Il regarde du porno

28 Août 2024
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Si tu lis bien le début du topic elle explique comment elle a vue ça.
Je sais mais c'est juste que c'est des choses privées qu'il a peut-être pas envie que sa fille sache donc juste ok elle a vu qu'il a regardé et voilà ça s'arrête là, on passe à autre chose, qu'il continue ou pas, qu'il le fasse régulièrement ou pas, c'est sa vie
 

Le_gars

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7 Avr 2024
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Je sais mais c'est juste que c'est des choses privées qu'il a peut-être pas envie que sa fille sache donc juste ok elle a vu qu'il a regardé et voilà ça s'arrête là, on passe à autre chose, qu'il continue ou pas, qu'il le fasse régulièrement ou pas, c'est sa vie
C'est sur qu'il ne voulait pas que ça se sache, c'est limpide même, et même si elle ne l'a pas fait exprès maintenant elle le sait et il n'y a pas de retour en arrière possible
 
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claclou_

Sage
Auteur du topic
30 Déc 2024
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Je sais mais c'est juste que c'est des choses privées qu'il a peut-être pas envie que sa fille sache donc juste ok elle a vu qu'il a regardé et voilà ça s'arrête là, on passe à autre chose, qu'il continue ou pas, qu'il le fasse régulièrement ou pas, c'est sa vie
Mais c'est surtout que je m'inquiète, peut-être qu'il ne va pas bien ?
 

Calixte

Sage
1 Mar 2024
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Excuse-moi d'avoir un minimum d'humanité, de me sentir un minimum responsable.
oui bah excuse moi d'essayer de t'éviter de prendre un rôle que tu ne devrais pas prendre. Pour avoir joué ce rôle pendant très longtemps, je te le dis, tu n'as pas à être la psy de ton parent
 
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claclou_

Sage
Auteur du topic
30 Déc 2024
995
913
oui bah excuse moi d'essayer de t'éviter de prendre un rôle que tu ne devrais pas prendre. Pour avoir joué ce rôle pendant très longtemps, je te le dis, tu n'as pas à être la psy de ton parent
Mon rôle est déjà pris :) pas par obligation, mais par mon choix. Mais merci quand même
 
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ROSE15

Sage
23 Sept 2024
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C'est très bien qu'il soit en bonne santé sexuelle, tant mieux pour lui.

La masturbation est une activité tout à fait normale. Elle n'a rien de malsain et ce n'est pas une addiction ni un problème, sauf comportement manifestement excessif.

La culpabilité fait des dégâts, pas la masturbation.

Il est tout à fait courant et normal qu'une personne en couple se masturbe. Ce ne pose pas de problèmes particuliers. Le plaisir procuré par la masturbation et le plaisir procuré par des relations sexuelle sont assez différents.

Il est tout à fait normal d'avoir des univers fantasmatique en dehors de son partenaire... aucune raison de ne rêver qu'à lui, de n'éprouver de désir que pour son corps.

Il faut respecter l'intimité de chacun, même des membres de sa famille. Ils font ce qu'il veulent sur leur ordinateur, ce qu'ils veulent dans leur chambre.

La seule chose anormale serait de juger des comportements sains et normaux.
 
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Etoile

Grand Sage
Plus bavard du mois
30 Oct 2024
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Excuse moi mais je pense que c'est normal...
 
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Morwën

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Membre du personnel
10 Déc 2020
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Par pitié, faites la différence entre regarder du porno et se masturber. Vous passez complètement à côté de la discussion quand la question initiale est sur la consommation de pornographie et pas la masturbation.

La masturbation n'est pas un signe d'insatisfaction sexuelle ou un bon prédicteur d'insatisfaction relationnelle, contrairement à la consommation de pornographie. Oui, on a raison de se poser des questions sur pourquoi on consomme de la pornographie et les effets que ça peut avoir, parce que les études font des liens avec des effets négatifs (que j'ai précédemment cité). Et oui, la question de pourquoi quelqu'un en consomme alors qu'il est en couple, est une question légitime.

Ceci étant dit, c'est ton père, et tu as le droit de t'inquiéter, mais c'est sa vie privée. C'est quelque chose qui ne regarde que lui. Je ne pense pas que tu aimerais que quelqu'un de ta famille t'en parle ou s'inquiète pour toi, surtout un membre de ta famille que tu as sous ton aile et qui n'est pas responsable de toi.

La masturbation est normale. La consommation de pornographie est un facteur inquiétant non négligeable.
Pas besoin de rendre le truc honteux pour autant, ça n'aide pas. Il faut prendre la consommation de pornographie pour ce que c'est et rien d'autre.
 
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Sissou

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14 Sept 2024
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Mon rôle est déjà pris :) pas par obligation, mais par mon choix. Mais merci quand même
Désolé mais évite de te meler des histoires des adultes qui ne te regardes pas. Dont ça.

Tu n'as pas à t'occuper de la vie sexuelle de ton père! Il fait ce qu'il veut.

S'il avait envi de t'en parler, il le ferait mais ça, c'est perso. Imagine: plus tard, t'as un copains et ton père se mele de votre couple, ça ne te plairait absolument pas.

Alors, te meles pas de leur couple car, sans le vouloir, tu peux le briser. Je vois pas le mal. C'est sa vie et meme s'il le cachait à sa femme, il ne l'a trompe pas.

Et si ça se trouve, sa femme sait...

Tout ça pour te dire: moi, mes parents ils me disent nombreuses choses sans cacher ex: si en ce moment on a moins d'argent, ils vont le dire...parce qu'ils savent qu'on va pas en faire toout un plat mais de leur vie sexuelle, non. Autant ma mère quand je lui poses des questions, elle réponds mais ils ont le droit d'avoir leur vie et un peu d'intimité. N'oublions pas, c'est ta maisoon mais principalement l'ordi sur lequel t'as vu ça: c'est ton père qui l'a payer, il fait donc ce qu'il veut avec.^^
 
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Siana

Apprenti(e)
22 Juil 2024
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82
La science commence à révéler les conséquences neurologiques de l'addiction aux films porno. Elles sont carrément destructrices et vont jusqu'à modifier nos comportements.
Les scènes pornographiques, comme les substances qui créent une dépendance, sont des déclencheurs hyperstimulants qui entraînent des niveaux anormalement élevés de sécrétion de dopamine. Cela peut endommager le système de récompense de la dopamine et le rendre insensible aux sources naturelles de plaisir. C'est pourquoi les consommateurs sont de moins en moins excités par un partenaire réel.

La désensibilisation de nos circuits de récompense prépare le terrain pour que les dysfonctionnements sexuels se développent, mais les répercussions ne s'arrêtent pas là. Des études montrent que des changements dans la transmission de la dopamine peuvent entraîner la dépression et l'anxiété. En accord avec cette observation, les consommateurs de pornographie signalent des symptômes dépressifs plus forts, une moins bonne qualité de vie et une moins bonne santé mentale que ceux qui n'en consomment pas, révèle une étude du Journal of Sexual Medecine.
 
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28 Août 2024
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La science commence à révéler les conséquences neurologiques de l'addiction aux films porno. Elles sont carrément destructrices et vont jusqu'à modifier nos comportements.
Les scènes pornographiques, comme les substances qui créent une dépendance, sont des déclencheurs hyperstimulants qui entraînent des niveaux anormalement élevés de sécrétion de dopamine. Cela peut endommager le système de récompense de la dopamine et le rendre insensible aux sources naturelles de plaisir. C'est pourquoi les consommateurs sont de moins en moins excités par un partenaire réel.

La désensibilisation de nos circuits de récompense prépare le terrain pour que les dysfonctionnements sexuels se développent, mais les répercussions ne s'arrêtent pas là. Des études montrent que des changements dans la transmission de la dopamine peuvent entraîner la dépression et l'anxiété. En accord avec cette observation, les consommateurs de pornographie signalent des symptômes dépressifs plus forts, une moins bonne qualité de vie et une moins bonne santé mentale que ceux qui n'en consomment pas, révèle une étude du Journal of Sexual Medecine.
Oui mais n'empêche que ça reste un adulte. C'est comme fumer, c'est mal mais tu ne peux l'empêcher de le faire, il est assez grand pour décider de ses choix. Surtout que fumer c'est un peu extrême, la c'est quand même assez spécial et intime.
 

Sissou

Membre supprimé
14 Sept 2024
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La science commence à révéler les conséquences neurologiques de l'addiction aux films porno. Elles sont carrément destructrices et vont jusqu'à modifier nos comportements.
Les scènes pornographiques, comme les substances qui créent une dépendance, sont des déclencheurs hyperstimulants qui entraînent des niveaux anormalement élevés de sécrétion de dopamine. Cela peut endommager le système de récompense de la dopamine et le rendre insensible aux sources naturelles de plaisir. C'est pourquoi les consommateurs sont de moins en moins excités par un partenaire réel.

La désensibilisation de nos circuits de récompense prépare le terrain pour que les dysfonctionnements sexuels se développent, mais les répercussions ne s'arrêtent pas là. Des études montrent que des changements dans la transmission de la dopamine peuvent entraîner la dépression et l'anxiété. En accord avec cette observation, les consommateurs de pornographie signalent des symptômes dépressifs plus forts, une moins bonne qualité de vie et une moins bonne santé mentale que ceux qui n'en consomment pas, révèle une étude du Journal of Sexual Medecine.

Le porno, personne n'en est mort à ce que je sache, alors arrêtons de nous poser des questions là où il n'y en a pas 🤷‍♂️. Laissons les adultes faire ce qu'ils veulent ! Dans ce cas, tout pourrait être considéré comme mauvais dans la vie : le chocolat (le faux) 🍫… et pourtant, on en mange (même si, comme par hasard, quelqu'un va me dire : "J'aime pas le chocolat !" 🙄).

Bref, vous avez compris ! Le porno n'a jamais tué personne.

Il faut arrêter de dire que ceci ou cela est dangereux dans la vie. Dans ce cas, se laver serait dangereux (risque de chute 🚿), descendre des marches aussi, marcher dans la rue encore plus ! Et pourtant, absolument TOUT le monde fait ces choses-là chaque jour 🚶‍♂️.
 
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Morwën

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10 Déc 2020
620
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Quand il s'agit de faire des comparaisons, on pourrait reprendre l'exemple de prendre une douche.
Hors phobie et problème de santé, personne n'est malheureux en prenant une douche, la personne qui prend une douche et ses proches ne sont pas malheureux avant ou après la douche. Ce n'est pas le cas du porno, surtout la consommation de porno chez les hommes.

Cette dernière est corrélée à une insatisfaction dans les couples, chez les deux partenaires, et à un désintérêt et insatisfaction sexuelle des hommes pour leur partenaire. Si la consommation de porno n'en est pas la cause, elle est en tout cas un bon indicateur de la satisfaction dans les relations, et de la souffrance qu'il peut y avoir dedans.

Comparons ce qui est comparable, sans aller dans l'absurde. Tout est risqué dans la vie, mais la consommation de porno n'est pas discutée parce que dangereuse mais parce qu'indicateur de bonheur. Comme le fait de prendre des douches, est un indicateur de bonne santé mentale et d'une bonne hygiène de vie, la consommation de porno n'en est pas un.

J'aimerais rajouter que la consommation de porno, si elle est faite en couple, peut avoir des effets positifs sur la relation. Et la consommation de porno individuelle chez les hommes en couple, n'a pas nécessairement des effets négatifs. Ca dépend de bien trop de facteurs pour pouvoir déduire de la santé d'une relation et d'une personne.
Arrêtons de répandre des faussetés évidentes qui ne font qu'inquiéter les autres (regarder du porno =/= prendre une douche ou descendre des escaliers).

Comparer la consommation d'alcool à la consommation de porno serait plus judicieuse. Un verre ou dix verres, à quelle fréquence ? Seul ou accompagné ? Avec qui exactement ? Consommation cachée ou assumée ? Consommation dont on a honte ou pour laquelle les autres nous font sentir honteux ? Etc, etc.

Ici, l'inquiétude principale, c'est que ce n'est pas aux enfants de se mêler de la vie de leurs parents. Ca ne les regarde pas. Les enfants ne peuvent pas non plus déduire de la santé mentale ou relationnelle de leurs parents avec des connaissances limitées, ce n'est pas leur rôle en plus. L'historique n'appartient qu'à celui qui l'a et ce n'est à personne d'autre d'en discuter.
 
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Sissou

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14 Sept 2024
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880
Si on rentre dans les détails, se laver excessivement avec du savon antibactérien peut être nocif pour la peau, provoquant des irritations (j'ai d'ailleurs étudié cela en SVT 🧼✨).

Et non, on ne peut absolument pas comparer l'alcool et le porno. L'alcool, lorsqu'il est consommé en excès, peut être dangereux non seulement pour soi, mais aussi pour les autres. Le porno, lui, ne cause pas d'accidents.

Bien sûr, chacun est libre de faire ce qu'il veut, et je pense que le porno classique (et non pas les contenus extrêmes) n'est pas fondamentalement dangereux.

Et puis… les amis, il serait peut-être temps d'apprendre à respecter la vie privée des autres, à commencer par celle de vos parents. 😉💕
 
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Le_gars

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7 Avr 2024
4,863
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Bien sûr, chacun est libre de faire ce qu'il veut, et je pense que le porno classique (et non pas les contenus extrêmes) n'est pas fondamentalement dangereux.
Je t'assure que si x)
Tu ne trouveras nul part l'information comme quoi ce n'est pas nocif.
 
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Morwën

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10 Déc 2020
620
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Et non, on ne peut absolument pas comparer l'alcool et le porno. L'alcool, lorsqu'il est consommé en excès, peut être dangereux non seulement pour soi, mais aussi pour les autres. Le porno, lui, ne cause pas d'accidents.
Ce n'est pas la dangerosité qui est comparée, comme je l'ai précisé dans mon message précédent.

On parle d'évaluations d'impacts négatifs/positifs sur plusieurs aspects de la vie, par rapport au fait qu'on compare deux produits de consommation plus ou moins nocifs selon la façon de les consommer et le contexte de consommation.

Les produits en soi ne sont pas mauvais, c'est la façon de les consommer (déterminée par d'autres choses) qui en détermine en grande partie les impacts sur le consommateur.

Un petit verre de whisky lors d'une occasion avec des amis n'est pas la même chose qu'un besoin d'alcool fréquent, avec besoin d'en cacher les quantités et la fréquence à son entourage.

Les comparaisons servent à pointer du doigt des aspects importants et parfois négligés en les mettant en rapport à des objets comparables sur les mêmes aspects. Les comparaisons ne sont pas des exercices de style où tout doit parfaitement correspondre, alors ne chipotons pas encore sur les aspects qui diffèrent si ce n'est pour amener des points intéressants qui n'ont pas encore été discutés et qui permettraient de remettre en perspective certaines choses.