Dans un petit village isolé, Éloïse emménagea dans une vieille maison héritée de sa grand-mère. La bâtisse, bien que délabrée, avait un charme mystérieux, avec ses murs épais, ses poutres en bois et son immense grenier poussiéreux. Mais dès la première nuit, elle entendit des murmures.
Croyant à un courant d’air ou à des rats, elle ignora les sons étranges. Pourtant, les chuchotements revenaient chaque soir, formant des phrases qu'elle ne comprenait pas. Intriguée, Éloïse décida d’enregistrer les bruits pour les analyser. Lorsqu’elle écouta les enregistrements, son sang se glaça : les murmures prononçaient son nom.
Le lendemain, elle chercha l’origine des voix. En fouillant le grenier, elle découvrit un journal appartenant à sa grand-mère. Les dernières pages racontaient des événements troublants : des objets qui se déplaçaient seuls, des cauchemars récurrents et... des disparitions inexpliquées dans le village.
Au fil des jours, Éloïse sentit une présence invisible la suivre. Les murmures se faisaient de plus en plus clairs, presque familiers. Une nuit, elle trouva une trappe dissimulée sous le tapis du salon. Munie d’une lampe torche, elle descendit dans un sous-sol inconnu.
Ce qu’elle vit la pétrifia : les murs étaient couverts de photos d’elle, prises sous différents angles, datant de plusieurs années. Au centre de la pièce, une vieille chaise grinçait doucement, comme si quelqu’un venait de s’y asseoir. Une voix résonna derrière elle :
— "Tu es enfin revenue."
Elle se retourna en sursaut, mais la pièce était vide. Paniquée, elle courut vers l’escalier pour remonter, mais la trappe s’était refermée. Elle tambourina en hurlant. Une main glaciale lui effleura l’épaule, et dans un souffle rauque, la voix ajouta :
— "Tu as pris ma vie... Maintenant, je prends la tienne."
Les murs se resserrèrent autour d’elle, comme pour l’engloutir. Elle perdit connaissance.
Éloïse se réveilla... dans le corps d'une autre femme, assise à une table avec des inconnus qui l’appelaient "Maman". Ses souvenirs s'effaçaient progressivement. Elle ne comprenait plus qui elle était, où elle se trouvait, ni pourquoi ces gens semblaient familiers.
Dans la maison qu’elle venait de quitter, une silhouette assise sur la vieille chaise souriait. La grand-mère d’Éloïse avait enfin trouvé un nouveau corps pour continuer sa vie.
PS: merci chat gpt, tu gères.
Croyant à un courant d’air ou à des rats, elle ignora les sons étranges. Pourtant, les chuchotements revenaient chaque soir, formant des phrases qu'elle ne comprenait pas. Intriguée, Éloïse décida d’enregistrer les bruits pour les analyser. Lorsqu’elle écouta les enregistrements, son sang se glaça : les murmures prononçaient son nom.
Le lendemain, elle chercha l’origine des voix. En fouillant le grenier, elle découvrit un journal appartenant à sa grand-mère. Les dernières pages racontaient des événements troublants : des objets qui se déplaçaient seuls, des cauchemars récurrents et... des disparitions inexpliquées dans le village.
Au fil des jours, Éloïse sentit une présence invisible la suivre. Les murmures se faisaient de plus en plus clairs, presque familiers. Une nuit, elle trouva une trappe dissimulée sous le tapis du salon. Munie d’une lampe torche, elle descendit dans un sous-sol inconnu.
Ce qu’elle vit la pétrifia : les murs étaient couverts de photos d’elle, prises sous différents angles, datant de plusieurs années. Au centre de la pièce, une vieille chaise grinçait doucement, comme si quelqu’un venait de s’y asseoir. Une voix résonna derrière elle :
— "Tu es enfin revenue."
Elle se retourna en sursaut, mais la pièce était vide. Paniquée, elle courut vers l’escalier pour remonter, mais la trappe s’était refermée. Elle tambourina en hurlant. Une main glaciale lui effleura l’épaule, et dans un souffle rauque, la voix ajouta :
— "Tu as pris ma vie... Maintenant, je prends la tienne."
Les murs se resserrèrent autour d’elle, comme pour l’engloutir. Elle perdit connaissance.
Éloïse se réveilla... dans le corps d'une autre femme, assise à une table avec des inconnus qui l’appelaient "Maman". Ses souvenirs s'effaçaient progressivement. Elle ne comprenait plus qui elle était, où elle se trouvait, ni pourquoi ces gens semblaient familiers.
Dans la maison qu’elle venait de quitter, une silhouette assise sur la vieille chaise souriait. La grand-mère d’Éloïse avait enfin trouvé un nouveau corps pour continuer sa vie.
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