Des pavés qui pourraient faire des routes

JusteEtDirect

Sage
Auteur du topic
28 Août 2024
957
1,640
C'est simple, écrivez vos meilleurs pavés sur tout et n'importe quoi
 
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Wade

Vagabond
21 Août 2022
27
24
Des pavés ?
Sur tout et n'importe quoi ?
Vous saviez qu'il fait nuit ? Que dehors c'est flippant ? Que je sortirai pour rien au monde ? Je peux raconter l'histoire de ma maison qui a 300 ans ? Alors.
Déjà elle a fait la révolution française, la première et seconde guerre mondiale. Elle a servit de maison à un général nazis, et on avait des prisonniers de je sais plus où dans la cave qui travaillaient dans les champs (non je ne rigole pas).
Bref. Après c'était une fromagerie, une sorte de moulin à eau et maintenant je vis dedans.
Vous savez que je suis seul ?
Vous savez le nombre d'anecdotes que j'ai à raconter ?
J'entends des bruits de pas à l'étage et il n'y a personne. La nuit mon petit frère de 5 ans nous raconte qu'il voit des gens traverser le couloir en courant. Et une fille joue avec lui dans sa chambre de temps en temps.
La musique de nos lecteurs cd arrêtent pas de se couper tout seuls et une fois, on a eu la connerie de mettre une caméra qui enregistrait des bandes sons. Un soir on la réécoute parce qu'apparemment elle a enregistrée quelque chose quand on était pas là. Vous savez ce qu'on a entendu ? Une femme hurler " Non, Non ! Pas moi.... Pas moi... Pas moi !" pendant 2 minutes.
Voilà.
Peut on considérer ce message comme un pavé ?
Je penses que oui.
Tout ça pour dire que je suis seul chez moi, et que je me balade avec un couteau tellement j'ai peur.
 
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Ezio-le-mec-drôle

Initié(e)
2 Mar 2024
258
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Des pavés ?
Sur tout et n'importe quoi ?
Vous saviez qu'il fait nuit ? Que dehors c'est flippant ? Que je sortirai pour rien au monde ? Je peux raconter l'histoire de ma maison qui a 300 ans ? Alors.
Déjà elle a fait la révolution française, la première et seconde guerre mondiale. Elle a servit de maison à un général nazis, et on avait des prisonniers de je sais plus où dans la cave qui travaillaient dans les champs (non je ne rigole pas).
Bref. Après c'était une fromagerie, une sorte de moulin à eau et maintenant je vis dedans.
Vous savez que je suis seul ?
Vous savez le nombre d'anecdotes que j'ai à raconter ?
J'entends des bruits de pas à l'étage et il n'y a personne. La nuit mon petit frère de 5 ans nous raconte qu'il voit des gens traverser le couloir en courant. Et une fille joue avec lui dans sa chambre de temps en temps.
La musique de nos lecteurs cd arrêtent pas de se couper tout seuls et une fois, on a eu la connerie de mettre une caméra qui enregistrait des bandes sons. Un soir on la réécoute parce qu'apparemment elle a enregistrée quelque chose quand on était pas là. Vous savez ce qu'on a entendu ? Une femme hurler " Non, Non ! Pas moi.... Pas moi... Pas moi !" pendant 2 minutes.
Voilà.
Peut on considérer ce message comme un pavé ?
Je penses que oui.
Tout ça pour dire que je suis seul chez moi, et que je me balade avec un couteau tellement j'ai peur.
Il faudrait songer à déménager là...
 
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Wade

Vagabond
21 Août 2022
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24
Il faudrait songer à déménager là...
Jamais... Malgré tout ça ma maison ya toute ma vie dedans, je la quitterai pour rien au monde. Elle a juste une face cachée un peut... Flippante ?
 
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JusteEtDirect

Sage
Auteur du topic
28 Août 2024
957
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Les fromachads​

Le monde des Fromachads est un univers fascinant où se mêlent passion pour le fromage, philosophie et humour décalé. Ce terme, issu d'une fusion entre "fromage" et "chad" (figure emblématique symbolisant l'excellence et la confiance en soi), désigne une communauté dédiée à l'adoration du fromage sous toutes ses formes. Dans cet univers, le fromage n'est pas simplement un aliment : c'est un art de vivre, une quête existentielle. Les Fromachads sont des esthètes, des gourmets éclairés qui vénèrent des classiques comme le brie, le roquefort ou le comté, tout en explorant des créations modernes ou des spécialités artisanales rares. Le monde des Fromachads possède ses propres codes et rituels : des débats passionnés autour de la question cruciale "Croûte ou pas croûte ?", l'art sacré de composer un plateau parfait ou encore la recherche de l'accord ultime entre fromage et vin. Mais être Fromachad, c'est aussi embrasser une philosophie unique. Certains comparent les fromages à la vie : le camembert, doux et réconfortant, symbolise les instants de sérénité, tandis que le bleu, puissant et intense, évoque les défis et les épreuves qui forgent le caractère. Cependant, ce monde n'est pas sans rivalités : les amateurs de pâtes molles et ceux de pâtes dures s'affrontent parfois, bien que tous s'accordent sur un point essentiel : le fromage est une création divine. Les Fromachads aiment également partager leur passion avec humour, à travers des mèmes et des slogans comme "Fromage, c'est la vie", "Un monde sans fromage, c'est comme un jour sans soleil" ou encore "Pourquoi être un normie quand tu peux être un Fromachad ?". Finalement, le monde des Fromachads dépasse la simple consommation de fromage : c'est un état d'esprit, une célébration de la gastronomie et une ode au plaisir de vivre. Rejoindrez-vous leurs rangs pour succomber, vous aussi, à l’appel irrésistible du fromage ?
 
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Ezio-le-mec-drôle

Initié(e)
2 Mar 2024
258
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Vous voulez un pavé? Bah préparez vous parce que là je vais me livrer à vous. Au delà du fait que je ne suis qu'un échec ambulant, un gars qui a foiré ses études, un gars qui a beau essayer de faire du mieux qu'il peut, un gars qui est seul, entouré mais seul. Pas de vrais potes, personne qui m'appelle, personne qui ne m'envoie de message. Pas de parents, 'fin si ils sont là mais s'en foutent de moi, quand je leur parle je marche sur des oeufs, je ne peux rien leur dire sans sentir le jugement dans leur regard.

Après les gens se demandent, ils se demandent pourquoi c'est le bordel dans ma tête, dans ma vie, dans mes relations avec les autres. Peut-être parce que je suis poursuivi par mon passé, par les conneries que j'ai pu faire et dire, par la solitude, l'ennui et le désespoir. Des fois j'ai l'impression d'être le seul à être lucide sur la vie, que de toute façon c'est foutu, qu'on va tous crever. Que si je crève personne ne s'en souscira.

Détrompez vous, je ne songe point à me tuer. Je souhaite juste pouvoir me reconnecter avec moi même et arrêter d'être le spectateur d'une vie qui ne m'appartient pas.

Je m'appelle Ezio, j'ai 18 ans, et ma vie est un calvaire depuis toujours. Personne pour me dire que "c'est bien", "je suis fier de toi" ou encore "bravo", personne pour essuyer les larmes qui coulent sur mes joues, personne pour me soutenir.

Entouré mais seul serait le résumé de ma vie.. Les gens m'aiment quand je ris et que je fais le pitre, pas quand je me tais et que je baisse les yeux. On me dit souvent "comment tu fais pour avoir une telle confiance en toi?". Peut-être que je n'ai pas de confiance, que tout cela n'est qu'une façade et qu'à chaque fois que j'ouvre ma bouche je me demande si je n'aurais pas mieux fais de la fermer.

Autre info, j'ai un TDA. C'est con mais c'est là. Et ça me bouffe. Je veux pas faire la vierge effarouchée ou le mec qui pleurniche sur son diag. Je veux juste dire que personne, même mes PROPRES PARENTS, n'y ont fait attention. Jusqu'à rescemment je l'ai ignoré, je vivais avec un point c'est tout. Aujourd'hui c'est de plus en plus dur car je me rends compte qu'en faite, ressentir ses émotions x1000, penser à 1266544 de trucs en même temps, ne jamais s'arrêter de parler de peur du vide, toujours se poser des questions existensielles jusqu'à ne plus voir l'utilité de la vie n'est pas normal.

C'est pas normal et ça me bouffe. Littéralement.

Je suis Ezio, j'ai 18 ans et je survis comme je peux
 
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Le_gars

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7 Avr 2024
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Je suis en train de faire le nécessaire pour le moment je suis en train de faire des courses et je vous aime fort fort fort fort fort fort a toi et ta maman et moi je suis en vacances et à bientôt j'espère et je vous souhaite un bon anniversaire à la petite fille de ma famille et à bientôt et bonne journée et à demain bisous a vous de voir le profil de la famille de ma part et d'autre de la vie de tous les jours de vacances en toute sécurité et la santé pour vous deux et je vous aime fort et je te souhaite un bon anniversaire à la petite fille de ma vie à la maison de la maison de ville et de vent de face et du coup on a fait un voc en plus de détails sur les liens que tu vas bien je suis dans le bus je vous aime à la salle de sport et je suis dans le bus pour le moment de la semaine prochaine je suis dispo pour le moment de la pub sur la page mail de confirmation de la pub pour le match de foot de rue de Paris et le retour du coup de main et de vent de face et du coup je ne sais plus si tu as des questions à vous faire part ça va être compliqué de faire des courses pour le nouvel ans et demi finale du coup on a pas vu la situation est très important pour le moment je ne sais plus si tu veux que tu as raison je ne suis pas disponible pour un poste en tant pis pour les fêtes se sont les mêmes conditions que tu as des questions sur le serv de votre réponse et vous souhaite un bon anniversaire et une bonne journée à toi aussi tu me diras si ça te dit de venir à Paris pour la fête des mères de famille de la famille de ma famille qui est en forme pour le nouvel an à la maison de la semaine prochaine je suis dans le bus pour le moment de Noël et de la vie de tous les jours de Noël et de la vie de tous les jours de Noël et de la vie de tous les jours et je suis dans le train de faire le point de départ de Paris et le retour du message pour vous souhaiter une très bonne journée à toi et ta petite famille et de la part de ma part de la vie de tous le monde et à bientôt pour la nouvelle année et je vous souhaite un bon moment pour une prochaine étape est la première étape de notre côté on est dans la vie de famille.
 
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Etoile

Génie
Plus bavard du mois
30 Oct 2024
2,160
2,401
Vous aimez les pavés ? Tout dire dans des textes de plus de mille mots comme si ça pouvait un jour arranger quoi que ce soit ? Eh bien voilà le mien.

Quand on est ado, on nous dit que c'est normal de se sentir mal, que tout change en nous. On fait de nouvelles rencontres, on a de nouveaux sentiments. Souvent, on passe par de mauvaises périodes, des moments où on se déteste, ou tout le monde nous déteste. Et encore une fois, on nous assure que c'est normal. Je ne suis pas de ceux qui se pavane avec un petit ami, des potes et une famille parfaite. Ma vie n'est pas parfaite, je ne suis pas parfaite, personne n'est parfait. Pourtant, certains le pensent. Que je suis parfaite. Après tout je traîne avec des gens incroyables, j'ai de super notes, et ma famille reste normale non ? Non. Tout ça, ce n'est qu'apparence sur apparence. Oh, je ne vais pas vous racontez ma vie dans ce pavé ne vous inquiétez pas. J'aimerais juste vous demander de détacher les apparences de la réalité. Certains sont probablement parfaits à vos yeux. Mais peut être que pour eux, ils ne le sont pas du tout. Peut être qu'ils se détestent, qu'ils se trouvent moches, bêtes, méchants etc. Alors réfléchissez y.

A+
- Étoile ★
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Des pavés ?
Sur tout et n'importe quoi ?
Vous saviez qu'il fait nuit ? Que dehors c'est flippant ? Que je sortirai pour rien au monde ? Je peux raconter l'histoire de ma maison qui a 300 ans ? Alors.
Déjà elle a fait la révolution française, la première et seconde guerre mondiale. Elle a servit de maison à un général nazis, et on avait des prisonniers de je sais plus où dans la cave qui travaillaient dans les champs (non je ne rigole pas).
Bref. Après c'était une fromagerie, une sorte de moulin à eau et maintenant je vis dedans.
Vous savez que je suis seul ?
Vous savez le nombre d'anecdotes que j'ai à raconter ?
J'entends des bruits de pas à l'étage et il n'y a personne. La nuit mon petit frère de 5 ans nous raconte qu'il voit des gens traverser le couloir en courant. Et une fille joue avec lui dans sa chambre de temps en temps.
La musique de nos lecteurs cd arrêtent pas de se couper tout seuls et une fois, on a eu la connerie de mettre une caméra qui enregistrait des bandes sons. Un soir on la réécoute parce qu'apparemment elle a enregistrée quelque chose quand on était pas là. Vous savez ce qu'on a entendu ? Une femme hurler " Non, Non ! Pas moi.... Pas moi... Pas moi !" pendant 2 minutes.
Voilà.
Peut on considérer ce message comme un pavé ?
Je penses que oui.
Tout ça pour dire que je suis seul chez moi, et que je me balade avec un couteau tellement j'ai peur.
Waw mais thabite dans quoi en fait ?! Mon pauvre ça doit être bien flippant.
 
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Le_gars

Star
7 Avr 2024
4,879
3,535
Ce genre de services ne m'intéresse pas personnellement cependant j'aime les nouilles bien cuite au four a cuire de la merde sans couleur ni odeur car c'est mal honnête de forcer les bébé escargot a manger des gros cajot .
 

Etoile

Génie
Plus bavard du mois
30 Oct 2024
2,160
2,401
Ce genre de services ne m'intéresse pas personnellement cependant j'aime les nouilles bien cuite au four a cuire de la merde sans couleur ni odeur car c'est mal honnête de forcer les bébé escargot a manger des gros cajot .
Wtf
 

Le_gars

Star
7 Avr 2024
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Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou Kakou ​
 
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Sky

Sage
6 Fev 2024
755
1,388
On vit dans un monde où tu as peur quand tu sors seule, où chaque coin sombre devient une menace potentielle, où marcher dans la rue la nuit te fait serrer les poings pour te donner une fausse impression de contrôle. Alors oui, je ne me sens pas en sécurité dans ce monde. On vit dans un monde où des enfants sont violés, kidnappés, tués, enfermés. Où des femmes, des hommes, des êtres humains se font frapper, humilier, briser par ceux qui prétendent les aimer ou simplement parce qu'ils étaient là au "mauvais moment".
Et je sais que ce n'est pas juste moi qui ressens ça. Regarde un peu autour de toi : des visages fermés, des cœurs cloisonnés, des regards qui évitent les tiens. Des corps qui avancent mécaniquement, jour après jour, dans une danse où personne n'a choisi la musique.

À vous, mes âmes perdues, celles qui vacillent au bord du précipice, sachez ceci : si un jour vous décidez de sauter, de tout abandonner, je serai là. Je vous attendrai en bas, pas pour vous rattraper, pas pour vous sauver, mais pour être là, simplement. Parce qu'on ne tombe jamais vraiment seul. Si vous chutez, je vous suivrai dans votre abîme, pas par sacrifice, mais parce qu'on mérite tous d'avoir quelqu'un dans le noir, quelqu'un qui comprend, qui partage le poids.
Et puis, les rêves, parlons-en. Ces rêves qu'on avait enfant, un peu fous, un peu utopiques, mais pleins de lumière. On voulait être astronautes, magiciens, artistes… On voulait changer le monde, le rendre meilleur. Et quelque part, on y croyait dur comme fer. Puis la réalité est venue, implacable, nous souffler à l'oreille que tout ça, ce n'était que des contes, des folies enfantines. Mais moi, je refuse de les laisser là où ils sont. Ils me suivront toute ma vie. Si j'arrive à les réaliser, tant mieux. Sinon, tant pis. Mais je ne les abandonne pas.

Et toi… toi, tu es là, comme ça. Tu es entré dans ma vie sans prévenir, et tu y restes, obstinément, comme une étoile qui refuse de s'éteindre. Je t'aime d'une manière qui me surprend, qui me bouleverse. Je t'aime comme je les ai détestés. C'est brut, imparfait et souvent douloureux, mais c'est sincère.
Je suis vide, creuse. Y'a que du verre dans mes veines, fragile et prêt à se briser au moindre choc. Si le futur est un mur, je ne suis pas sûre de vouloir voir ce qu'il y a derrière. Si je pouvais, je sauverais tous ceux qui pensent à finir le jeu plus vite. Je suis là. Je ne peux pas faire ton combat à ta place, mais je suis là.
Réagis, allez ! Réponds.
Je te promets que je ne te lâcherai pas. Parfois, je mets du temps à répondre, mais ça ne veut pas dire que je ne suis pas là. Je suis là, pas pour te proposer de fausses solutions, pas pour te mentir en te disant que ça ira mieux alors que je n'en sais rien. Je suis juste là. Et ce n'est pas grand-chose, mais c'est déjà ça.
Bouge, même si c'est juste un pas. Décale-toi, ne serait-ce qu'un peu, du bord du gouffre. Parce que parfois, c'est tout ce qu'il faut pour éviter de tomber
Tu sais, il y a des moments où moi aussi je voudrais tout arrêter. Laisser le vide m'envahir, fermer les yeux et disparaître. Mais il y a toujours quelque chose qui me retient. Un message, un souvenir, une voix, un appel… Ces petits riens qui, contre toute attente, me ramènent à la surface.
Et si tu as besoin, je serai ce quelque chose pour toi. Pour te rappeler que tu n'es pas seul(e).
Parce que je veux sauver les gens.
Est-ce qu'il pense à moi quand il est avec elle ? Les nouvelles affluent, d'autres parlent de toi. Je hoche la tête, mais ça ne m'intéresse pas.
Je reste là, je refuse de me laisser aller, je refuse de penser. Parce que, qui sait ce que je pourrais découvrir ? Je fais en sorte d'être toujours occupée, pour éviter que mon cerveau et mon cœur ne cèdent à l'abandon. Mais parfois, dans les moments où tout se calme, où il n'y a plus rien pour occuper mes mains ou distraire mes pensées, le silence devient assourdissant. C'est là que tout revient. Les doutes, les questions, les blessures qu'on croyait avoir enterrées. Ce sont ces instants que je redoute le plus.
Alors, je tente de remplir chaque seconde. Parce que si j'y pense, je vais tomber, et si je tombe, qui me dit que cette fois je me relèverai ?
 
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Le_gars

Star
7 Avr 2024
4,879
3,535
On vit dans un monde où tu as peur quand tu sors seule, où chaque coin sombre devient une menace potentielle, où marcher dans la rue la nuit te fait serrer les poings pour te donner une fausse impression de contrôle. Alors oui, je ne me sens pas en sécurité dans ce monde. On vit dans un monde où des enfants sont violés, kidnappés, tués, enfermés. Où des femmes, des hommes, des êtres humains se font frapper, humilier, briser par ceux qui prétendent les aimer ou simplement parce qu'ils étaient là au "mauvais moment".
Et je sais que ce n'est pas juste moi qui ressens ça. Regarde un peu autour de toi : des visages fermés, des cœurs cloisonnés, des regards qui évitent les tiens. Des corps qui avancent mécaniquement, jour après jour, dans une danse où personne n'a choisi la musique.

À vous, mes âmes perdues, celles qui vacillent au bord du précipice, sachez ceci : si un jour vous décidez de sauter, de tout abandonner, je serai là. Je vous attendrai en bas, pas pour vous rattraper, pas pour vous sauver, mais pour être là, simplement. Parce qu'on ne tombe jamais vraiment seul. Si vous chutez, je vous suivrai dans votre abîme, pas par sacrifice, mais parce qu'on mérite tous d'avoir quelqu'un dans le noir, quelqu'un qui comprend, qui partage le poids.
Et puis, les rêves, parlons-en. Ces rêves qu'on avait enfant, un peu fous, un peu utopiques, mais pleins de lumière. On voulait être astronautes, magiciens, artistes… On voulait changer le monde, le rendre meilleur. Et quelque part, on y croyait dur comme fer. Puis la réalité est venue, implacable, nous souffler à l'oreille que tout ça, ce n'était que des contes, des folies enfantines. Mais moi, je refuse de les laisser là où ils sont. Ils me suivront toute ma vie. Si j'arrive à les réaliser, tant mieux. Sinon, tant pis. Mais je ne les abandonne pas.

Et toi… toi, tu es là, comme ça. Tu es entré dans ma vie sans prévenir, et tu y restes, obstinément, comme une étoile qui refuse de s'éteindre. Je t'aime d'une manière qui me surprend, qui me bouleverse. Je t'aime comme je les ai détestés. C'est brut, imparfait et souvent douloureux, mais c'est sincère.
Je suis vide, creuse. Y'a que du verre dans mes veines, fragile et prêt à se briser au moindre choc. Si le futur est un mur, je ne suis pas sûre de vouloir voir ce qu'il y a derrière. Si je pouvais, je sauverais tous ceux qui pensent à finir le jeu plus vite. Je suis là. Je ne peux pas faire ton combat à ta place, mais je suis là.
Réagis, allez ! Réponds.
Je te promets que je ne te lâcherai pas. Parfois, je mets du temps à répondre, mais ça ne veut pas dire que je ne suis pas là. Je suis là, pas pour te proposer de fausses solutions, pas pour te mentir en te disant que ça ira mieux alors que je n'en sais rien. Je suis juste là. Et ce n'est pas grand-chose, mais c'est déjà ça.
Bouge, même si c'est juste un pas. Décale-toi, ne serait-ce qu'un peu, du bord du gouffre. Parce que parfois, c'est tout ce qu'il faut pour éviter de tomber
Tu sais, il y a des moments où moi aussi je voudrais tout arrêter. Laisser le vide m'envahir, fermer les yeux et disparaître. Mais il y a toujours quelque chose qui me retient. Un message, un souvenir, une voix, un appel… Ces petits riens qui, contre toute attente, me ramènent à la surface.
Et si tu as besoin, je serai ce quelque chose pour toi. Pour te rappeler que tu n'es pas seul(e).
Parce que je veux sauver les gens.
Est-ce qu'il pense à moi quand il est avec elle ? Les nouvelles affluent, d'autres parlent de toi. Je hoche la tête, mais ça ne m'intéresse pas.
Je reste là, je refuse de me laisser aller, je refuse de penser. Parce que, qui sait ce que je pourrais découvrir ? Je fais en sorte d'être toujours occupée, pour éviter que mon cerveau et mon cœur ne cèdent à l'abandon. Mais parfois, dans les moments où tout se calme, où il n'y a plus rien pour occuper mes mains ou distraire mes pensées, le silence devient assourdissant. C'est là que tout revient. Les doutes, les questions, les blessures qu'on croyait avoir enterrées. Ce sont ces instants que je redoute le plus.
Alors, je tente de remplir chaque seconde. Parce que si j'y pense, je vais tomber, et si je tombe, qui me dit que cette fois je me relèverai ?

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Sky

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6 Fev 2024
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On vit dans un monde où tu as peur quand tu sors seule, où chaque coin sombre devient une menace potentielle, où marcher dans la rue la nuit te fait serrer les poings pour te donner une fausse impression de contrôle. Alors oui, je ne me sens pas en sécurité dans ce monde. On vit dans un monde où des enfants sont violés, kidnappés, tués, enfermés. Où des femmes, des hommes, des êtres humains se font frapper, humilier, briser par ceux qui prétendent les aimer ou simplement parce qu'ils étaient là au "mauvais moment".
Et je sais que ce n'est pas juste moi qui ressens ça. Regarde un peu autour de toi : des visages fermés, des cœurs cloisonnés, des regards qui évitent les tiens. Des corps qui avancent mécaniquement, jour après jour, dans une danse où personne n'a choisi la musique.

À vous, mes âmes perdues, celles qui vacillent au bord du précipice, sachez ceci : si un jour vous décidez de sauter, de tout abandonner, je serai là. Je vous attendrai en bas, pas pour vous rattraper, pas pour vous sauver, mais pour être là, simplement. Parce qu'on ne tombe jamais vraiment seul. Si vous chutez, je vous suivrai dans votre abîme, pas par sacrifice, mais parce qu'on mérite tous d'avoir quelqu'un dans le noir, quelqu'un qui comprend, qui partage le poids.
Et puis, les rêves, parlons-en. Ces rêves qu'on avait enfant, un peu fous, un peu utopiques, mais pleins de lumière. On voulait être astronautes, magiciens, artistes… On voulait changer le monde, le rendre meilleur. Et quelque part, on y croyait dur comme fer. Puis la réalité est venue, implacable, nous souffler à l'oreille que tout ça, ce n'était que des contes, des folies enfantines. Mais moi, je refuse de les laisser là où ils sont. Ils me suivront toute ma vie. Si j'arrive à les réaliser, tant mieux. Sinon, tant pis. Mais je ne les abandonne pas.

Et toi… toi, tu es là, comme ça. Tu es entré dans ma vie sans prévenir, et tu y restes, obstinément, comme une étoile qui refuse de s'éteindre. Je t'aime d'une manière qui me surprend, qui me bouleverse. Je t'aime comme je les ai détestés. C'est brut, imparfait et souvent douloureux, mais c'est sincère.
Je suis vide, creuse. Y'a que du verre dans mes veines, fragile et prêt à se briser au moindre choc. Si le futur est un mur, je ne suis pas sûre de vouloir voir ce qu'il y a derrière. Si je pouvais, je sauverais tous ceux qui pensent à finir le jeu plus vite. Je suis là. Je ne peux pas faire ton combat à ta place, mais je suis là.
Réagis, allez ! Réponds.
Je te promets que je ne te lâcherai pas. Parfois, je mets du temps à répondre, mais ça ne veut pas dire que je ne suis pas là. Je suis là, pas pour te proposer de fausses solutions, pas pour te mentir en te disant que ça ira mieux alors que je n'en sais rien. Je suis juste là. Et ce n'est pas grand-chose, mais c'est déjà ça.
Bouge, même si c'est juste un pas. Décale-toi, ne serait-ce qu'un peu, du bord du gouffre. Parce que parfois, c'est tout ce qu'il faut pour éviter de tomber
Tu sais, il y a des moments où moi aussi je voudrais tout arrêter. Laisser le vide m'envahir, fermer les yeux et disparaître. Mais il y a toujours quelque chose qui me retient. Un message, un souvenir, une voix, un appel… Ces petits riens qui, contre toute attente, me ramènent à la surface.
Et si tu as besoin, je serai ce quelque chose pour toi. Pour te rappeler que tu n'es pas seul(e).
Parce que je veux sauver les gens.
Est-ce qu'il pense à moi quand il est avec elle ? Les nouvelles affluent, d'autres parlent de toi. Je hoche la tête, mais ça ne m'intéresse pas.
Je reste là, je refuse de me laisser aller, je refuse de penser. Parce que, qui sait ce que je pourrais découvrir ? Je fais en sorte d'être toujours occupée, pour éviter que mon cerveau et mon cœur ne cèdent à l'abandon. Mais parfois, dans les moments où tout se calme, où il n'y a plus rien pour occuper mes mains ou distraire mes pensées, le silence devient assourdissant. C'est là que tout revient. Les doutes, les questions, les blessures qu'on croyait avoir enterrées. Ce sont ces instants que je redoute le plus.
Alors, je tente de remplir chaque seconde. Parce que si j'y pense, je vais tomber, et si je tombe, qui me dit que cette fois je me relèverai ?

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ALORS LA C'EST MAGNIFIQUE QUE DIS-JE VOILA UN TEXTE TRES BEAU PERSONNEL WAOUH CA M'EMEUT
 

Le_gars

Star
7 Avr 2024
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ALORS LA C'EST MAGNIFIQUE QUE DIS-JE VOILA UN TEXTE TRES BEAU PERSONNEL WAOUH CA M'EMEUT
On me le dit souvent même si je trouve que la beauté de ce monde des tel que la lumière devrait y éclairer l'antierté de la plaque d'égout dans la salle de sport. Sans oublier les contenus sur youtube qui manquent de radioactivité (présent dans notre corp en quantité pas où hyn) .
 
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Le_gars

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7 Avr 2024
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3,535
Kimi no naka ni aru aka to aoki sen
Sorera ga musubareru no wa shin no zou

Kaze no naka demo makenai you na koe de
Todokeru kotoba wo ima wa sodateteru

Toki wa makuragi kaze wa nikihada hoshi wa ubusu na hito wa kagerou

Nande naiteru no to kikare kotaereru namida nanka ja
Bokura deaeta koto no imi ni wa marude oitsukanai

Kono mi hitotsu ja tarinai sakebi

Kimi no te ni fureta toki ni dake furueta kokoro ga atta yo
Imi wo ikutsu koereba bokura wa tadoritsukeru no ka na

Orokasa de ii minikusa de ii
Tadashisa no sono saki de kimi to te wo toritai

Omoidasenai taisetsu na kioku
Kotoba ni naranai koko ni aru omoi

Moshi ka shitara moshi ka shitara
Sore dake de kono kokoro wa dekiteru

Moshi ka shitara moshi ka shitara
Kimi ni "kizuite" to ima mo sono mune wo
Uchinarasu

Nande naiteru no to kikare kotaereru namida nanka ja
Bokura deaeta koto no imi ni wa marude oitsukanai

Kono mi hitotsu ja tarinai sakebi

Kimi no te ni fureta toki ni dake furueta kokoro ga atta yo
Imi wo ikutsu koereba bokura wa tadoritsukeru no ka na

Orokasa de ii minikusa de ii
Tadashisa no sono saki de kimi to ikite kitai