Qu'est-ce qui sépare les moments de solitude de plénitude et ceux de mal-être.
Ceux qui réchauffent le cœur et où l'on a l'impression de se retrouver. Et ceux où tout est bon pour combler le manque. Le manque de quoi ? Occuper le vide de bruit, occuper le vide de soi.
Comment les loisirs selon les circonstances peuvent être à la fois, expression de bien-être et à la fois expression de mal-être.
Lire, écouter, regarder, se renseigner, réfléchir. Pour exister. Et pour s'oublier.
Qu'est-ce qui pousse à toujours être dans les extrêmes aussi.
Soit se faire du bien, tout le temps. Soit se faire du mal, tout le temps.
Ou peut-être que ça revient au même. Se faire du mal, tout le temps.
J'aimerais ces nuits de plénitude. J'aimerais me retrouver.
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Ca me surprends toujours d'être englouti par l'énergie qui m'entoure. Stresse et je stresserai. Cris et mon ventre se nouera.
Je regrette d'avoir besoin de solitude physique.
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Et comment faites vous pour ne pas avoir l'impression de déranger ?
Ya toujours cette peur en fond, qui me crispe.
Pas faire de bruits. Pas sortir de l'ordinaire. Pas me faire remarquer.