Bonjour,
Que faire ?
Je suis en plein désarroi. Je suis en échec scolaire et aime cela. Cela est pour moi une vraie fierté car cette échec me permettra d’en venir à mes fins. Je suis en affliction profonde car je fais souffrir ma mère de cette situation (si bien que je tente de lui cacher aussi bien que je le peux). Je fais pleurer ma mère de part ma médiocrité à ses yeux. Elle m’aime passionnément et je l’aime autant. Parfois, il m’arrive de pleurer dans mon lit lorsqu’elle est au travail, loin de moi, en ayant peur qu’elle trépasse là-bas...Alors je prends un de ses vêtements en l’étreignant contre moi afin de sentir son odeur mêlé à l’odeur de ses parfums...J’ai l’air d’être heureuse. Ah que d’apparence ! Elle ne sait pas ce que je pense de mon existence, de l’Existence. Elle n’a aucunement conscience des raisons me poussant à être en échec scolaire, de décider cela. Je lui dis que cela est par pure fainéantise mais ah ! Que de mensonge ! Je ne veux tout simplement pas poursuivre ma scolarité normalement car pourquoi me forcer ? Je n’en ai cure de ma brève existence, je vis tel un animal, sans but. Et je le resterai certainement. Et puis, si je n’arrive pas à me trouver un travail et bien...La corde tout simplement (ou le poison) ! Néanmoins, vivre à l’excrément ne me dérangerais guère. J’aime cela je dirais ! Laissez-moi dans la nature trépasser par manque de nourriture, tant pis ! ...Nul besoin de s’attacher à l’existence, alors je n’en ai cure de ma mort ! (Inutile de débattre sur cela, merci)...Si mes parents me laisserais faire, j’aurais depuis longtemps arrêter l’école mais...Qu’est-ce que j’aurais fait ?? ...Rien. Eh bien oui, rien, je cherches la facilité...Mais je serais bien heureuse qu’ils me jettent dehors, ce sera une bonne raison pour songer plus sérieusement à mon anéantissement.
Mes parents connaissent mon mal-être (je haï ce mot), j’ai vu maintes et maintes psychologues dont une neuropsychologue m’ayant fait passer un test de QI pour savoir si j’étais haut potentiel mais où mes résultats ressortant étaient médiocres (QI qui semblait être faible) mais je n’ai jamais tenu avec eux. Je n’ai pas envie de « me guérir ». Je suis très bien ainsi ! ...Ce qu’ils ne savent pas encore, ce sont mes pensées sous-jacentes, entraînant ce « mal-être ». Ce n’est ni mon hypersensibilité tel qu’ils le pensent, ni même ma potentielle surdouance (car ils continuent à croire bêtement que je suis certainement haut potentiel malgré le test contredisant cela)...Cela résulte seulement de tout un cheminement de pensées...(je ne m’attarderai pas là dessus, je sortirai le roman plus tard )...Je n’ose pas leur dire, oh non, je n’ose à peine imaginer le chagrin épouvantable dont ils vont ressentir en apprenant tout cela.
Je suis dans une impasse épouvantable.
Je me laisse aller là où le vent me mène, c’est-à-dire, nul part, et reste passive, dans l’indifférence consternante...Sans que cela ne me gêne, je n’en ai cure vous dis-je...Néanmoins, mes parents s’affligent dans la profondeur du crépuscule de la nuit froide et humide...Ah, misère, je me meurs de cette situation...Je ne peux supporter voir mes parents se peiner par ma cause...Ah, que diable ! L’Indifférence me saisie de plus belle...
Pendant longtemps j’ai cherché à faire un scandale pour ne pas aller à l’école (éclater en sanglot, me plaindre de crises d’angoisses...), mais maintenant il m’arrive de songer à faire bien pire...De plus, avec ma phobie sociale depuis toute petite, cela n’arrange rien. Je me force sans cesse à paraître aimable avec mes camarades de classe (mes seuls contacts sociaux extérieur ) alors que j’ai juste envie de les envoyer balader...Humains merdiques qu’ils sont, pardonnez-moi de l’injure. Je fonce droit dans le mur mais AH QUE DIABLE. JE FAIS DES CHOSES TELLEMENT PARADOXALES PARFOIS...Je veux rester ainsi mais contribue au mal-être de mes parents !
Que faire ?
Je suis en plein désarroi. Je suis en échec scolaire et aime cela. Cela est pour moi une vraie fierté car cette échec me permettra d’en venir à mes fins. Je suis en affliction profonde car je fais souffrir ma mère de cette situation (si bien que je tente de lui cacher aussi bien que je le peux). Je fais pleurer ma mère de part ma médiocrité à ses yeux. Elle m’aime passionnément et je l’aime autant. Parfois, il m’arrive de pleurer dans mon lit lorsqu’elle est au travail, loin de moi, en ayant peur qu’elle trépasse là-bas...Alors je prends un de ses vêtements en l’étreignant contre moi afin de sentir son odeur mêlé à l’odeur de ses parfums...J’ai l’air d’être heureuse. Ah que d’apparence ! Elle ne sait pas ce que je pense de mon existence, de l’Existence. Elle n’a aucunement conscience des raisons me poussant à être en échec scolaire, de décider cela. Je lui dis que cela est par pure fainéantise mais ah ! Que de mensonge ! Je ne veux tout simplement pas poursuivre ma scolarité normalement car pourquoi me forcer ? Je n’en ai cure de ma brève existence, je vis tel un animal, sans but. Et je le resterai certainement. Et puis, si je n’arrive pas à me trouver un travail et bien...La corde tout simplement (ou le poison) ! Néanmoins, vivre à l’excrément ne me dérangerais guère. J’aime cela je dirais ! Laissez-moi dans la nature trépasser par manque de nourriture, tant pis ! ...Nul besoin de s’attacher à l’existence, alors je n’en ai cure de ma mort ! (Inutile de débattre sur cela, merci)...Si mes parents me laisserais faire, j’aurais depuis longtemps arrêter l’école mais...Qu’est-ce que j’aurais fait ?? ...Rien. Eh bien oui, rien, je cherches la facilité...Mais je serais bien heureuse qu’ils me jettent dehors, ce sera une bonne raison pour songer plus sérieusement à mon anéantissement.
Mes parents connaissent mon mal-être (je haï ce mot), j’ai vu maintes et maintes psychologues dont une neuropsychologue m’ayant fait passer un test de QI pour savoir si j’étais haut potentiel mais où mes résultats ressortant étaient médiocres (QI qui semblait être faible) mais je n’ai jamais tenu avec eux. Je n’ai pas envie de « me guérir ». Je suis très bien ainsi ! ...Ce qu’ils ne savent pas encore, ce sont mes pensées sous-jacentes, entraînant ce « mal-être ». Ce n’est ni mon hypersensibilité tel qu’ils le pensent, ni même ma potentielle surdouance (car ils continuent à croire bêtement que je suis certainement haut potentiel malgré le test contredisant cela)...Cela résulte seulement de tout un cheminement de pensées...(je ne m’attarderai pas là dessus, je sortirai le roman plus tard )...Je n’ose pas leur dire, oh non, je n’ose à peine imaginer le chagrin épouvantable dont ils vont ressentir en apprenant tout cela.
Je suis dans une impasse épouvantable.
Je me laisse aller là où le vent me mène, c’est-à-dire, nul part, et reste passive, dans l’indifférence consternante...Sans que cela ne me gêne, je n’en ai cure vous dis-je...Néanmoins, mes parents s’affligent dans la profondeur du crépuscule de la nuit froide et humide...Ah, misère, je me meurs de cette situation...Je ne peux supporter voir mes parents se peiner par ma cause...Ah, que diable ! L’Indifférence me saisie de plus belle...
Pendant longtemps j’ai cherché à faire un scandale pour ne pas aller à l’école (éclater en sanglot, me plaindre de crises d’angoisses...), mais maintenant il m’arrive de songer à faire bien pire...De plus, avec ma phobie sociale depuis toute petite, cela n’arrange rien. Je me force sans cesse à paraître aimable avec mes camarades de classe (mes seuls contacts sociaux extérieur ) alors que j’ai juste envie de les envoyer balader...Humains merdiques qu’ils sont, pardonnez-moi de l’injure. Je fonce droit dans le mur mais AH QUE DIABLE. JE FAIS DES CHOSES TELLEMENT PARADOXALES PARFOIS...Je veux rester ainsi mais contribue au mal-être de mes parents !