Cette fille tombe, chute, s’effondre, elle meurs à petit feu.
Après être allée au jardin associatif elle pris le chemin du bus qui allait la ramener à la maison mais, elle croisa le chemin du marché du matin celui qui lui à fait marcher un kilomètre supplémentaire car celui-ci barre les deux arrêts du bus les plus proches.
Elle sorta ses sous, quatre euros, quelques centimes, et cinq centimes de franc. Elle avais déjà en tête ce qu'elle allait acheter.
Elle traverse de moitié ce marché puis croisa son vendeur, un homme, âgé une cinquantaine d'années. puis elle saisissa un petit couteau avec un manche en bois trop court, puis un autre plus long, elle testa le tranchant de ce couteau en passant son pousse dessus, bien affuté puis le reposa. Elle regarda le prix : cinq euro l'unité, elle se disa "putain quelques centimes", puis le vendeur lui adressa la parole : "Bonjour", "bonjour, je vais vous prendre ce couteau", elle compta une dernière fois ses sous mais le vendeur l'interrompa "c'est bon donne" elle lui donna tout son argent restant puis il pris le couteau pour l'affuter avec un fusil et l'embaler dans un papier journal déchiré devant elle "merci, bonne journée, au revoir" elle parta.
Arrivé à l'arrêt de bus elle déballa son couteau puis l'observa
Le bus arriva et la déposa devant le parc de sa ville, le parc des cedres.
Après être allée au jardin associatif elle pris le chemin du bus qui allait la ramener à la maison mais, elle croisa le chemin du marché du matin celui qui lui à fait marcher un kilomètre supplémentaire car celui-ci barre les deux arrêts du bus les plus proches.
Elle sorta ses sous, quatre euros, quelques centimes, et cinq centimes de franc. Elle avais déjà en tête ce qu'elle allait acheter.
Elle traverse de moitié ce marché puis croisa son vendeur, un homme, âgé une cinquantaine d'années. puis elle saisissa un petit couteau avec un manche en bois trop court, puis un autre plus long, elle testa le tranchant de ce couteau en passant son pousse dessus, bien affuté puis le reposa. Elle regarda le prix : cinq euro l'unité, elle se disa "putain quelques centimes", puis le vendeur lui adressa la parole : "Bonjour", "bonjour, je vais vous prendre ce couteau", elle compta une dernière fois ses sous mais le vendeur l'interrompa "c'est bon donne" elle lui donna tout son argent restant puis il pris le couteau pour l'affuter avec un fusil et l'embaler dans un papier journal déchiré devant elle "merci, bonne journée, au revoir" elle parta.
Arrivé à l'arrêt de bus elle déballa son couteau puis l'observa
sachant déjà oú et comment l'utiliser.
Arrivé chez elle, elle le pris puis se trancha lentement la peau puis observa le sang couler