Concours de Poésie :
Date limite : 15 septembre
Instructions :
- Envoyez deux poèmes : Chaque poème doit avoir un thème différent.
- Émotions différentes : Les deux poèmes doivent faire ressentir des émotions distinctes. Par exemple :
- Un poème triste et un poème un peu effrayant,
- Ou alors un poème joyeux et un poème qui exprime de la colère.
- Critères : Les poèmes seront jugés sur leur capacité à transmettre les émotions choisies, ainsi que sur leur créativité et leur qualité.
- Désignation du vainqueur : Un sondage sera créé à la fin de la date limite pour choisir le gagnant.
Bonne chance à tous les participants !
Messages fusionnés :
Voici les miens (Je ne participe pas vu que je l'ai est commencé hier et que ça ma pris 4h du coup c'est juste pour le fun) :
Voici le premier:
"Les Ombres du Rêve"
Tout a commencé sans que je m'y attende,
Un sourire, un regard, et tu es entrée dans ma vie.
Tu t'es rapprochée, lentement, tendrement,
Et bientôt, tu es devenue plus qu'une simple amie.
C'est toi qui es venue vers moi,
C'est toi qui as avoué tes sentiments.
J'étais surpris, mais heureux à la fois,
Prêt à t'aimer, sans hésiter un instant.
On a partagé des moments doux et précieux,
On riait ensemble, on se comprenait sans mots,
Chaque jour passé avec toi était un cadeau,
Comme si l'amour pouvait tout rendre lumineux.
Tu étais là quand ça n'allait pas,
Quand tes propres démons te rongeaient,
Je t'écoutais, te soutenais dans le noir,
Essayant de t'apporter un peu de paix.
On s'est rapprochés encore, tu étais tactile,
Nos mains se frôlaient, nos cœurs battaient en harmonie,
On s'endormait ensemble, si proche, si fragile,
Dans ces moments, tout semblait infini.
Mais quelque chose a changé, je l'ai senti,
Dès qu'on s'est séparés, tu as commencé à t'éloigner.
Tu ne répondais plus à mes messages, tu disparaissais,
Et moi, je restais là, à attendre et à espérer.
Je continuais à t'envoyer des mots doux,
A te dire combien tu comptais pour moi,
Je voulais que tu saches que, quoi qu'il arrive,
Je tenais à toi, même si tu ne me répondais pas.
Je pensais que tu étais occupée,
Ou que tu avais besoin de temps,
Je me disais que l'amour pouvait tout réparer,
Mais chaque jour, ton silence devenait plus pesant.
Puis est venu le jour où tout s'est effondré,
Sans un mot, tu m'as bloqué, tu m'as fermé la porte,
Comme si tout ce qu'on avait partagé n'avait jamais existé,
Comme si, soudain, je n'avais plus aucune importance.
Je t'ai écrit une dernière fois,
Pour te dire que je comprenais,
Que je ne t'en voulais pas, malgré la douleur,
Que je voulais juste que tu sois heureuse, quoi qu'il en soit.
Je me suis accroché à nos souvenirs,
Ces moments où tout semblait parfait,
Ces instants où l'on riait ensemble,
Où l'on croyait que rien ne pouvait nous séparer.
Mais la réalité m'a frappé,
Plus dure que je ne l'avais imaginé.
Je m'étais trompé, je m'étais perdu,
Pensant que l'amour pouvait nous sauver.
Tu m'as laissé sans un mot,
Sans une explication, sans un regard,
Et j'ai dû faire face à la vérité,
Que tu étais partie, que c'était terminé.
J'ai voulu comprendre, j'ai cherché des réponses,
Mais parfois, il n'y a pas de pourquoi,
Parfois, les choses se brisent sans bruit,
Et il faut apprendre à avancer, même quand tout s'effondre.
Les rêves que nous avions étaient beaux,
Mais les rêves ne durent jamais vraiment.
Ils finissent par s'évanouir comme de la fumée,
Et laissent place à une réalité plus froide, plus tranchante.
Tu étais un rêve, un éclat de lumière,
Mais un jour, je me suis réveillé,
Et il ne restait que le silence,
Et moi, seul, face à la vérité.
L'amour peut être éphémère,
Même quand il semble éternel.
La réalité nous rappelle que tout s'efface,
Et qu'il faut apprendre à vivre avec les traces.
Je garde les bons moments dans mon cœur,
Mais je sais maintenant que rien ne dure.
J'ai appris à avancer, à reconstruire,
Même si la blessure reste là, dans le futur.
La réalité est dure, mais elle est là,
Elle ne laisse pas de place aux rêves,
Et parfois, même l'amour le plus fort,
Ne peut survivre à ce qu'on croyait éternel.
Les rêves que nous avions étaient beaux,
Mais les rêves ne durent jamais vraiment.
Ils finissent par se dissoudre dans le néant,
Laissant derrière eux une réalité cruelle et implacable.
Tu étais un rêve, une illusion fragile,
Et quand je me suis réveillé,
Il ne restait que le silence glacé,
Et moi, brisé, face à la vérité brutale.
L'amour, même s'il semblait éternel,
Peut se consumer en un instant.
La réalité, sans pitié, écrase tout,
Et laisse des cicatrices indélébiles.
Je garde les éclats de nos souvenirs,
Mais la vérité est là, froide et tranchante.
J'ai dû affronter la douleur du désenchantement,
Et reconstruire, morceau par morceau, malgré la dévastation.
La réalité est implacable, sans indulgence,
Elle ne laisse aucune place aux illusions.
Parfois, même l'amour le plus intense,
S'effondre sous le poids de la vérité.
Et voici le deuxième:
"La colère, source de regret"
Dans le tumulte de l'âme, la colère rugit,
Comme un ouragan déchaîné, elle s'épanouit.
Elle se nourrit de fureur, de cris, de tourments,
Un feu ardent qui brûle, un vent impétueux, violent.
Les éclairs de rage déchirent le ciel de l'esprit,
Brisant les chaînes de la paix, libérant l'oubli.
Les ombres de la colère dansent, se déchaînent,
Foulant aux pieds les espoirs, les rêves, les chaînes.
La voix de la colère tonne comme un tonnerre,
Réveillant des démons enfouis dans les terres.
Elle déverse sa haine en torrents dévastateurs,
Un torrent d'émotions, une mer de douleurs.
Mais derrière cette tempête, un calme se cache,
Un souffle apaisé, une paix qui se détache.
Car la colère, bien qu'intense, finit par se faner,
Comme l'orage qui s'éloigne, laissant le ciel dégagé.
Dans la brume des souvenirs, elle s'efface doucement,
Là où la raison reprend le pouvoir lentement.
Et sous le voile de la tempête, l'aube renaît,
Où la paix et la sagesse doucement s'installent, en secret.
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