Voici une page dédiée aux poèmes que j'ai (ou que vous avez) écrit de ma (ou de votre) main !
Orbite saturé
Je n'étais dans le vaste univers qu'une planète solitaire,
Cherchant dans le vide stellaire, un éclat de lumière.
C'est alors que dans cet infini et sombre vide spatial,
Je l'aperçus, si loin, au fin fond de cette nuit sidérale.
Voyage terminé, enfin arrivé dans cette silencieuse nébuleuse.
Un amas chaotique d'astéroïdes m'attire vers une étoile dévoreuse
Un trou noir, j'aurais cru, tant un nombre astronomique de comètes autour d'elle gravitent.
Entrer dans l'horizon d'une discussion semble irréalisable, car si saturé est son orbite.
Naufrage émotionnel
Moi, qui mes émotions depuis quelques jours pensait pouvoir gérer,
Il suffisait de quelques gouttes de plus pour me faire chavirer.
Ce poids écransant mon coeur sera bien loin d'être éphémère.
Me sentirai-je mieux si l'on retrouve mon corps à la mer ?
Dans l'entièreté de mon être se répend cet infâme goût amer,
Provoqué par la longue retenue de mes émotions qui s'énumèrent.
C'est seul avec mes multiples pensées que je continuerai à errer
Dans cette souffrance infâme, c'est la mort qui viendra me libérer.
Solitude d'automne
Le milieu de l'automne, sans doute, qu'il m'insupporte
Je me sens délaissé sans qu'ils aient de regrets,
Piétiner oublié, tel une feuille morte.
Malgré cette douleur, même seul, je lutterai.
Les tempêtes me tourmentent le vent toque à la porte.
J'ai l'infâme impression de devoir errer seul,
Qu'ai-je fais pour mériter quelque chose de la sorte ?
Un jour vous me verrez couché sous mon linceul !
Les saisons se répètent le désespoir grandit !
Mes peurs se réalisent, ne soyez pas surpris
Si demain au matin je me trouve être absent.
L'automne, l'automne je hais, du fait qu'il me rende fou !
Sur votre route enfaite je ne suis qu'un caillou.
Vous me laissez, derrière, dans la mare de mon sang.
Souffrance des assonances
Tu te tais tant sur cette tentation qui te tuera.
Elle qui toute ta vie dans ta tête trottera
Mais si cette sensation si intense ne s'efface,
Si ces sensibles sentiments sans cesse se ressassent,
Alors mon amour immuable m'ammènera manifestement à la Mort
Qui m'accompagnera machinalement à mon malheureux sort.
Messages fusionnés :
Orbite saturé
Je n'étais dans le vaste univers qu'une planète solitaire,
Cherchant dans le vide stellaire, un éclat de lumière.
C'est alors que dans cet infini et sombre vide spatial,
Je l'aperçus, si loin, au fin fond de cette nuit sidérale.
Voyage terminé, enfin arrivé dans cette silencieuse nébuleuse.
Un amas chaotique d'astéroïdes m'attire vers une étoile dévoreuse
Un trou noir, j'aurais cru, tant un nombre astronomique de comètes autour d'elle gravitent.
Entrer dans l'horizon d'une discussion semble irréalisable, car si saturé est son orbite.
Messages fusionnés :
Naufrage émotionnel
Moi, qui mes émotions depuis quelques jours pensait pouvoir gérer,
Il suffisait de quelques gouttes de plus pour me faire chavirer.
Ce poids écransant mon coeur sera bien loin d'être éphémère.
Me sentirai-je mieux si l'on retrouve mon corps à la mer ?
Dans l'entièreté de mon être se répend cet infâme goût amer,
Provoqué par la longue retenue de mes émotions qui s'énumèrent.
C'est seul avec mes multiples pensées que je continuerai à errer
Dans cette souffrance infâme, c'est la mort qui viendra me libérer.
Messages fusionnés :
Solitude d'automne
Le milieu de l'automne, sans doute, qu'il m'insupporte
Je me sens délaissé sans qu'ils aient de regrets,
Piétiner oublié, tel une feuille morte.
Malgré cette douleur, même seul, je lutterai.
Les tempêtes me tourmentent le vent toque à la porte.
J'ai l'infâme impression de devoir errer seul,
Qu'ai-je fais pour mériter quelque chose de la sorte ?
Un jour vous me verrez couché sous mon linceul !
Les saisons se répètent le désespoir grandit !
Mes peurs se réalisent, ne soyez pas surpris
Si demain au matin je me trouve être absent.
L'automne, l'automne je hais, du fait qu'il me rende fou !
Sur votre route enfaite je ne suis qu'un caillou.
Vous me laissez, derrière, dans la mare de mon sang.
Messages fusionnés :
Souffrance des assonances
Tu te tais tant sur cette tentation qui te tuera.
Elle qui toute ta vie dans ta tête trottera
Mais si cette sensation si intense ne s'efface,
Si ces sensibles sentiments sans cesse se ressassent,
Alors mon amour immuable m'ammènera manifestement à la Mort
Qui m'accompagnera machinalement à mon malheureux sort.