Tandis que les minutes sont des heures, mon cœur est vide et mon âme translucide prête à accueillir la mort.
J'ignore ce sentiment a l'ait chantant, mais je ne danse pas, je ne chante pas, mon élan est projeté avec violence dans un monde annihilé par une soif de vengeance .
Je me remets en question quant à mes motivations, dois - je traverser le mur du son pour pouvoir faire entendre ma voix ?
Une voix entachée, brisée, entravée, et ravagée par une incompréhension grandissante et pourtant si ardente. Je sens ce souffle chaud sur ma peau, cette poussière si incandescente. J'ai l'impression de brûler de l'intérieur, bientôt ma conscience s'élèvera bien au dessus de mon corps, le regardera, et lui sourira. Le sort sera lancé j'irais le rejoindre dans une mort certaine, pour petit à petit atténuer ma haine. Ais - je dissiper ma haine ?
je l'ignore encore quelle ironie du sort, mais il n'en est pas de même pour le royaume des morts. Je commence à prendre conscience de la durée d'un jour. D'ailleurs, ils me paraissent une éternité mais une éternité qui m'est comptée; J'entends encore leurs tambours sonner les heures; et leurs délicats bruissements d'ailes, froisser les années. Ils essayent de s'envoler; s'évader pour oublier la misère et la guerre.
Dans l'ère si charnière qu'est ma vie, je suis sur un fil invisible; une ligne imaginaire qui se rétrécit constamment, de jour en jour.
J'appelle cela la destinée, la fragilité, une certaine fatalité; Je Sais que mon heure est proche, à l'heure où retentissent les cloches.
Je viens de louper le coche; Mon hochement de tête me laisse à le présumer.
Dans un vacarme ahurissant, bruyant, agité, je fais tout pour ne pas me noyer; essayant de garder mes idées dans une eau déjà tellement surmenée.
Est - ce la fin ? ; La continuité de quelque chose qui ne fais que commencer ? ; A ce stade je ne peux que l'ignorer, ce que je sais c'est que tout est éphémère et que rient ne peut ilassablement durer.
J'ignore ce sentiment a l'ait chantant, mais je ne danse pas, je ne chante pas, mon élan est projeté avec violence dans un monde annihilé par une soif de vengeance .
Je me remets en question quant à mes motivations, dois - je traverser le mur du son pour pouvoir faire entendre ma voix ?
Une voix entachée, brisée, entravée, et ravagée par une incompréhension grandissante et pourtant si ardente. Je sens ce souffle chaud sur ma peau, cette poussière si incandescente. J'ai l'impression de brûler de l'intérieur, bientôt ma conscience s'élèvera bien au dessus de mon corps, le regardera, et lui sourira. Le sort sera lancé j'irais le rejoindre dans une mort certaine, pour petit à petit atténuer ma haine. Ais - je dissiper ma haine ?
je l'ignore encore quelle ironie du sort, mais il n'en est pas de même pour le royaume des morts. Je commence à prendre conscience de la durée d'un jour. D'ailleurs, ils me paraissent une éternité mais une éternité qui m'est comptée; J'entends encore leurs tambours sonner les heures; et leurs délicats bruissements d'ailes, froisser les années. Ils essayent de s'envoler; s'évader pour oublier la misère et la guerre.
Dans l'ère si charnière qu'est ma vie, je suis sur un fil invisible; une ligne imaginaire qui se rétrécit constamment, de jour en jour.
J'appelle cela la destinée, la fragilité, une certaine fatalité; Je Sais que mon heure est proche, à l'heure où retentissent les cloches.
Je viens de louper le coche; Mon hochement de tête me laisse à le présumer.
Dans un vacarme ahurissant, bruyant, agité, je fais tout pour ne pas me noyer; essayant de garder mes idées dans une eau déjà tellement surmenée.
Est - ce la fin ? ; La continuité de quelque chose qui ne fais que commencer ? ; A ce stade je ne peux que l'ignorer, ce que je sais c'est que tout est éphémère et que rient ne peut ilassablement durer.
