La caverne d'alibaba de chez wish
- Auteur du sujet Le_gars
- Date de début
Clara et Stéphane sont face à face, devant l'hôpital de la ville de Lonceaux. Ils sont maintenant mariés depuis cinq ans, et ont un fils, Loïc, de 15 ans. Clara est en pleurs, et est agrippée à la chemise de son interlocuteur. Elle ne veut pas, elle ne peut pas..
Après de longs sanglots, Stéphane dit lourdement :
“Essaie de me comprendre… Voilà maintenant 6 mois qu’il est ici.. Je ne peux plus le supporter. J’y pense tous les jours, il ne se passe pas une seconde sans que j’y songe… De nous deux, je suis le seul qui soit compatible, tu ferais la même chose.
Clara reprit, désemparé, presque en criant :
- Il y a forcément une autre possibilité ! Une solution alternative qui ne me laissera pas veuve ! Ne sois pas égoïste, il vivra sans son père tu t’en rends compte ?!
Stéphane répond d’un ton calme, presque étrange, il semble résigné :
- Au moins, il vivra. L’amour d’une mère comme toi lui suffira. Ce qui est sûr, c’est qu’il doit vivre. Il a 15 ans, j’en ai 40, il est mon fils et je l’aime plus que tout au monde. Le voir ainsi, sur son lit d'hôpital me fait plus souffrir que ce que la mort pourrait m’infliger. Il fit une pause, et dit J’ai fait mon choix, mon amour, promets-moi une chose : veille sur notre enfant.”
Ils s’enlacèrent alors, plus fort que jamais, l’une en pleurant, et l’autre en fermant les yeux.
Après de longs sanglots, Stéphane dit lourdement :
“Essaie de me comprendre… Voilà maintenant 6 mois qu’il est ici.. Je ne peux plus le supporter. J’y pense tous les jours, il ne se passe pas une seconde sans que j’y songe… De nous deux, je suis le seul qui soit compatible, tu ferais la même chose.
Clara reprit, désemparé, presque en criant :
- Il y a forcément une autre possibilité ! Une solution alternative qui ne me laissera pas veuve ! Ne sois pas égoïste, il vivra sans son père tu t’en rends compte ?!
Stéphane répond d’un ton calme, presque étrange, il semble résigné :
- Au moins, il vivra. L’amour d’une mère comme toi lui suffira. Ce qui est sûr, c’est qu’il doit vivre. Il a 15 ans, j’en ai 40, il est mon fils et je l’aime plus que tout au monde. Le voir ainsi, sur son lit d'hôpital me fait plus souffrir que ce que la mort pourrait m’infliger. Il fit une pause, et dit J’ai fait mon choix, mon amour, promets-moi une chose : veille sur notre enfant.”
Ils s’enlacèrent alors, plus fort que jamais, l’une en pleurant, et l’autre en fermant les yeux.