Comment expliques-tu cela ?Regardez une cour de collège, il y a très peu de personnes parlant avec des individus d'un autre genre, il y a des groupes de garçons, des groupes de filles.
Comment expliques-tu cela ?Regardez une cour de collège, il y a très peu de personnes parlant avec des individus d'un autre genre, il y a des groupes de garçons, des groupes de filles.
Je crois qu'il faut remettre les choses dans leur contexte historique pour bien comprendre cette différentiation. Dans la société actuelle, des pays développés comme la france, bien que les inégalités soient pas complètement effacés, sur le papier hommes et femmes (personnes de sexe masculins, personnes de sexe féminin), ont quasi les même droits. Ce qui mène à une possibilité de facto à vivre une vie indépendante comme on l'entends. Et donc de fait, les dinstinctions qu'on se traine "d'avant" n'ont plus forcément autant de sens, ce qui peut justifier ton avis.Je n'aime habituellement pas trop entendre ces propos, bien que nôtre société actuelle est encore figée sur une différentiation entre les individus mâles et les individus femelles, bien que nous pensons qu'il y a une "vraie" raison a tout ces "écarts", a cette classification, je préfère personnellement entendre des propos se détachant de ce point de vue. Pourquoi vouloir affilier une façon de s'habiller a une femme ? Pourquoi vouloir nous faire entendre qu'il y a donc aussi une façon de s'habiller pour les hommes ? Même si les femmes portent maintenant des jeans (ce que je trouve très bien, pourquoi réserver ça aux hommes), il ne faut pas oublier que la jupe, les chaussures à talon ou la robe reste bien très souvent comme non-destiné aux hommes. Je pense alors que la masculinité et la féminité, ce n'est qu'une invention de la société à force que les humains se séparent en deux.
Dans ce sujet du forum, certains disent donc que les différences entre hommes et femmes ne sont ainsi pas si grandes. Pourquoi toujours nous classer en deux parties ? Je pense que les hommes et femmes peuvent s'accepter, mais je pense que pour une vraie acceptation, il faut donner les valeurs dès l'enfance, alors que l'on nous sépare pour certaines activités, encore des objets plutôt pour les filles et d'autres pour les garçons, on voit une fille jouant avec une poupée et des habits roses et un garçon avec une voiture de course et des habits bleus sur l'emballage. Regardez une cour de collège, il y a très peu de personnes parlant avec des individus d'un autre genre, il y a des groupes de garçons, des groupes de filles.
Je crois bien que nous sommes de même des animaux, les autres animaux donc.
Je crois que j'ai jamais lu un si gros tas d'âneries. "Je peux bien sur me tromper, alors corrigez moi si je me trompe", volontié je compte le faire.J'avoue que j'ai du mal avec ça aussi même si je crois que comprends la théorie de la communauté lgbt sur le sujet.
Je peux bien sur me tromper, alors corrigez moi si je me trompe. Aussi, tout le monde n'est pas d'accord sur les choses au sein meme de la commuanuté lgbt, mais voilà ce que j'ai compris :
D'une part, il y a les personnes transgenre, et d'une autre les personnes transexuels.
Les personnes transgenres remettent en cause leur genre. C'est à dire, toute la culture associée au sexe qu'on a. Si on est un homme, la culture dit qu'on est supposé ne pas trop pleurer, être viril, ne pas se maquiller, avoir des poils, des gros muscles, avoir de l'humour etc. Et si on est une fille, on est pas sensé avoir de poils, on devrait se maquiller, savoir cuisiner être belle etc.Tout ça, ce sont des choses qu'on attends à propos de notre corps, et de nos comportements. C'est subjectif et culturel.
Les transexuels remettent en question leur sexe. Ils considèrent qu'ils ne sont pas nés avec le bon sexe. Et se sentent du sexe opposé.
Dans les deux cas, il y a souvent un mal être associé à cette chose qu'ils refusent. De leur point de vue, ils ne le refusent pas, c'est juste que la réalité ne correspond pas à ce qui devrait être. Ou que leur corps ne représentent pas la "vraie réalité". A ce changement qu'ils souhaitent. Et ça touche leur identité. C'est à dire à la façon dont ils se voient eux même et souhaite qu'on les vois.
Mais voilà, j'avoue avoir du mal avec ça. Sans malveillance, bien au contraire.
Je trouve que le vocobulaire est très mal utilisé. Pour rappel, selon la majorité des dictionnaires :
- Le mot "homme" désigne un être humain de _sexe_ masculin.
- Le mot "masculin" désigne le genre généralement associé à un homme.
- Le mot "femme" désigne un être humain de _sexe_ féminin.
- Le mot "féminin" désigne le genre généralement associé à une femme.
- La majorité des gens utilisent les pronom pour désigner le sexe. Pas le genre. L'usage fait foi, et en plus à du sens. On se trompe beaucoup moins facilement sur le sexe d'une personne que sur son genre.
On parle de pronom de genre, parce qu'on associe un genre à un mot qui n'as pas de sexe. Une table n'as pas de seins, un téléphone n'as pas de pénis. C'est donc subjectif, c'est donc un genre. En revanche, une personne ou un animal ont un sexe, et dans ce cas le pronom désigne le sexe. C'est l'usage majoritaire qui est en fait.
Donc je trouve ça hyper incohérent de dire "Une femme transgenre est une femme" ou bien "tu mégenres cette personne" Une femme est une personne de sexe féminin, donc une "femme transgenre" est en réalité un homme. C'est à dire une personne de sexe masculin. L'usage commun de la communauté lgbt de "une femme transgenre" devrait en réalité être "un homme féminin". Parce qu'homme désigne le sexe, et féminin le genre. On a déjà des mots, pourquoi ne pas les utiliser ?
Dans la communauté lgbt, il y a finalement un glissement des définition. Homme désigne le genre masculin. Femme le genre féminin. Les pronoms désigne le genre au lieu du sexe également. Et si on veut parler du sexe, on doit limite utiliser le mot "male" et "femelle" ou utiliser le couple de mot "sexe masculin" "sexe féminin". Au final, même si les définitions changent au sein de la communauté lgbt, on est capable de parler de la même chose.
Les mots et leur définition sont subjectif. Ce qui fait foi, l'usage. Donc finalement, puisque la communauté lgbt les utilise ainsi, dans le contexte de cette communauté c'est tout à fait légitime et correcte de les employer ainsi. Mais c'est important de comprendre cette différence de définition parce que l'interêt d'un mot c'est d'être compris. Et il me semble que justement, à changer le sens du mot la communauté lgbt a des difficulté à être comprise. Il y a cette vidéo d'un homme (personne de sexe masc.) qui dit à un journaliste "je ne suis pas un homme, qu'es-ce qui vous fait dire ça ?". Et cette personne se sent tout à fait légitime puisqu'elle utilise les définitions lgbt. Mais pour 90% du reste de la planète ça semble absurde. Parce qu'homme désigne son sexe, et que son sexe est évident. Cet épisode est l'une des nombreuses méprises associés à ces mots qui changent de définitions. Et j'avoue que je trouve ça absurde de changer les mots. Mais de plus en plus, je me dis que même si beaucoup de gens sont persuadé du bien fondé de leur usage -à tord selon moi- le truc important à retenir, c'est surtout que ça brouille les codes, et que ça sert le fait que les gens deviennent de plus en plus libre de leur choix.
Et à propos des transexuel, si la raison de vouloir changer de sexe c'était se personnaliser, je trouverai ça normal. On personnalise tout de nos jours. Et si on peut le faire pourquoi s'en empecher ? Encore que changer de sexe c'est encore assez mal maitrisé. On vieillis mal, on doit rester sous hormones toute notre vie sous peine que notre sexe d'origine revienne, on peut faire des rejets, on devient stérile dans notre nouveau sexe voir dans l'ancien. Breeeef, c'est pas un truc très bien maitrisé. Et ça coute cher. Mais chacun voit midi à sa porte.
En revanche, "je ne me sent pas homme" je trouve ça incohérent. Y a pas à se sentir. Tu es un être humain de sexe masculin c'est un fait. Et le fait de détester à ce point une réalité ca relève de la psychiatrie. Mais quelque part je la comprends aussi un peu. Moi, je trouve ça dur à avaler le fait que pour vivre, on est obligé de manger un autre être vivant. Plante ou animal. On peut pas bouffer de la terre ou des rochers ? Tu vas voir qu'un jour on va apprendre qu'ils sont en vie eux aussi.. Bref, mais avoir un déni du réel c'est grave psychologiquement. Et le problème c'est pas la réalité. C'est le fait que notre perception n'arrive pas à s'y adapter au points que ça nous pourrisse la vie. Et donc je trouve que dans l'interêt de la personne transexuelle il vaudrait mieux qu'elle soigne son mal etre par de la psychologie, mais pas de la chirurgie.
Il y a aussi une chose qui me rends perplexe, et que je ne sais pas trop comment gérer, c'est qu'il faut prendre en compte tout le monde, et rester bienveillant. Et il y a un conflit entre la vision que les gens ayant une trans identité ont d'eux même et celle que le monde -ou plus spécifiquement, moi- ont d'eux. Pour moi, la sexe ou le genre ne définissent pas une personne. Et je me sent agressé qu'on essaie de me faire appliquer une vision des choses qui n'est pas la mienne. J'ai la sensation de mentir si je dois utiliser elle au lieu de il par exemple. Mais je comprends totalement que ça peut soulager un mal etre. Mais j'ai l'impression d'alimenter ce mal etre indirectement en validant l'idée à l'origine de se mal être. Donc ça fait entrer en conflits les libertés des un des autres, et j'espère que mon avis et mes sentiments comptent autant que les leurs. Donc j'espère qu'on ne me blamera pas de penser ainsi
Quoi qu'il en soit, tout ces avis, même si j'essaie de les dire de la façon la plus bienveillante que je peux, généralement, on me fait comprendre que je suis mal placé pour en parler, et j'avoue que je trouve ça triste. Ca veut dire que les gens sont tellement touchés, qu'ils arrivent pas à parler du fonds et creuser le sujet même dans directions qui ne leur plait pas
Les deux veulent dire la même chose: Une personne qui transitionne de la classe des hommes vers la classe des femmes OU de la classe des femmes vers la classe des hommes.D'une part, il y a les personnes transgenre, et d'une autre les personnes transexuels.
FAUX. Les personnes transgenres ne cherchent ni la subversion ni la "destruction du genre"", ce sont juste des gens qui veulent transitionner et vivre en paix.Les personnes transgenres remettent en cause leur genre. C'est à dire, toute la culture associée au sexe qu'on a.
FAUX. D'une part, sexe et genre veulent dire la même chose, d'autre part le dictionnaire ne constitue pas une source et à aucun moment les pronoms font référence au sexe, quand tu genres un inconnu par exemple sur le net, tu n'as pas besoin de le voir à poil pour savoir s'il est un homme ou une femme, d'ailleurs je tiens quand même à rappeler que nous genreons des objets inanimés, donc à part si vous pouvez me prouver qu'une table à des chromosones X ou Y, vous dites n'importe quoi.Je trouve que le vocobulaire est très mal utilisé. Pour rappel, selon la majorité des dictionnaires :
- Le mot "homme" désigne un être humain de _sexe_ masculin.
- Le mot "masculin" désigne le genre généralement associé à un homme.
- Le mot "femme" désigne un être humain de _sexe_ féminin.
- Le mot "féminin" désigne le genre généralement associé à une femme.
- La majorité des gens utilisent les pronom pour désigner le sexe. Pas le genre. L'usage fait foi, et en plus à du sens. On se trompe beaucoup moins facilement sur le sexe d'une personne que sur son genre.
On parle de pronom de genre, parce qu'on associe un genre à un mot qui n'as pas de sexe. Une table n'as pas de seins, un téléphone n'as pas de pénis. C'est donc subjectif, c'est donc un genre. En revanche, une personne ou un animal ont un sexe, et dans ce cas le pronom désigne le sexe. C'est l'usage majoritaire qui est en fait.
FAUX et en plus c'est complètement irréspectueux et ignorant de ta part, j'espère que tu n'as jamais rencontré de personne trans dans la vie réelle car je me sentirais mal pour elle de penser que tu ne la vois que comme un "homme féminin" ou une "femme masculine".Donc je trouve ça hyper incohérent de dire "Une femme transgenre est une femme" ou bien "tu mégenres cette personne" Une femme est une personne de sexe féminin, donc une "femme transgenre" est en réalité un homme. C'est à dire une personne de sexe masculin. L'usage commun de la communauté lgbt de "une femme transgenre" devrait en réalité être "un homme féminin". Parce qu'homme désigne le sexe, et féminin le genre. On a déjà des mots, pourquoi ne pas les utiliser ?
Si sexe et genre est la même chose, alors homme et femme définissent le genre et le sexe et vice-versa.Mais c'est important de comprendre cette différence de définition parce que l'interêt d'un mot c'est d'être compris. Et il me semble que justement, à changer le sens du mot la communauté lgbt a des difficulté à être comprise.
Il y a cette vidéo d'un homme (personne de sexe masc.) qui dit à un journaliste "je ne suis pas un homme, qu'es-ce qui vous fait dire ça ?". Et cette personne se sent tout à fait légitime puisqu'elle utilise les définitions lgbt.
Blablabla relire mon message du dessus.Parce qu'homme désigne son sexe, et que son sexe est évident. Cet épisode est l'une des nombreuses méprises associés à ces mots qui changent de définitions. Et j'avoue que je trouve ça absurde de changer les mots. Mais de plus en plus, je me dis que même si beaucoup de gens sont persuadé du bien fondé de leur usage -à tord selon moi- le truc important à retenir, c'est surtout que ça brouille les codes, et que ça sert le fait que les gens deviennent de plus en plus libre de leur choix.
On s'en fout que ce soit normal ou pas pour toi en fait.Et à propos des transexuel, si la raison de vouloir changer de sexe c'était se personnaliser, je trouverai ça normal.
Oh non c'est trop triste ! Sinon la cigarette et l'alcool et le maquillage et la malbouffe et le bronzage et... aussi.On vieillis mal
Le sexe d' "origine" ne reviens pas quand on t r a n s t i o n n e, les hormones à vie font parti des choses que les personnes trans ont rapidement pris conscience, si elles ont fait ce choix c'est qu'elles y ont conscience.on doit rester sous hormones toute notre vie sous peine que notre sexe d'origine revienne
On parle de transition ou de transplantation d'organe là ?on peut faire des rejets
Oh non on peut plus faire de marmot dans le corps qu'on ne désirait pas à la base! Triste monde...on devient stérile dans notre nouveau sexe voir dans l'ancien.
Pas si tu sais où te rendre.Breeeef, c'est pas un truc très bien maitrisé. Et ça coute cher. Mais chacun voit midi à sa porte.
Oui je te blâme parce que tu sors un pavé d'ignorance dont tes sources me semble douteuse, tu dis litérralement que respecter une personne c'est te "mentir à toi-même" ou que ça empiète sur ta liberté mdrrr.Il y a aussi une chose qui me rends perplexe, et que je ne sais pas trop comment gérer, c'est qu'il faut prendre en compte tout le monde, et rester bienveillant. Et il y a un conflit entre la vision que les gens ayant une trans identité ont d'eux même et celle que le monde -ou plus spécifiquement, moi- ont d'eux. Pour moi, la sexe ou le genre ne définissent pas une personne. Et je me sent agressé qu'on essaie de me faire appliquer une vision des choses qui n'est pas la mienne. J'ai la sensation de mentir si je dois utiliser elle au lieu de il par exemple. Mais je comprends totalement que ça peut soulager un mal etre. Mais j'ai l'impression d'alimenter ce mal etre indirectement en validant l'idée à l'origine de se mal être. Donc ça fait entrer en conflits les libertés des un des autres, et j'espère que mon avis et mes sentiments comptent autant que les leurs. Donc j'espère qu'on ne me blamera pas de penser ainsi
Les deux veulent dire la même chose: Une personne qui transitionne de la classe des hommes vers la classe des femmes OU de la classe des femmes vers la classe des hommes.
Tu n'as pas compris ce que j'ai dit. Je n'ai ni dit, ni sous entendu ça. Ils remettent en question en 1er lieux leur propre genre. Celui des autres, ou même la notion même de genre ils peuvent éventuellement le faire, mais c'est pas une généralité je te l'accorde.FAUX. Les personnes transgenres ne cherchent ni la subversion ni la "destruction du genre"", ce sont juste des gens qui veulent transitionner et vivre en paix.
C'est pas ce que disent 95% de la population. Ni le dictionnaire d'ailleurs.D'une part, sexe et genre veulent dire la même chose
Je suis désolé de te contredire mais si. Le dictionnaire c'est le consensus sur l'usage d'un mot. Je suis d'accord qu'il n'est pas une preuve absolue, parce que ce qui fait foi c'est l'usage. Mais si t'es la seule personne à détourner l'usage d'un mot, tu as tord sur son sens. Et quand un doute subsiste, c'est lui qui est sensé trancher.d'autre part le dictionnaire ne constitue pas une source
Je donne des définitions, définitions qui sont trouvable hyper facilement, je n'ai pas tord la dessus. Ces définitions permettent de faire des distinctions. Le fait de différencier sexe et genre permet justement d'expliquer pourquoi on peut dire "elle" pour une table. Parce que dans le cadre d'un objet qui n'as pas de sexe, le pronom désigne le genre. Pas le sexe. Pour un humain qui possède effectivement un sexe, le pronom désigne communément le sexe. C'était précisement l'objet de la section que tu désignes d'expliquer celà et tu ne l'as visiblement pas compris.FAUX. D'une part, sexe et genre veulent dire la même chose, d'autre part le dictionnaire ne constitue pas une source et à aucun moment les pronoms font référence au sexe, quand tu genres un inconnu par exemple sur le net, tu n'as pas besoin de le voir à poil pour savoir s'il est un homme ou une femme, d'ailleurs je tiens quand même à rappeler que nous genreons des objets inanimés, donc à part si vous pouvez me prouver qu'une table à des chromosones X ou Y, vous dites n'importe quoi.
Bah non du coup, c'est pas la meme chose. Regarde la définition, demande à des gens autour de toi au lieu d'insister la dessus mordicus.Si sexe et genre est la même chose, alors homme et femme définissent le genre et le sexe et vice-versa
Après le mépris tu essaies de donner des ordres aux gens ? Je n'ai pas été méprisant envers cette personne. Au contraire, je trouve que son exemple souligne la différence de définition. A cette étape il n'y aucun jugement qui mériterai que je fasse attention à comment je parle de cet exempleDonc maintenant vous allez arrêté de ressortir cet exemple.
Vraiment ? Pourquoi tu me réponds alors ?On s'en fout que ce soit normal ou pas pour toi en fait.
Si on t'as coupé le penis, il reviens pas. Mais la plupart des caractères sexuelles secondaires reviennent. Pilosité, masse musculaire, etc. Quand on était une femme, la poitrine peut reprendre du volume. Tu devrais te renseignerLe sexe d' "origine" ne reviens pas quand on t r a n s t i o n n e
Si ça ne t'importes pas, c'est très bien, mais c'est souvent un truc important pour les gens, et donc c'est tout aussi important de parler de cette perte.Oh non on peut plus faire de marmot dans le corps qu'on ne désirait pas à la base! Triste monde...
Sauf que j'ai donné les exemples de ce qui est mal maitrisé, et c'est juste l'état actuel de la science. Alors peu importe où tu vas, c'est un fait que c'est mal maitrisé. Encore une fois, peut etre que pour toi c'est largement suffisant, sauf que ça ne l'est pas pour tout le monde.Pas si tu sais où te rendre.Mais oui chacun voit midi à sa porte en effet.
Ca s'appelle des synonymes, ce n'est pas parce que deux mots ont deux termes différents que ça signifie deux choses opposés, surtout que transsexuel et transgenre sont pratiquement identiques.Non, c'est la définition du mot. Y a deux mots différents, qui on été construits et inventés pour désigner deux choses différentes. "Trans" pour désigner la translation, le changement, et sexuel / genre pour désigner que ça s'effectue sur l'un ou sur l'autre.
Non, classe homme et classe femme c'est classe de sexe (mais comme je l'ai dit, c'est la même chose donc on s'en fout), pensez le sexe comme une classe sociale c'est une hypothèse féministe qui remonte aux années 70 inspiré de Marx, ça permet de voir que d'une part, les hommes et les femmes sont construits socialement (indépendemment de leur sexe ou ""réalité biologique"" (quoi que ça veuille dire d'ailleurs)), d'autre part que cette construction a des conséquences direct et indirect entre les rapports hommes/femmes mais c'est aussi des théories qui peuvent être utilisés pour parler de transition de genre (car dire que ce sont des classes de sexe, implique que l'on peut changer de classe finalement, ou les détruire mais c'est une autre histoire).La "classe homme" ou "classe femme", tu étayes mon propos de base : tes mots ne te permettent pas de désigner la réalité sociale et la réalité biologiques. Ca en devient confus et compliqué de te suivre.
Ici, j'ai l'impression que ce que tu appelles "classe" parle en fait de ce qui est communément désigné par le mot "genre".
Les définitions que tu as utilisé sont pauvres, caricaturales et manquent de clarté, en plus elles ne sont pas "majoritaire", d'où tu affirmes celà ? Je ne suis pas là pour parler de définition à longueur de journée d'ailleurs je cherchais plutôt à éclarcir des choses dont je suis fatigué de voir à longeur de journée, un peu marre que les discours sur la transidentité sont soit sous le prisme des définitions issus des politiques de droite (="les trans sont malades") ou des féministes libérales (="le genre et le sexe c pas pareil et les femmes trans sont justes des hommes féminins en fait").Moi j'ai résumé les définitions communément utilisés selon la communauté de laquelle on arrive. Et toi tu essaies de me contredire avec ta définition toute personnelle. Et c'est un peu hors sujet. Parce que la définition que tu utilises ne fait pas l'unanimité.
Qui sont ces "95%"? Et encore une fois le dictionnaire ne constitue pas une source viable, c'est un recueil permettant de définir des mots utilisés couramment. Si tu veux me prouver que tes arguments sont bons, utilise d'autre sources.C'est pas ce que disent 95% de la population. Ni le dictionnaire d'ailleurs. Je suis désolé de te contredire mais si. Le dictionnaire c'est le consensus sur l'usage d'un mot. Je suis d'accord qu'il n'est pas une preuve absolue, parce que ce qui fait foi c'est l'usage. Mais si t'es la seule personne à détourner l'usage d'un mot, tu as tord sur son sens. Et quand un doute subsiste, c'est lui qui est sensé trancher.
J'y connais un rayon figure toi et j'affirme que tu es absolument ignorant. On ne "coupe pas" le pénis pour faire un vagin, la chirgurgie de réassignation sexuelle consiste à reconstruire le pénis de A à Z pour former l'entrée et éventuellement les lèvres et le clitoris. Les poils ne reviennent pas car les femmes trans font ce qu'on appelle de l'épilation lasaire, l'épilation lasaire a pour but de détruire le bulbe ce qui fait que la formation du poil est totalement arrêté (d'où le deuxième surnom d'épilation définitive).Si on t'as coupé le penis, il reviens pas. Mais la plupart des caractères sexuelles secondaires reviennent. Pilosité, masse musculaire, etc. Quand on était une femme, la poitrine peut reprendre du volume. Tu devrais te renseigner
Tu continues de me donner ta définition toute personnelle de la chose, moi je te parle du vrai sens de ces mots. Du sens qui est admis par la majorité de la population. C'est pas parce que toi tu utilises le mot banane pour désigner une pomme que c'est ce que ça veut dire. Je peux faire l'effort mental de remplacer pomme par banane dans ton discours histoire de comprendre le fond de ta pensée. Mais il reste que c'est faux. Et qu'il serait bien de reconnaitre que toi, tu en détournes le sens.Ca s'appelle des synonymes, ce n'est pas parce que deux mots ont deux termes différents que ça signifie deux choses opposés, surtout que transsexuel et transgenre sont pratiquement identiques.
Qu'on change de genre ou qu'on change de sexe ça revient à la même car dans tous les cas ça mène à une transition qui lui est un terme et un concept unique.
C'est interressant ce que tu dis là, parce que je ne savais pas que classe de sexe était une notion théorisée qui ne t'étais pas personnelle. Mais du coup cette notion est un prémice à celles qui sont utilisés aujourdhui. A cette époque, on ne parlait que de sexe. Et pour commencer à pouvoir distinguer la réalité biologique de la réalité sociale, il a fallu inventer des mots pour en parler. Cette notion de classe permettait de parler de ce qu'on nomme aujourdhui le genre. C'est à dire le fait qu'en fonction de notre sexe, on nous attribue des règles de comportements en société. Mais elle n'était qu'un prémice à ce qu'on utilise aujourdhui comme notions puisque "classe de sexe" est ambigue. Il ne permet pas de designer tout le spectre de transidentité comme on le fait aujourdhui.Non, classe homme et classe femme c'est classe de sexe (mais comme je l'ai dit, c'est la même chose donc on s'en fout), pensez le sexe comme une classe sociale c'est une hypothèse féministe qui remonte aux années 70 inspiré de Marx, ça permet de voir que d'une part, les hommes et les femmes sont construits socialement (indépendemment de leur sexe ou ""réalité biologique"" (quoi que ça veuille dire d'ailleurs)), d'autre part que cette construction a des conséquences direct et indirect entre les rapports hommes/femmes mais c'est aussi des théories qui peuvent être utilisés pour parler de transition de genre (car dire que ce sont des classes de sexe, implique que l'on peut changer de classe finalement, ou les détruire mais c'est une autre histoire).
Parce qu'il suffit de faire deux recherches google pour tomber sur ces définitions. Et parce qu'en plus de cette évidence, tu juste la seule personne que j'ai rencontré à dire que sexe et genre c'est pareil. Et pourtant je ne suis pas étranger aux communautés lgbt.Les définitions que tu as utilisé sont pauvres, caricaturales et manquent de clarté, en plus elles ne sont pas "majoritaire", d'où tu affirmes celà ? J
Pourtant c'est exactement le coeur du message que tu as cité. C'est principalement sur ça que je m'exprimais initialement. Et puis c'est juste nécessaire d'être d'accord sur le sens des choses pour pouvoir en parler clairement. Si on est déjà pas d'accord sur le sens qu'on prête à un mot comment est ce qu'on pourrait parler du concret des choses ? Si moi j'utilise le mot transgenre à la place du mot transsexuel c'est pour parler d'une situation très précise. Et si toi ne le comprends pas, tu vas forcément répondre à coté de mon idée.Je ne suis pas là pour parler de définition à longueur de journée
Il y aurait matière à débattre la dessus parce que c'est assez concret comme reproche. Mais si je comprends bien, au fond tu en a marre, et ce qu'il t'interresse c'est surtout de l'exprimer. De te décharger de ce raz le bol. Pas vraiment de débattre à ce sujet afin d'étayer tes idées sur le sujet. Tu n'as pas envie de changer d'avis on diraitun peu marre que les discours sur la transidentité sont soit sous le prisme des définitions issus des politiques de droite (="les trans sont malades") ou des féministes libérales (="le genre et le sexe c pas pareil et les femmes trans sont justes des hommes féminins en fait").
Alors, le dictionnaire c'est une source fiable. Il est mis à jour régulièrement pour s'adapter à l'usage. Pour preuve ils ont même fait entrer "iel" dedans. Mais sinon, si tu voulais avoir la preuve de ces 95% il faudrait interroger un nombre incroyable de personnes, et tu comprends bien qu'on ne va pas demander à 95% des français ou meme de la communauté international de témoigner. La meilleure alternative qu'il reste, c'est de se mettre d'accord sur le fait que même un échantillon limité permette de représenter globalement la tendance. Et moi je fais cette démarche en faisant les recherches google. Je cherche le mot "transexuel" ou "transgenre" ou bien "transgenre vs transsexuel", et je regarde les résultats de la 1ere page. Je regarde ce que les gens dises. Et il se trouve que lors de mes recherches c'est ce qui en est ressorti.Qui sont ces "95%"? Et encore une fois le dictionnaire ne constitue pas une source viable, c'est un recueil permettant de définir des mots utilisés couramment. Si tu veux me prouver que tes arguments sont bons, utilise d'autre sources.
L'épilation laser n'est pas 100% définitive. Et ça ne contredit pas ce que je dis à savoir que si une personne arrete les hormones sa pilosité reviendraient du à ses hormones sexuels d'origine. L'épilation ne fait que cacher le phénomèneJ'y connais un rayon figure toi et j'affirme que tu es absolument ignorant. On ne "coupe pas" le pénis pour faire un vagin, la chirgurgie de réassignation sexuelle consiste à reconstruire le pénis de A à Z pour former l'entrée et éventuellement les lèvres et le clitoris. Les poils ne reviennent pas car les femmes trans font ce qu'on appelle de l'épilation lasaire, l'épilation lasaire a pour but de détruire le bulbe ce qui fait que la formation du poil est totalement arrêté (d'où le deuxième surnom d'épilation définitive).
Oui merci, je sais bien, c'était une image, évidement qu'on ne coupe pas. C'est de la chirugie pas de la boucherie.On ne "coupe pas" le pénis pour faire un vagin,
Bon j'ai refait des recherches sur le sujet. Tout dépend d'à quel moment de la transition on se situe. Les seins poussent pas magiquement, mais sous l'effet d'hormones féminines. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle ils peuvent prendre du volume pendant une grossesse.donc non les seins ne "reviennent pas".
Merci, je l'ai constaté et j'apprécie. Le mépris ça trigger juste l'égo et la défensive chez la personne d'en face. Et ça c'est pas très favorable à la remise en question.Vraiment j'ai essayé d'être moins méprisant
Je ne connais pas le sujet depuis 10minutes mais j'admet volontier que je peux avoir des lacunes. D'ailleurs, je le rappelle, mais initialement, ce sur quoi je m'exprimais n'était pas l'aspect transition de la chose. Mais l'aspect définition.d'un sujet qu'il connait depuis 10 minutes
Ce n'est pas mon cas. J'ai un avis, et des connaissances. Ils sont ce qu'ils sont. Je le poses sur la table et je vois ce qu'il se passe. De cette manière si j'ai juste mais que je ne sais pas le défendre c'est que je ne suis pas assez renseigné. Si j'ai tord mais que l'autre ne sait pas me le faire comprendre c'est qu'il n'est pas assez renseigné. Si j'ai tord et qu'il sait me le montrer, chouette, j'ai appris un truc. Si j'ai juste et que je sais le faire comprendre, chouette j'ai partagé un truc.pense en savoir davantage
C'est mahonnête comme argument, pourquoi ce serait mon argument qui utiliserait le mot "banane" pour définir "pomme" et pas l'inverse ? Que constitue ma définition comme "banane" et pas comme "pomme rouge" ou "pomme verte" par exemple ?Tu continues de me donner ta définition toute personnelle de la chose, moi je te parle du vrai sens de ces mots. Du sens qui est admis par la majorité de la population. C'est pas parce que toi tu utilises le mot banane pour désigner une pomme que c'est ce que ça veut dire. Je peux faire l'effort mental de remplacer pomme par banane dans ton discours histoire de comprendre le fond de ta pensée. Mais il reste que c'est faux. Et qu'il serait bien de reconnaitre que toi, tu en détournes le sens.
J'ai lu ton article et ici il n'est pas question de définition mais de comment les gens préfèreront un terme (transgenre) plutôt que l'autre (transsexuel) pour des raisons liés à la médicalisation de la transidentité et bien que ces raisons soient compréhensibles, le mot transsexuel ne reste pas moins différent de transgenre sur le fond, encore beaucoup de personnes trans utilisent le terme "transsexuel" pour se décrire par exemple.Je veux dire, il suffit de taper sur google transgender vs transsexual pour tomber sur une explication de ce genre.
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Transgender vs. transsexual: Definitions and differences
Transgender and transsexual have different definitions. Learn more about what they mean and the terminology to avoid here.www.medicalnewstoday.com
Ils disent clairement que ces mots ne sont pas synonimes. Ils veulent dire deux choses différentes.
Certes ce fut une prémise mais ça ne veut pas dire que c'est désuet pour autant, c'est encore utilisé dans les courants du féminisme matérialiste, féminisme marxiste, et dans des sous branches de trans-féminisme (=féministe expliqué du point de femmes transgenre) donc ce n'est pas "rien" et oui même si on peut le définir par ce qu'on appelle le genre, il a l'avantage d'avoir un point de vue moins essensialisant (comme on peut le voir dans certains discours où le genre serait quelque chose de "personnelle, ancrée en nous" et autres termes issus des mouvements hippie/new-age) mais plus d'un point de vue matérialiste (le genre existe uniquement dans une société dont son but est la division (homme-femme) pour y former la domination (homme>femme), on peut donc le changer et/ou le détruire comme on peut mettre fin aux classes sociales en détruisant les oppressions liés à la bourgeoisie sur les prolétaires), et s'il n'a plus de genre, alors il y'a aussi plus de notion de "sexe" (car l'un ne va pas vraiment sans l'autre finalement), la transidentité peut parfaitement correspondre aux idées de classes de genre (puis ce les personnes trans changent litérallement de classe de sexe pour aller vers une autre classe de sexe).C'est interressant ce que tu dis là, parce que je ne savais pas que classe de sexe était une notion théorisée qui ne t'étais pas personnelle. Mais du coup cette notion est un prémice à celles qui sont utilisés aujourdhui. A cette époque, on ne parlait que de sexe. Et pour commencer à pouvoir distinguer la réalité biologique de la réalité sociale, il a fallu inventer des mots pour en parler. Cette notion de classe permettait de parler de ce qu'on nomme aujourdhui le genre. C'est à dire le fait qu'en fonction de notre sexe, on nous attribue des règles de comportements en société. Mais elle n'était qu'un prémice à ce qu'on utilise aujourdhui comme notions puisque "classe de sexe" est ambigue. Il ne permet pas de designer tout le spectre de transidentité comme on le fait aujourdhui.
Mais pourquoi limiter ce débat à juste parler de définitions dans l'unique but d'être d'accord entre nous ? C'est juste de la tergiversation, un débat stérile qui n'apportera rien finalement, surtout que les définitions qui ont été choisi ont été très mal défini et en plus peu de gens ont cherché à confronter ces définitions et s'est vite transformé en un autre débat, être d'accord sur une définition ça ne constitue pas un débat car il n'existe aucune définition réellement objective sur des choses bien que concrètre, que ce soit pour les sources choisis sur les définitions des mots, de l'époque et surtout du contexte, d'où le fait que je ne prends pas le dictionnaire comme une source sûre et c'est une pensée naïve de réfléchir ainsi, j'ignore ton âge ni ton niveau d'étude mais utiliser un dictionnaire dans un débat académique ou pour rendre un TD, risque de provoquer la raillerie de tes professeurs et élève...Pourtant c'est exactement le coeur du message que tu as cité. C'est principalement sur ça que je m'exprimais initialement. Et puis c'est juste nécessaire d'être d'accord sur le sens des choses pour pouvoir en parler clairement. Si on est déjà pas d'accord sur le sens qu'on prête à un mot comment est ce qu'on pourrait parler du concret des choses ? Si moi j'utilise le mot transgenre à la place du mot transsexuel c'est pour parler d'une situation très précise. Et si toi ne le comprends pas, tu vas forcément répondre à coté de mon idée.
Tu as parfaitement le droit d'avoir ta définition toute personelle des choses. Mais il faut avoir conscience que c'est le cas. Déjà pour éviter les incompréhension, et puis si tu as ta définition, peut etre que c'est parce qu'il y aspect pertinent que tu essaie d'apporter au concept. Ou bien au contraire, tu n'as pas saisi une nuance de l'idée que tu utilises. Dans les deux cas, c'est la base de toute conversation de se mettre d'accord sur le sens des mots si on voit qu'il donne lieu à des incohérences du discours.
Si tu ne souhaites pas le faire, il ne te reste plus qu'à être en désaccord avec la majorité des gens que tu ne comprends pas, et te conforter dans tes idées avec peu de remises en question dans un groupe de gens qui auraient des idées similaires avec les tiennes
Je ne débat pas pour changer d'avis mais pour partager différents point de vue, mais encore faut-il que les points de vue soient un minimum différent de ce que j'ai trop l'habitude de voir (c'est lassant) et, si je peux me permettre, complètement détaché de la réalité (je ne mets pas tout dans le même panier mais je me comprends).Il y aurait matière à débattre la dessus parce que c'est assez concret comme reproche. Mais si je comprends bien, au fond tu en a marre, et ce qu'il t'interresse c'est surtout de l'exprimer. De te décharger de ce raz le bol. Pas vraiment de débattre à ce sujet afin d'étayer tes idées sur le sujet. Tu n'as pas envie de changer d'avis on dirait
"Régulièremment", pour citer une vidéo de linguisticae, "féminicide" existe depuis 2008 sur le wikitionnaire et on a attendu 2014 et 2020 pour nos chers dictionnaire Larousse et Robert.Alors, le dictionnaire c'est une source fiable. Il est mis à jour régulièrement pour s'adapter à l'usage.
L'épilation laser n'est pas 100% définitive. Et ça ne contredit pas ce que je dis à savoir que si une personne arrete les hormones sa pilosité reviendraient du à ses hormones sexuels d'origine. L'épilation ne fait que cacher le phénomène
Par pitié lis au moint les sources que tu me donnes.D'ailleurs, si tu veux des sources tiens, l'un des 1er liens sur lequel je tombe quand je google "es-ce que l'epilation laser est définitive ?"