J'aime bien écrire des histoires courtes et illogique...
titre: l'éléphant.
◇Un jour, c'était la nuit. Un jeune viellard assis sur un banc de pierre en bois ,lisais son journal ,bien au chaud, plié en quatre dans sa poche.
A la lueur de sa bougie éteinte, il achevé déjà sa lecture...le vent soufflant sur la flamme rendait l'ouvrage bien compliqué...sa tête l'élancé.
Son repas fini, sa bouche pateuse s'emplit d'une douceur aigre, il respira l'air de cette aurore nocturne.
La soirée ne fesait que s'achever,
pensa-t-il...
TOUT A COUP
surgit d'une étroite ruelle ,
Un ÉLÉPHANT
...
celui-ci sauta le mûré et vint brouter illégalement les feuilles d'un poto-télégraphique, semant un vacarme inaudible et infernal sur son passage.
des quatre coins du parc vide, hurlait a plein poumons la population terrifiée...
la situation était d'une gravité extrême.
Repus, l'éléphant s'allongea et se mit a siffloter.
Ce-fut trop pour le paisible homme qui repliai son journal, fou de rage, et aussi brûlant que l'océan glacial artique,
il sorti son SABRE, et d'un lent coup de FUSIL, lui creva la peau du ventre en pleine figure◇
L'éléphant mouru sur le coup, de multiples et horribles spasmes samblant interminables....
Il eu la faiblesse de laissait s'échapper ces derniers volontés, celle-ci:
[ mmh...Argh ! Faite que le prix de l'éssence baisse, s'il vous plaît, pour honorer la parole d'un survivant ayant perdu la vie..
faite-le..]
Sa trompe sifflota ,une dernière fois.
L'homme s'agenouillia, regardant le corps inerte de toute sa hauteur, il hurla d'abord de souffrance puis de regret, il tremblait d'émotion, son corps emplit de la plus pur des joie, un bonheur incontrôlable qui le pourfandais...
L'homme se jura de tenir la promesse du défunt ,Il reséra sa tunique de lin, et partie chercher son char à bœufs..
Avant toute chose il lui faudrait comprendre ce que signifié le mot: "essence"...
Il demanderai à son grand cousin Platon,
Lui qui semblait tout connaître, il pourra sûrement l'aider....
Fin.
titre: l'éléphant.
◇Un jour, c'était la nuit. Un jeune viellard assis sur un banc de pierre en bois ,lisais son journal ,bien au chaud, plié en quatre dans sa poche.
A la lueur de sa bougie éteinte, il achevé déjà sa lecture...le vent soufflant sur la flamme rendait l'ouvrage bien compliqué...sa tête l'élancé.
Son repas fini, sa bouche pateuse s'emplit d'une douceur aigre, il respira l'air de cette aurore nocturne.
La soirée ne fesait que s'achever,
pensa-t-il...


surgit d'une étroite ruelle ,
Un ÉLÉPHANT

celui-ci sauta le mûré et vint brouter illégalement les feuilles d'un poto-télégraphique, semant un vacarme inaudible et infernal sur son passage.
des quatre coins du parc vide, hurlait a plein poumons la population terrifiée...
la situation était d'une gravité extrême.
Repus, l'éléphant s'allongea et se mit a siffloter.
Ce-fut trop pour le paisible homme qui repliai son journal, fou de rage, et aussi brûlant que l'océan glacial artique,
il sorti son SABRE, et d'un lent coup de FUSIL, lui creva la peau du ventre en pleine figure◇
L'éléphant mouru sur le coup, de multiples et horribles spasmes samblant interminables....
Il eu la faiblesse de laissait s'échapper ces derniers volontés, celle-ci:
[ mmh...Argh ! Faite que le prix de l'éssence baisse, s'il vous plaît, pour honorer la parole d'un survivant ayant perdu la vie..
faite-le..]
Sa trompe sifflota ,une dernière fois.
L'homme s'agenouillia, regardant le corps inerte de toute sa hauteur, il hurla d'abord de souffrance puis de regret, il tremblait d'émotion, son corps emplit de la plus pur des joie, un bonheur incontrôlable qui le pourfandais...
L'homme se jura de tenir la promesse du défunt ,Il reséra sa tunique de lin, et partie chercher son char à bœufs..
Avant toute chose il lui faudrait comprendre ce que signifié le mot: "essence"...
Il demanderai à son grand cousin Platon,
Lui qui semblait tout connaître, il pourra sûrement l'aider....
Fin.