Je viens de décider que j'inventais un style d'écriture : l'apocalypse core. AC pour les intime. Le but est de décrire des choses grandioses satisfaisantes et épique. Dans une exagération libératrice. Avec une idée forte de puissance. Par exemple :
Je serai curieux de voir ce que vous pourriez écrire. N'hésitez pas à exagérer du moment que c'est libérateur pour vous. En écrivant ça j'écoutaisla musique suivante. Si vous pouvez mettre une musique pendant que vous écrivez, et la poster avec ce serait pépite !
Pulsar, des ondes sifflantes ravagaient tout sur leur passage. Le sol comme labourré par des centaines de crocs titanesques, les rochers brisés s'élevaient dans les airs et venaient fouetter oiseaux et avions dans leur sillage. La rage en surface s'enracinait profondément. Enfouis à des kilomètres sous terre dans leur cerceuil de roche sédimentaires, réveillés par le grondement sourds, T'Rex, Torvosaurus et Spinosaurus frissonaient d'horreur.
Dans ce maelstrom, un épicentre. Personne n'aurait pu s'en approcher. Mais lui se tenait là. La situation était presque risible. Ridicule. Absurde. Comment un humain pouvait exister à cet endroit ? Toute vie avait cessé autour de lui dès l'instant où il avait fait péter ses limiteurs. Ses yeux clos, il s'élevait lentement dans les airs. Absurde. Un sourire déformé par des larmes. Il continuait son ascension. Son coeur distordu par la douleur, plus rien n'avait de sens. Onde de choque sur onde de choque, il avait d'abord tout rasé 5 kilomètres à la ronde. Puis pris d'un élan de folie il s'était mis à danser dans les airs. Dans une valse macabre. Alors la tendance avait changée. Et il siphona les nuages, la poussières et les rochers. Tout tournait autour de lui. Et lui était tout et un à la fois. Son esprit s'était évanoui. Sa raison avait laissé place à une plénitude désastreuse. Il s'amusait à réinitialiser le monde.
Le monde. Ses habitants, gagnés par la peur étaient immobiles. Bien sûr cela était retransmis sur toutes les chaines, sur tout les réseaux. Certains avaient d'abord cru à un attentat, mais la destruction était vorace, et les gens pensèrent rapidement : "Ils l'ont fait. Ils l'ont fait ces cons. Ils ont fait péter leur maudites bombes". Mais quand les ravages s'étendirent encore au dela de 50km, l'effroie fut général. Jusqu'ou allait on déplorer des dommages ? Quand le pays fut rayé de la carte, que les centrals nucleaires absorbées dans la mélée ajoutaient au tumulte, les nations même éloignées connurent un désespoir bien plus grand.
Lui au centre de tout, riait. Il riait fort, il riait à en perdre le souffle. Il riait encore et encore jusqu'à l'épuisement. Et enfin, il se calmat. C'est là qu'il entama la phase 2. Il chantonat. Tout les habitants du monde entendirent cet hymne. Sa voix résonnat dans les esprits. C'était un chant étrangement doux. Et par celui ci, tout le monde le connus avant de trépasser. Il était l'émissaire de la fin du monde. Un triste clown brisé. L'amour avait encore frappé...
Dans ce maelstrom, un épicentre. Personne n'aurait pu s'en approcher. Mais lui se tenait là. La situation était presque risible. Ridicule. Absurde. Comment un humain pouvait exister à cet endroit ? Toute vie avait cessé autour de lui dès l'instant où il avait fait péter ses limiteurs. Ses yeux clos, il s'élevait lentement dans les airs. Absurde. Un sourire déformé par des larmes. Il continuait son ascension. Son coeur distordu par la douleur, plus rien n'avait de sens. Onde de choque sur onde de choque, il avait d'abord tout rasé 5 kilomètres à la ronde. Puis pris d'un élan de folie il s'était mis à danser dans les airs. Dans une valse macabre. Alors la tendance avait changée. Et il siphona les nuages, la poussières et les rochers. Tout tournait autour de lui. Et lui était tout et un à la fois. Son esprit s'était évanoui. Sa raison avait laissé place à une plénitude désastreuse. Il s'amusait à réinitialiser le monde.
Le monde. Ses habitants, gagnés par la peur étaient immobiles. Bien sûr cela était retransmis sur toutes les chaines, sur tout les réseaux. Certains avaient d'abord cru à un attentat, mais la destruction était vorace, et les gens pensèrent rapidement : "Ils l'ont fait. Ils l'ont fait ces cons. Ils ont fait péter leur maudites bombes". Mais quand les ravages s'étendirent encore au dela de 50km, l'effroie fut général. Jusqu'ou allait on déplorer des dommages ? Quand le pays fut rayé de la carte, que les centrals nucleaires absorbées dans la mélée ajoutaient au tumulte, les nations même éloignées connurent un désespoir bien plus grand.
Lui au centre de tout, riait. Il riait fort, il riait à en perdre le souffle. Il riait encore et encore jusqu'à l'épuisement. Et enfin, il se calmat. C'est là qu'il entama la phase 2. Il chantonat. Tout les habitants du monde entendirent cet hymne. Sa voix résonnat dans les esprits. C'était un chant étrangement doux. Et par celui ci, tout le monde le connus avant de trépasser. Il était l'émissaire de la fin du monde. Un triste clown brisé. L'amour avait encore frappé...
Je serai curieux de voir ce que vous pourriez écrire. N'hésitez pas à exagérer du moment que c'est libérateur pour vous. En écrivant ça j'écoutaisla musique suivante. Si vous pouvez mettre une musique pendant que vous écrivez, et la poster avec ce serait pépite !