Salut, voilà enfaite j'aimerais être en couple, mais quand je vais sur des sites de rencontres et que je parle avec des garçons à distance et bien j'ai cette impression d'étouffer. Même si le garçon est gentil et sympa, j'ai l'impression que tout va trop vite, que puisque je parle avec lui ce n'est pas naturelle, que je dois forcément sortir avec lui. Ça m'occupe l'esprit toute la journée, j'ai l'impression que je dois impérativement répondre positivement face aux garçons dont je parle, comme si j'étais coincée avec lui et c'est comme ça à chaque fois. Je me demandais si vous aviez déjà ressenti ça vous aussi ?
Sur un site de rencontre, il faut trouver le bon équilibre.
- Les gens ne viennent pas là pour apprendre la cuisine, donc évidemment ils espère que ça puisse donner quelque chose. Si tu te pointes en disant que, dans six mois peut-être il pourrait se passer un truc, tu vas décourager les garçons, ou leur donner l'impression que tu ne sais pas ce que tu veux et que tu les mènes en bateau.
- A l'inverse ce n'est pas parce que tu discutes avec un garçon que vous devez conclure le lendemain ou que tu es engagée. Il n'y a rien de choquant à discuter une semaine, deux semaines, à rencontrer ensuite seulement, à attendre une paire de rencontres avant d'envisager un baiser... Ou bien à constater que ça ne le fait pas et à arrêter là ou à proposer une amitié (pourquoi pas).
Le tout c'est d'être assez clair sur ta démarche : tu cherches une relation plutôt sérieuse (si j'ai bien compris), tu n'es pas pressée, tu as besoin de temps pour découvrir l'autre... explique tout cela et la plupart des garçons biens comprendront et seront suffisamment patients.
De ton côté, tu dois considérer comme un prospect ou un simple contact le garçon avec qui tu commences à discuter. Pas plus. Comme quelqu'un avec tu papoterais IRL. Avec dans l'idée que dix prospects = une relation un peu poussée, par exemple.
Dernier conseil : privilégie les gens qui habitent près de chez toi, les relations à distance c'est très compliqué à long terme.
