû faire face à la vérité,
Que tu étais partie, que c'était terminé.

J'ai voulu comprendre, j'ai cherché des réponses,
Mais parfois, il n'y a pas de pourquoi,
Parfois, les choses se brisent sans bruit,
Et il faut apprendre à avancer, même quand tout s'effondre.


Les rêves que nous avions étaient beaux,
Mais les rêves ne durent jamais vraiment.
Ils finissent par s'évanouir comme de la fumée,
Et laissent place à une réalité plus froide, plus tranchante.

Tu étais un rêve, un éclat de lumière,
Mais un jour, je me suis réveillé,
Et il ne restait que le silence,
Et moi, seul, face à la vérité.

L'amour peut être éphémère,
Même quand il semble éternel.
La réalité nous rappelle que tout s'efface,
Et qu'il faut apprendre à vivre avec les traces.

Je garde les bons moments dans mon cœur,
Mais je sais maintenant que rien ne dure.
J'ai appris à avancer, à reconstruire,
Même si la blessure reste là, dans le futur.

La réalité est dure, mais elle est là,
Elle ne laisse pas de place aux rêves,
Et parfois, même l'amour le plus fort,
Ne peut survivre à ce qu'on croyait éternel.

Les rêves que nous avions étaient beaux,
Mais les rêves ne durent jamais vraiment.
Ils finissent par se dissoudre dans le néant,
Laissant derrière eux une réalité cruelle et implacable.

Tu étais un rêve, une illusion fragile,
Et quand je me suis réveillé,
Il ne restait que le silence glacé,
Et moi, brisé, face à la vérité brutale.

L'amour, même s'il semblait éternel,
Peut se consumer en un instant.
La réalité, sans pitié, écrase tout,
Et laisse des cicatrices indélébiles.

Je garde les éclats de nos souvenirs,
Mais la vérité est là, froide et tranchante.
J'ai dû affronter la douleur du désenchantement,
Et reconstruire, morceau par morceau, malgré la dévastation.

La réalité est implacable, sans indulgence,
Elle ne laisse aucune place aux illusions.
Parfois, même l'amour le plus intense,
S'effondre sous le poids de la vérité.
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D'ailleur, ma signature vient de l'histoire que j'ai vécue qui est décrite dans ce poème
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"Le Sommeil de la Vie"

La vie est un sommeil aux rêves effleurés,
Un long voile de nuit doucement tissé.
Chaque jour est un songe qu’on croit éveillé,
Où l’ombre et la lumière viennent danser.

À l’aube, le cœur naît, un premier frisson,
Comme un œil qui s’ouvre sous un ciel en coton.
Les heures s’étirent, douces illusions,
Dans ce grand lit du monde, vaste horizon.

On s’élance parfois dans des rêves dorés,
Où le bonheur éclaire nos nuits passagères,
Mais souvent l’inquiétude, tel un cauchemar discret,
Trouble nos sommeils de pensées éphémères.

Et vient le crépuscule, cet instant suspendu,
Où l’âme se repose, fatiguée mais émue.
La vie s’éteint doucement, comme un rêve se dissout,
Dans le sommeil profond du dernier rendez-vous.
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Petit poème sur la mort :

"L'Abîme du Silence"

La mort s'avance, froide et sans pitié,
Elle arrache les cœurs, brise l'amitié.
Dans son sillage, tout devient poussière,
Les rires se fanent, l'espoir s'étouffe en terre.

Ses griffes noires, invisibles mais réelles,
Effleurent les vivants d'une étreinte mortelle.
Elle n'écoute pas les cris, ni les pleurs,
Elle prend tout, sans regard, sans douceur.

Le corps se vide, le souffle s'éteint,
Ne reste qu'un écho, un long chagrin.
L'absence pèse, comme une pierre en cage,
Un gouffre béant, sans fin, sans rivage.

Et dans les yeux, l'ombre gagne du terrain,
Les souvenirs s'effacent, un par un.
La mort ne console pas, elle n'épargne rien,
Elle dévore tout, et ne rend jamais rien.
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L'ombre silencieuse

Dans la nuit épaisse, sous la lueur d'un réverbère,
Il marche sans bruit, invisible comme l'air.
Les ombres le guident, complices de ses pas,
Chaque geste est précis, il ne laisse pas de trace.

Le souffle du vent murmure son nom,
Invisible fantôme, jamais à l'abandon.
Il chasse sans remords, sans peur, sans visage,
Un cœur de pierre, pris dans un sombre naufrage.

Ses yeux sont de glace, son âme est éteinte,
Dans la douleur du monde, il n'a plus de crainte.
Pour lui, la vie n'est qu'un jeu macabre,
Où chaque coup porté transforme la nuit en sabre.

Mais parfois, sous l'éclat d'une étoile moribonde,
Un instant, une faille, son esprit vagabonde.
Il se demande alors, dans un bref éclair,
Si l'homme qui tue n'est pas aussi un désert.

Le contrat s'achève, le silence retombe,
L'ombre s'éloigne, la vie s'effondre.
Dans les ruelles sombres où il se fond,
Reste la trace d'un homme qui n'a plus de nom.




Derrière ce masque de marbre et de nuit,
Un homme se cache, meurtri et sans bruit.
Autrefois, il riait, dansait sous la pluie,
Mais les ombres du monde ont terni son esprit.

Il n'était qu'un enfant, aux rêves sans fin,
Quand la vie l'a brisé, l'a tiré vers la faim.
Perdu dans la guerre, noyé sous le chaos,
Il a fait de la survie un triste fardeau.

Les cicatrices qu'il porte ne sont pas visibles,
Des marques profondes, des blessures indicibles.
Chaque balle tirée, chaque vie éteinte,
Ravive en silence sa propre complainte.

Mais qui l'écoutera, ce spectre en errance,
Pris dans l'engrenage de sa propre vengeance ?
Ses mains sont rouges, tâchées de regrets,
Mais son cœur bat encore, malgré ses secrets.

Chaque mission qu'il accepte, chaque contrat signé,
N'est qu'un pas de plus vers un avenir renié.
Il ne cherche plus l'or, ni même le pouvoir,
Il court vers un néant, où il espère se noyer un soir.

Dans la froideur des villes, il n'a plus de foyer,
Seulement des souvenirs qu'il voudrait effacer.
Un jour peut-être, lorsque le dernier souffle viendra,
Il espère, enfin, que tout s'effacera.

Mais en attendant, il erre, l'arme à la main,
Un tueur sans âme, en quête de fin.
Car dans chaque cible qu'il vise, chaque vie qu'il ôte,
C'est un peu de lui-même qu'il laisse en déroute.
 
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JusteEtDirect

Sage
Auteur du topic
28 Août 2024
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Tiens tiens ça me fait penser à une certaine musique ça :
Dans l'ombre des ruelles, la colère s'éveille,
La vie, un combat, une danse sans pareille.
Ferme ta gueule, serre les mains, et remercie,
Chaque souffle, chaque pas, une chance d'être ici.

T'aurais pu naître là où la guerre fait rage,
Au lieu de cela, tu navigues sur cette page.
Comme un phare dans la nuit, j'avance avec force,
La voix du peuple résonne, une hymne qui écorse.

Des rêves en béton, des luttes à l'unisson,
Chaque rime un cri de cœur, une déclaration.
Un équilibre fragile entre l'amour et la haine,
Sous les étoiles, je cherche un sens à cette peine.

J'suis le reflet de ceux qui, dans l'ombre, se battent,
Des éclairs de vérité, mes mots, des balles qui éclatent.
Pas besoin d'creuser, la terre porte ma souffrance,
Chaque jour un défi, chaque instant une chance.

D'un monde en déroute, je tire ma force,
Des démons cachés, j'affronte sans écorce.
Gratitude en tête, même dans la tempête,
L'univers murmure, mais qui donc l'écoute ?

Vert de rage, je lutte, la passion m'embrase,
Dans cette oasis de rêves, où tout se déphase.
Laisse-moi danser, même sur des airs de chaos,
Car au fond de la nuit, je suis l'écho de l'auto.
 

JusteEtDirect

Sage
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28 Août 2024
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Le vide

Dans l’immensité d’un souffle suspendu,
Là où le silence chante aux échos perdus,
Le vide s’étend, vaste et profond,
Comme un océan sans rivage, un horizon sans nom.

Il est l’absence, ce frisson d’un instant,
Le trou noir d’un cœur qui s’est éteint lentement,
Un abîme qui engloutit les rêves fragiles,
Un espace infini, un néant fertile.

Oh, ce vide, il danse sous la voûte étoilée,
Il murmure des secrets que les âmes ont oubliés,
Il est la toile vierge où la vie s’illustre,
Un champ d’énergie avant que l’univers ne fût.

Il peut être la peur, l’angoisse sourde,
L’angoisse qui dévore, qui tourmente et qui morde,
Mais il est aussi l’espace, la liberté,
Le souffle du possible, un futur à rêver.

Dans le vide, il y a la promesse d’un renouveau,
Une renaissance, comme un phœnix, là-haut,
Il est le creux des vagues, le silence des flots,
Un creuset d’espoir, un refrain de mots.

Il évoque la solitude, ce compagnon amer,
Mais aussi la paix, loin des cris et des guerres,
Il est l’écho de l’âme qui cherche son reflet,
Un miroir déformant, un monde à apprivoiser.

Le vide, c’est l’espace entre les étoiles,
Un souffle cosmique qui jamais ne s’emballe,
Il abrite les pensées, les désirs oubliés,
Une sérénité troublante, un temps suspendu.

Dans le vide, il y a le potentiel lumineux,
Des possibilités infinies, des chemins aventureux,
Il est le point de départ, la graine à semer,
Le début d’un voyage, d’une quête à mener.

Et dans ce vaste néant, une beauté s’éveille,
Chaque soupir, chaque souffle, chaque merveille,
Car le vide n’est pas juste ce qui nous manque,
C’est aussi la toile où l’esprit se hisse et se hante.

Alors, embrasons le vide, célébrons son mystère,
Il est la profondeur des océans de l’éther,
Un espace sacré où tout peut naître et mourir,
Un voyage sans fin, une danse à l’infini.

Ainsi, dans chaque battement, chaque silence,
Le vide s’affirme comme une chance,
Un appel à la vie, à la lumière, à l’amour,
Un souffle d’éternité, un chant toujours lourd.
 
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Juju

Sage
24 Juin 2024
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Waw j'aime trop tes poèmes tu as vraiment beaucoup de talent !
 
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Sissou

Membre supprimé
14 Sept 2024
744
879
Snif!J'aimerais etre aussi talenteuse que toi!Il n'y a pas de mots,qui puisse décrire la beauté de tes poèmes!
 
  • Merci
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